Ils sont européens, africains ou américains, suprémacistes, islamistes radicaux ou aventuriers. Des combattants étrangers et mercenaires de tout poil ont afflué en Ukraine pour combattre dans un camp ou dans l’autre, posant plus de problèmes qu’ils n’apportent de solutions.
«Pour l'instant, nous ne pouvons pas faire état de quoi que ce soit de très prometteur ou d’une percée quelconque. Il y a beaucoup de travail à accomplir», a indiqué à la presse le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov.
L’usage du dollar comme arme de domination dans le contexte du conflit armé en Ukraine relance le débat sur l’émergence d’une devise alternative, ce qui n’est pas près de se produire.
La Slovaquie a décidé d’expulser 35 diplomates russes, a annoncé hier le ministère des Affaires étrangères, invoquant des informations fournies par les services de renseignement, rapporte l’AFP.
La directrice de la Banque centrale européenne (BCE) Christine Lagarde a prévenu mercredi 30 mars qu'un conflit prolongé en Ukraine continuerait de faire augmenter les prix de l'énergie et le coût de la vie en Europe.
Les prix du pétrole ont reculé hier, dans le sillage d’informations faisant état d’avancées dans les pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine, entamés en Turquie. Les cours de l’or noir étaient déjà en proie à une forte volatilité, suite aux nouveaux verrouillages en Chine pour freiner la propagation du coronavirus, ce qui a nui à la demande de carburant.
Les pourparlers entre la Russie et l’Ukraine ont été «substantiels» et pourraient ouvrir la voie à une rencontre entre les présidents Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, ont estimé les négociateurs des deux camps, des annonces toutefois accueillies avec circonspection par les Occidentaux.
L'euro montait fortement face au dollar américain mardi 29 mars, profitant des avancées des négociations Russie-Ukraine, tout comme le rouble russe, qui réagissait encore plus.
Les deux références du pétrole perdaient plus de 5% mardi 29 mars, en réaction aux progrès annoncés dans les négociations entre l'Ukraine et la Russie, mais aussi un confinement en Chine qui pèse sur la demande.
La Russie va radicalement réduire son activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv en Ukraine, après des pourparlers russo-ukrainiens "substantiels" à Istanbul, ont indiqué mardi 29 mars des négociateurs russes.
Dans un communiqué, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) ne peut que constater le flux inédit de millions de réfugiés que provoque en Europe la guerre en Ukraine : «Partout, un élan de solidarité important répond à ce besoin soudain d’accueil et d’aide envers une population en plein désarroi.
Les délégations russe et ukrainienne ont entamé leurs négociations à Istanbul mardi matin, après avoir été accueillies par le président turc.
La Russie et l'Ukraine n'ont pas accompli d'"avancées significatives" pour l'instant dans leurs négociations visant à mettre fin au conflit en Ukraine, a déclaré lundi 28 mars le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Selon Kiev, le nouveau round des pourparlers débutera demain en Turquie. Moscou a annoncé aussi la tenue d’une nouvelle session de discussions, mais en disant qu’elles se dérouleraient demain et mercredi, sans préciser le lieu.
Un choc pétrolier» pour les uns et «euphorie pétrolière» pour les autres. Le conflit armé en Ukraine modifie le paysage géopolitique avec de profondes conséquences pour l’économie mondiale.
La Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) a organisé hier une rencontre, à l’hôtel El Aurassi, à Alger, sur un des thèmes qui constitue actuellement une des sources d’inquiétude particulièrement importante en raison d’abord de l’inflation qui a cours dans le monde, comme une des conséquences de la pandémie de Covid-19, et de turbulences géopolitiques, ensuite, qui surviennent depuis un mois avec le conflit ukrainien.
Aliment de base dans la partie du monde où le modèle de consommation s’affirme comme la conséquence des retards en matière de développement économique et humain, le blé va peser dans ces contrées plus que ne peuvent peser le gaz ou le pétrole...
Le président américain, Joe Biden, a réaffirmé hier à Varsovie que l’article 5 du traité de l’Otan (Organisation du traité de l’Atlantique Nord), stipulant que l’attaque contre un pays membre est une attaque contre tous, constitue un «devoir sacré» pour les Etats-Unis, selon des propos recueillis par l’AFP.
Les Etats-Unis et l’Union européenne (UE) ont annoncé hier la création d’un groupe de travail visant à réduire la dépendance de l’Europe envers les énergies fossiles russes, rapporte l’AFP. Washington s’efforcera, en coopération avec «des partenaires internationaux» de fournir à l’Europe 15 milliards de mètres cubes supplémentaires de Gaz naturel liquéfié (GNL) en 2022, dans le cadre de cette initiative dévoilée par le président américain Joe Biden et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, selon un communiqué.
Zelensky, dans un message aux dirigeants de l’Union européenne (UE), le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a «rejeté» hier les demandes de livraison d’armes et de sanctions plus dures, les jugeant «contraires aux intérêts» de son pays.