La Cour des comptes relève que sur le plan organisationnel «la dispersion de la gestion du service public entre plusieurs organismes nationaux et locaux a fortement altéré son efficacité».
Le contrôle effectué par la Cour des comptes a révélé qu’«à l’origine, l’effort requis des communes répond plus à un souci de réduction de la charge financière d’électricité supportée qu’à des considérations écologiques».
Dans sa partie relative aux administrations de l’Etat, les évaluations de la Cour des comptes ont abordé quatre domaines liés respectivement aux secteurs de l’éducation nationale, l’hydraulique, l’agriculture et le tourisme.
La Cour des comptes a précisé dans ce rapport que «le système éducatif en Algérie bénéficie d’une priorité absolue de la part de l’Etat à travers les ressources qui lui sont allouées, notamment financières».
Le rapport annuel de la Cour des comptes met en lumière les lacunes et le manque de coordination dans l’organisation du transport scolaire en Algérie, pointant du doigt une défaillance organisationnelle à différents niveaux.
Le rapport de la Cour des Comptes sur le secteur de la viande rouge en Algérie met en lumière des lacunes majeures dans la réalisation des objectifs stratégiques, soulignant des difficultés persistantes.
Au mois d’avril 2023, le taux de numérisation global des PDAU était loin de l’objectif final, car il était de l’ordre de 17,42%, soit 268 plans numérisés sur un total de 1538 plans à numériser, alors que celui des plans d’occupation des sols (POS) ne dépassait pas les 3,18%, soit 221 plans numérisés sur les 6944 existants.
Les évaluations effectuées au niveau des entreprises publiques ont fait ressortir des déficiences ayant trait à l’organisation et au contrôle interne. Ce qui n’a pas été sans impact sur la réalisation de leurs missions statutaires et l’atteinte de leurs objectifs en termes de performance.
Dans son rapport annuel 2021, la Cour des comptes (CC) a réitéré la nécessité de veiller à la maturation des projets et la planification des activités et au respect des budgets par les différents organismes et institutions publiques. «La Cour des comptes réitère ses précédentes constations concernant l’absence de maîtrise de la conception et la mise en œuvre des différents programmes d’équipement publics, laquelle a souvent été à l’origine de dépassements dans les coûts et les délais de réalisation», souligne le dit rapport.
La moitié des points de collecte ne sont pas dotés d’équipement. 211 points de décharge non traités, dont près de 6000 points critiques.