Ces débats sur les avions de combat interviennent au moment où la tension semble baisser légèrement sur le terrain : la Russie et l’Ukraine se sont entendus sur des cessez-le-feu pour permettre la mise en place de plusieurs couloirs humanitaires autour de zones durement frappées par les combats ces derniers jours.
Voir ces longues files de réfugiés ukrainiens fuyant les destructions et la mort, ces familles qui ont tout perdu, toute cette détresse humaine, le cœur en est lourdement serré.
Le ministère chinois des Affaires étrangères a accusé mercredi 8 mars l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) d'être responsable de la tension entre la Russie et l'Ukraine au point d'"exploser".
La Russie a constaté "des progrès" dans les négociations menées avec l'Ukraine, a déclaré mercredi 9 mars la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova.
Russes et Ukrainiens sont tombés d'accord mercredi 9 mars au matin pour respecter des cessez-le feu autour d'une série de couloirs humanitaires afin d'évacuer les civils, a annoncé la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.
Le chef de l’Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, a déclaré ne pas vouloir être le président d’un «pays qui implore à genoux» pour une adhésion à l’Otan. Au sujet des deux «républiques» séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine, en guerre depuis 2014 avec les forces de Kiev, il s’est dit ouvert au dialogue. Pour «ces territoires temporairement occupés (…)», «nous pouvons discuter et trouver un compromis sur l’avenir de ces territoires», a-t-il indiqué.
Le ministre des Affaires étrangères turc, Mevlüt Cavusoglu, a annoncé hier la tenue d’une réunion trilatérale jeudi à Antalya (sud) avec ses homologues russe et ukrainien, première rencontre entre les deux hommes depuis le début de la guerre, rapporte l’AFP.
Les prix du pétrole se maintenaient à la hausse hier, dans un contexte de fébrilité, autour des valeurs énergétiques qui risquent de connaître de nouveaux pics inédits, dans le sillage de la crise ukrainienne.
Le pétrole montait fortement mardi 8 mars sans s'approcher pour l'instant du sommet atteint la veille dans un marché volatil, en réaction à un possible embargo américain sur le brut russe à cause de la crise ukrainienne.
La Russie a mis en garde contre des "conséquences catastrophiques" pour le marché mondial de la mise en place d'un embargo occidental sur le pétrole russe, discuté par Washington et l'Union européenne comme mesure de riposte au conflit militaire en Ukraine.
Le président chinois Xi Jinping a appelé mardi 8 mars à "la plus grande retenue" dans le conflit ukrainien et fait part de sa "profonde préoccupation" lors d'un appel avec les dirigeants français Emmanuel Macron et allemand Olaf Scholz, a rapporté la télévision chinoise.
La Russie a annoncé lundi soir la mise en place de cessez-le-feu locaux dans plusieurs villes ukrainiennes à partir de 07H00 GMT mardi 8 mars pour permettre l'évacuation de civils via des couloirs humanitaires, après de nouvelles négociations avec les Ukrainiens.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé mardi 8 mars les "promesses" non tenues des Occidentaux pour protéger l'Ukraine des attaques russes.
Le prix du gaz naturel a atteint un nouveau record historique sur le marché européen, en raison des craintes de perturbations des approvisionnements. Le cours du gaz européen de référence, le TTF néerlandais, a bondi à un nouveau record, à 345 euros le mégawattheure (MWh).
Si des sanctions contre les exportations de pétrole de la Russie sont mises en œuvre, le pétrole pourrait grimper à 185 dollars le baril cette année, selon les analystes de JP Morgan, tandis que les analystes de Bank of America estiment que les prix du pétrole pourraient doubler, passant de 100 dollars le baril à 200 dollars le baril.
Les sympathies européennes se manifestent envers les Ukrainiens en fuite. Pendant des décennies, l’accueil des réfugiés noirs ou arabes n’a pas fait le même consensus
Le chef de la diplomatie turque Mevlüt Cavusoglu va tenir une réunion trilatérale samedi avec ses homologues russe et ukrainien à Antalya dans le sud de la Turquie, a-t-il annoncé lundi 7 mars.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, l'une des deux variétés de référence du marché, a frôlé dimanche 140 dollars, proche de son record absolu, dopé par le conflit en Ukraine et l'arrêt quasi-total des exportations de pétrole russe.
Kiev refuse les couloirs humanitaires vers le Bélarus et la Russie proposés par Moscou pour l'évacuation des civils de villes bombardées, a annoncé lundi 7 mars la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.
Les prix alimentaires mondiaux ont atteint un record et les indices des prix à la consommation dans les principales économies sont en hausse. «C’est une mauvaise nouvelle pour les ménages du monde entier, car la croissance des salaires est largement inférieure à l’inflation», signale un analyste cité par Bloomberg.