Depuis le début de la guerre contre Ghaza, il ne se passe quasiment pas un jour sans que des artistes, des écrivains, des poètes et autres figures du monde de la culture à l’échelle mondiale ne se fendent d’un mot, d’un geste, d’une œuvre, pour exprimer leur soutien au peuple palestinien.
Une nouvelle trêve entre le Hamas et Israël est prévue en début de semaine prochaine et pourrait durer tout le mois de Ramadhan.
L’Algérie a démontré devant la Cour internationale de justice (CIJ) la violation du droit international en Palestine par l’occupant israélien. Intervenant hier, au deuxième jour des audiences concernant la demande d’avis consultatif sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques de l’Etat hébreu en Palestine, le professeur Ahmed Laraba a appelé, au nom du groupe des juristes algériens, la Cour à confirmer cette violation. «(…) L’Algérie réitère les demandes qu’elle a exprimées dans ses écritures antérieures.
La voix de la Palestine a résonné durant trois heures au Palais de la Paix, à La Haye (Pays-Bas), siège de la Cour internationale de justice (CIJ), où des audiences publiques consacrées aux conséquences juridiques de la pratique coloniale d’Israël sur les Territoires palestiniens, y compris Jérusalem-Est, ont été ouvertes hier.
Le comédien et metteur en scène palestinien Ghanam Ghanam a présenté, samedi 17 février, le spectacle Bi oumi ayni 1948 (avec mes propres yeux 1948), au Musée national archéologique de Sétif, à la faveur de la 2e édition des Journées théâtrales arabes de la capitale des Hauts-Plateaux.
Défenseur des causes sahraouie et palestinienne, Maître Gilles Devers, du barreau de Lyon, mène, depuis 2009, une rude bataille judiciaire pour faire condamner les dirigeants israéliens par la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes de guerre, contre l’humanité et le génocide commis à Ghaza. Au bout de la troisième plainte déposée le 9 novembre 2023, il se déclare «optimiste», parce que toutes les étapes de la procédure «ont enfin abouti» après «des rejets, du déni et du mépris». Dans l’entretien qu’il a bien voulu nous accorder, il revient sur les obstacles, la méfiance, le désespoir qui ont marqué plus d’une décennie de lutte juridique, mais aussi sur son «prochain combat», devant la CPI, pour le droit de retour de plus de 5 millions de Palestiniens à Jérusalem-Est, leur capitale, reconnue comme telle par le droit international.
A défaut d’un cessez-le-feu durable, des tractations sont en cours en vue d’aboutir à une trêve de quelques semaines dans la Bande de Ghaza. Et pour donner toutes ses chances à la paix, les efforts diplomatiques s’intensifient. Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, et le chef de la diplomatie française, Stéphane Séjourné, ont entamé chacun une tournée au Proche-Orient pour stopper le bain de sang à Ghaza.
Le Conseil de sécurité, réuni mardi au sujet de la situation en Palestine occupée, a réitéré son appui à la solution à deux Etats pour mettre fin au conflit au Proche-Orient, appelant, à cette occasion, à l’arrêt immédiat de l’agression sioniste contre le peuple palestinien et à l’acheminement de l’aide humanitaire en urgence.
Durant toutes les guerres qu’ils ont connues depuis 1948, les Palestiniens ont fait preuve d’un attachement indéfectible à leur culture. Même pendant les pires épreuves sous l’occupation sioniste et les sièges les plus impitoyables, ils ont tenu à leur identité et leurs traditions.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a exclu à nouveau toute possibilité de traiter les plans de l’entité sioniste et de ses alliés visant à séparer Ghaza de la Palestine.
Des milliers de personnes ont marché à Bruxelles pour exiger des actes concrets pour obtenir un cessez-le-feu à Ghaza et assurer la justice pour le peuple palestinien.
L’Algérie souhaite une position «forte et ferme» sur la question palestinienne, lors du prochain sommet (18-19 janvier) des pays non-alignés (MNA), a souligné hier, depuis Kampala (Ouganda), le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf.
Un grand spectacle en solidarité avec les Palestiniens est prévu le samedi 20 janvier 2024 à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh, à Ouled Fayet, à l’ouest de la capitale, «Salam lel Falestine» (Paix pour la Palestine).
La politique des USA au Moyen-Orient s’inscrit dans la continuation du jeu machiavélique joué par la Grande-Bretagne dans cette région du monde où elle s’est employée à créer un foyer de tension permanent.
A Beit Lahm, en Cisjordanie occupée, la ville qui a vu naître le Christ, les festivités de Noël avaient un goût de sang.
Cette année, Noël n’a pas été célébré en Palestine, le lieu même de la naissance du prophète Jésus, en raison de la guerre à Ghaza et des tensions en Cisjordanie occupée.
La sélection algérienne de football des U23 a fait match nul, un but partout (mi-temps 1-0), face à l’équipe première palestinienne lors d’un match amical qui a opposé les deux formations, mardi soir au stade 19 Mai 1956 d’Annaba, dans le cadre de la préparation de la coupe d’Asie 2024 à laquelle prend part la Palestine.
Décidément, même les morts ne peuvent pas reposer en paix en Palestine. Selon The New York Times, au moins six cimetières de la Bande de Ghaza ont été saccagés par des tanks et des bulldozers israéliens, détruisant des dizaines de sépultures.
Dans le cadre de sa préparation pour la Coupe d’Asie des nations (CAN) 2024 qui aura au Qatar, la sélection palestinienne de football se trouve en Algérie depuis mardi passé pour un stage de préparation qui s’étalera jusqu’au 22 décembre.
Il a eu le privilège d’accompagner Yasser Arafat dans ses déplacements, y compris au siège de l’ONU lors de cette session historique, au cours de laquelle le leader palestinien a reçu un accueil triomphal. Il s’agit de Hamoud Boukercha, alias Khaled El Djazairi, un Algérien natif de Boudouaou (Boumerdès), ancien moudjahid de la Révolution algérienne, qui s’est sacrifié pour la cause palestinienne tout comme son compagnon Mohamed Boudia, assassiné par le Mossad en 1973.