Depuis Riyad, le président français a affirmé qu’il ne pouvait «pas croire au vote d’une censure» du gouvernement.
Entre Alger et Paris, l’année 2024 pourrait bien être celle d’un retour à la normale des relations si les «conditions idoines» sont, bien sûr, réunies.
La famille Bougheda de Chekfa, dans la wilaya de Jijel, réclame à la France officielle la reconnaissance du crime commis par l’armée coloniale contre neuf de ses membres.
Force est de constater que l’hommage rendu par M. Macron aux victimes vaut surtout par sa symbolique.