Le représentant de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), George Murumba, a relevé l’importance de la coopération entre les pays africains, plus particulièrement ceux qui sont leaders dans le domaine des start-up.
En abritant cet événement, l’Algérie réaffirme, selon le chef de l’Etat, son engagement en faveur de la coopération et de la solidarité panafricaines.
Encourager les partenariats entre les universités, les incubateurs et entreprises, entre autres, est l'une des principales recommandations de cette rencontre scientifique.
Selon le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MERS), entre 2500 et 3000 titulaires de masters de différentes spécialités sortent annuellement de nos universités pour rejoindre le monde de l’emploi. Mais à ce niveau, les opportunités de recrutement sont limitées.
Pour Djamal Eddine Akretche, recteur de l’université des sciences et technologies Houari Boumediène (USTHB), il y a nécessité de mettre en place des mécanismes pour renforcer la relation entre l’université et l’entreprise et accompagner les étudiants dans la concrétisation de leurs idées.
Alors que le dossier de l’introduction de la Banque de développement locale (BDL), prévu initialement avant la fin de l’année en cours, n’est pas encore tranché, voilà que la Commission d’organisation et de surveillance des opérations de Bourse (Cosob) annonce avoir accordé le visa pour l’ouverture du capital de la première startup pour son entrée à la Bourse d’Alger.
Opération «un diplôme-une start-up» La faculté de lettres de Ouargla lance le défi
Les membres du peuple semi-nomade Moken écoulent leur stock auprès de Tide, une start-up suisse souhaitant valoriser des débris plastiques recueillis sur le littoral ou au large où, selon une estimation de l’OCDE, plus de six millions de tonnes de ce matériau se déversent chaque année.
Pour inciter les nouveaux diplômés à être des entrepreneurs, l’opération «un diplôme/une start-up» est lancée depuis deux ans. Etat des lieux et mode d’emploi de l'entrepreneuriat universitaire.
Le e-commerce vient en tête des projets proposés par les étudiants en fin de cycle. Les universités de l’est du pays sont classées premières en nombre d’idées innovantes. Un guichet unique sera prochainement mis en place. Ahmed Mir, président de la Commission nationale de coordination et de suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires et aussi directeur des études à la direction générale de la recherche scientifique et le développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur, explique dans cet entretien que la politique «un diplôme/une start-up» connaît une adhésion de la corporation estudiantine.
En Algérie, elles sont plus de 1000 entreprises à avoir obtenu le label de start-up sur un total de 4000 sociétés enregistrées pour création et le nombre d’incubateurs est passé de 10 en 2020 à 60 en 2022. C’est ce qu’a révélé ce lundi devant les membres de la commission des affaires économiques, du développement, du commerce et de la planification de l’Assemblée populaire nationale (APN) Yacine El Mahdi Oualid, ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-Entreprises.
Le nombre de projets soutenus depuis la création de la Commission nationale de coordination, du suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires (CNCSIIU), dans le sillage de la mise en application de l’arrêté 1275, pas moins de 6058 projets innovants ont été soutenus par des étudiants en licence, en mastère et même en doctorat, à travers les différentes universités du pays.
Lancée officiellement en novembre dernier, la start-up Kheliha alina a signé, hier, une convention de partenariat avec l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Créée par de jeunes entrepreneurs, dont certains sont diplômés de l’UMMTO, cette entreprise innovante continue à faire son chemin dans un domaine qui gagne de plus en plus de terrain, ces dernières années, en Algérie.
Le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques a annoncé que 71 start-up opérant dans le secteur de la pêche et de l'aquaculture bénéficient actuellement d'un accompagnement de diverses structures du secteur.
Un deuxième mode de financement a également été finalisé cette année. Il s’agit des organismes de placement collectif à risque (OPCR), destiné aux PME, à travers des participations dans les PME avec une certaine prise de risque.
Une trentaine de projets de start-up diversifiés ont été déposés par des étudiants de l’Ecole supérieure d’agronomie relevant de l’université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem pour cette année universitaire en cours, a-t-on appris de sources concordantes.
Les travaux du Sommet des ministres africains chargés des Start-up ont pris fin, mercredi dernier à Alger, avec l’adoption de la Déclaration d’Alger pour le développement des start-up, a rapporté l’agence APS.
L’université de Mostaganem accorde une grande importance au développement des start-ups.
L’application de la numérisation et de la digitalisation au niveau des exploitations agricoles à Tipasa a fait l’objet, mardi dernier, d’une rencontre-débat entre les experts de la start-up Nabatic de Béjaïa et les représentants de l’univers agricole, au niveau du siège de la Chambre de l’agriculture de la wilaya (CAW), à laquelle ont assisté des fellahs, ingénieurs forestiers, des étudiants du centre universitaire de Tipasa, des chercheurs de l’UDES de Bou Ismail, des stagiaires de l’INFP de Hadjout, mais aussi des pépiniéristes.
Les start-up sauveront-elles l’Afrique ? Des faiblesses économiques structurelles subsistent certes sur ce continent émergent, mais sa jeunesse est bouillonnante d'idées qui façonnent une économie de plus en plus basée sur les nouvelles technologies.