La longue liste de martyrs tombés sous les balles de l’armée d’occupation israélienne s’est encore allongée. Après une accalmie de quelques jours, les forces sionistes ont repris leurs attaques meurtrières contre des civils palestiniens. Lundi 3 avril, Mohamed Hallak, 22 ans, et Mohamed Anou Baker, 27 ans, ont été assassinés à Naplouse au nord de la Cisjordanie occupée.
L’Algérie a condamné dans les termes les plus fermes la prise d’assaut de la mosquée Al Aqsa par l’autorité d’occupation israélienne et les agressions contre les fidèles et les défenseurs de la mosquée, a indiqué hier un communiqué de la Présidence de la République.
Les Etats arabes restent divisés face à la spirale de violence sioniste qui cible, constamment, la population palestinienne.
Les enfants palestiniens sont dépossédés de leur enfance, de leurs droits les plus élémentaires, et ne peuvent pas jouer en sécurité même devant leurs maisons, subissant à chaque instant l’arrestation, le meurtre, l’agression brutale et le déplacement forcé, alertent des organismes palestiniens à l’occasion de la Journée de l’enfant palestinien.
L’Association des relations publiques et des médias du gouvernorat d’Al Qods occupée a fait savoir, dans son premier rapport trimestriel pour l’année 2023 sur les crimes sionistes dans la ville sainte, que 7 Palestiniens sont tombés en martyrs sous les balles des forces d’occupation depuis le début de l’année.
L'armée israélienne a tué lundi deux Palestiniens membres d'un groupe armé en Cisjordanie occupée, et la tension est brusquement montée à Ghaza où des combattants palestiniens ont tiré des missiles sur un avion de combat israélien ayant abattu un drone.
Dans son rapport annuel sur les droits de l’homme dans le monde, Amnesty International dénonce le deux poids deux mesures dans la condamnation des violations des droits humains. Le rapport 2022-2023 de l’ONG, publié le 28 mars dernier, met en évidence l’incapacité de la communauté internationale à s’unir autour d’une application systématique des valeurs universelles de protection des droits fondamentaux.
Le porte-parole de la présidence palestinienne, Nabil Abu Rudeineh, a mis en garde contre l’escalade dangereuse des agressions menées par les autorités de l’occupation sioniste dans la mosquée Al-Aqsa, notamment l’agression contre les citoyens palestiniens dans l'Esplanade des mosquées dans la ville sainte d'El-Qods occupée.
Un enfant palestinien a été blessé par balle lors d'une prise d'assaut des forces d'occupation sionistes sur le camp Aqabat Jabr, dans la ville d'Aréha, à l'est de la Cisjordanie, ont rapporté hier des médias locaux.
Les détenus Palestiniens poursuivaient dimanche leur 34ème jour de désobéissance collective contre l'application de mesures arbitraires de l'occupation dans les prisons sionistes, selon l'agence palestinienne de presse, Wafa.
Dans la wilaya de Mila, l’actualité reste dominée par les inaugurations par les autorités des marchés de la solidarité en prévision du Ramadhan.
Les factions palestiniennes ont annoncé le lancement du «Document national de Jénine» qui représente une feuille de route face au gouvernement sioniste, rapportent des médias.
La femme palestinienne, dont la lutte contre les occupants britannique et sioniste a inspiré, depuis les années 1920, de nombreuses personnes éprises de liberté à travers le monde, a consenti d'énormes efforts sur l'autel de la liberté et du droit au retour et continue d'être l'un des symboles les plus importants de résilience et de résistance contre l'occupation, a indiqué la présidente de l'Union générale de la femme palestinienne (UGFP), section Algérie, Nesrine Mokdad.
Les travaux du Sommet arabe organisés au Centre international des conférences Abdelatif Rahal (CIC) ont été clôturés hier, à l’issue de la publication de la Déclaration d’Alger, par le président de la République Abdelmadjid Tebboune.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, présent aux travaux du Sommet arabe d’Alger en qualité «d’invité d’honneur» a reconnu, mardi, dans une déclaration à la presse à l’issue de l’audience que lui a accordée le président Abdelmadjid Tebboune, que sa présence au Sommet se veut l’expression, à la fois des sentiments de «solidarité» et de «gratitude» à l’endroit de l’Algérie .
C'est dans la soirée d'hier, mardi 1er novembre, dans le somptueux Centre international des conférences Abdelatif Rahal que le 31e Sommet arabe, réuni sous l'égide de la Ligue arabe, organisé et présidé par l'Algérie, s'est ouvert en présence de nombreux chefs d'Etat et souverains arabes, des personnalités de haut rang.
La police israélienne a attaqué, hier matin, le cortège funèbre de la journaliste de la chaîne Al Jazeera, Shireen Abu Akleh, tombée en martyre mercredi à la suite de tirs des forces de l'occupation à Jénine, en Cisjordanie occupée, a rapporté l'agence de presse palestinienne Wafa.
L’assassinat de la journaliste Shireen Abou Akleh, par un tir de l’armée d’occupation israélienne alors qu’elle couvrait des affrontements dans le camp de Jénine en Cisjordanie occupée, suscite de vives condamnations palestiniennes et de la communauté internationale. Shireen Abu Akleh portait un gilet pare-balles siglé «Presse» lorsqu’elle a été tuée. Elle a été atteinte d’une balle dans la tête. Sa mort intervient dans un climat tendu, un an après la dernière guerre de Ghaza entre l’Etat hébreu et le Hamas islamiste, qui contrôle l’enclave palestinienne sous blocus israélien, et dans le sillage d’une série de violences faisant craindre une nouvelle escalade militaire.
L'assassinat ce mercredi matin de la journaliste Shireen Abou Aqleh, par un tir de l'armée d'occupation israélienne alors qu'elle couvrait des affrontements dans le camp de Jénine en Cisjordanie occupée, suscite de vives condamnations palestiniennes et de la communauté internationale. Shireen Abou Aqleh, 51 ans, une des plus connues de la chaîne Al-Jazeera, pour avoir porté courageusement la voix des Palestiniens, a été tuée par un tir de l'armée sioniste dans le camp de Jénine.