Le réalisateur et auteur Ali Ghanem vient de publier, chez Casbah Editions, un ouvrage intitulé Conversations méditerranéennes.
La disette culturelle et littéraire que traverse la région de Béchar depuis plusieurs mois vient d’être brisée par la récente publication d’un roman intitulé Du Mektoub à la destinée, écrit par Abdelkader Tiouti natif de Béchar.
Le nouveau roman de Yasmina Khadra, intitulé Les Vertueux, paraîtra chez les éditions Mialet-Barrault ayant déjà édité son dernier livre Pour L’Amour d’Elena, en France et bien sûr, paraîtra chez Casbah Editions, en Algérie. D’après la couverture du roman Les Vertueux et la légende de l’auteur, Yasmina Khadra, c’est un roman se déroulant à Oran durant la colonisation française. Yasmina Khadra, de son vrai nom, Mohammed Moulessehoul, est consacré à deux reprises par l’Académie française, salué par des prix Nobel (Gabriel Garcia Marquez, J. M. Coetze, Orhan Pamuk).
Soixante ans après l’indépendance du pays, le père de L’Eternel Jugurtha, Jean Amrouche, mort il y a soixante ans justement, n’est pas encore reconnu. Fin connaisseur du monde littéraire, il est même peu connu dans son pays natal, puisque marginalisé à l’avènement de l’indépendance par ceux qui ne veulent pas comprendre que «par-dessus les différences de langue, de mœurs ou de religion, l’intelligence est une patrie». «La poésie est toujours un acte de paix, disait Pablo Neruda. Le poète naît de la paix comme le pain naît de la farine. Les incendiaires, les guerriers, les loups cherchent le poète pour le brûler, pour le tuer, pour le mordre.»
La romancière et traductrice Amel Bouchareb est une jeune brillante plume. Rencontrée,dernièrement, lors de la tenue du 25e Salon international du livre d’Alger, elle revient entre autres sur la traduction en langue italienne de son premier roman Sakarat Nedjma et sur le lien qui la relie à ses lecteurs.
Le livre, écrit par un jeune auteur pétri de talents, attire par son style simple, mais riche en rebondissements, fruit d’une imagination débordante.
Le «Grand Prix Assia Djebar du Roman» est créé pour promouvoir la littérature algérienne, il vise à donner à celle-ci une audience internationale. Il récompense une œuvre de fiction en prose, qui se distingue par son originalité ou par son style.
L’écrivain et poète franco-algérien, Pierre Amrouche, fils du grand intellectuel et patriote algérien Jean El-Mouhouv Amrouche, vient de publier en Algérie son premier recueil de nouvelles Le chien de ta mère aux éditions Koukou. Il s’agit une première qui fait plaisir à Pierre Amrouche, l’un des grands experts en art africain.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan le jeune et sémillant auteur, Jugurtha Abbou nous parle de son livre Les maux conjugués, publié aux éditions Imal et préfacé par notre collègue Mustapha Benfodil. Son premier roman «se veut un hymne à la paix quand la guerre se fait sentir, un hymne à l’amour quand la haine s’installe, un hymne à l’espoir quand le dépit s’affirme et aussi et surtout un hymne à la résistance quand la tyrannie s’impose », résume celui qui a à son actif un recueil de poésie et un essai politique.
Sans être connue des journalistes littéraires, et très peu du grand public, la Française Mélissa Da Costa a vendu l’an dernier plus de 600 000 livres : la discrétion réussit à cette romancière qui se décrit comme «instinctive».
L’écrivain Saâd Saïd a signé son roman intitulé Les Tranchées de l’imposture, à la Librairie du Tiers-Monde – place Emir Abdelkader –, à Alger, le 12 mars, après-midi.
De prime abord, l’intitulé de la deuxième édition de la rencontre nationale consacrée à la littérature féminine, a semblé pour le moins fantaisiste. Néanmoins dès l’entame de la manifestation, Abdelali Koudid, le directeur de la culture, et Ahmed Mékaoui, le directeur de la maison de la culture, lèvent toute équivoque en exposant les tenants de la problématique.
Cette histoire aurait pu sortir tout droit de l’imagination de l’une des plus grandes artisanes de romans policiers. Pourtant, les faits sont bien réels et n’ont rien à voir avec l’un des scénarios rocambolesques et rondement bien menés auxquels nous a habitués Agatha Christie. Car, cette fois-ci, c’est elle le protagoniste.