Se cachant des combats de rue qui font rage dans les rues de Kiev, soumise à l’invasion des forces russes, Ioulia Snitko a passé la nuit dans la cave de son immeuble, priant pour la vie de son enfant à naître.
Un des soucis majeurs que pose la crise russo-ukrainienne à l’Europe aujourd’hui est de trouver des sources d’approvisionnement en gaz afin de ne plus dépendre de la Russie.
Sommes-nous Ukraine ou Russie, deux pays représentant deux axes géostratégiques opposés ? Dans les faits, la majorité des Algériens ont pris partie pour la Russie, mais savent-ils pourquoi ?
Aucun algérien n'est décédé en Ukraine aujourd'hui, samedi 26 février, a indiqué le ministère des Affaires étrangères, dans un communiqué.
Le Kremlin a accusé samedi 26 février l'Ukraine, au troisième jour de l'invasion russe du pays, d'avoir fait capoter une trêve en refusant des négociations.
Deux jours après avoir reconnu l’indépendance des territoires séparatistes prorusses dans la région du Donbass, à l’est de l’Ukraine, le président russe, Vladimir Poutine, annonce, très tôt jeudi, le lancement de l’offensive militaire contre ce pays. «J’ai pris la décision d’une opération militaire spéciale», annonce M. Poutine dans une déclaration télévisée diffusée peu avant 6h du matin, heure de Moscou (3h00 GMT).
Qui est prêt à combattre avec nous ? Je ne vois personne. Qui est prêt à donner à l’Ukraine la garantie d’une adhésion à l’OTAN ? Tout le monde a peur», a dénoncé le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, alors que les soldats russes étaient aux portes de Kiev.
Les prix du pétrole et du gaz sont au plus haut suite aux opérations militaires russes en Ukraine. Hier, les cours du pétrole évoluaient aux alentours de 100 dollars, après le bond spectaculaire enregistré jeudi, à plus de 105 dollars pour le Brent, un seuil jamais égalé depuis 2014, suite aux attaques russes contre l’Ukraine.
Le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé, avant-hier, le lancement d’une «opération militaire» en Ukraine, dont l’économie fragile est de plus en plus tournée vers l’Europe, grand rival stratégique de la Russie.
Les Algériens établis en Ukraine multiplient, depuis jeudi dernier, les appels à leur évacuation. Ces cris de détresse, émanant notamment des étudiants algériens inscrits dans des universités ukrainiennes, sont relayés sur les réseaux sociaux.
Cette déclaration du chef de l’armée de terre allemande peut résumer à elle seule l’état d’esprit de l’Europe après l’offensive militaire russe en Ukraine. «Je n’aurais jamais cru, après 41 ans de service en période de paix, devoir faire l’expérience d’une guerre et que l’armée, que je dirige, soit plus ou moins nue (…). Les options que nous pouvons offrir aux pouvoirs politiques sont extrêmement limitées.»
Le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger a appelé, jeudi 24 février dans un communiqué, les citoyens algériens présents et établis en Ukraine à faire preuve d'une "extrême prudence" et à ne sortir de leurs lieux de résidence qu'en cas d'urgence.
L'opération militaire russe déclenchée dans la nuit de mercredi à Jeudi a provoqué de vives réactions de condamnation dans plusieurs capitales occidentales.
Les prix du Brent ont dépassé la barre des 100 dollars US après l entrée en guerre effective de la Russie contre l 'Ukraine.
C'est durant la nuit de mercredi 23 à jeudi 24 février que le président russe Vladimir Poutine a annoncé le début de l’attaque militaire contre l'Ukraine.
Le président américain, Joe Biden, est prêt à «rencontrer» son homologue russe, Vladimir Poutine, «à tout moment, qu’importe le format si cela permet d’éviter une guerre» en Ukraine.
L’Ukraine est «le bouclier de l’Europe» contre l’armée russe. C’est ce qu’a déclaré hier le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Conférence sur la sécurité qui se tient depuis vendredi à Munich, en Allemagne.
Le président russe Vladimir Poutine a lancé samedi 19 février des exercices militaires "stratégiques" impliquant des tirs de missiles balistiques, a annoncé le Kremlin, au moment où les tensions sont à leur comble dans la crise russo-occidentale autour de l'Ukraine.
Pour trouver une solution diplomatique à la crise russo-occidentale sur l’Ukraine, le chancelier allemand, Olaf Scholz, a effectué hier une visite à Moscou, où il s’est entretenu avec le maître du Kremlin, Vladimir Poutine.
Des forces russes déployées depuis des semaines près de la frontière ukrainienne ont commencé à retourner dans leurs garnisons, a annoncé mardi 15 février le ministère russe de la Défense, alors que les Occidentaux craignaient une opération militaire imminente.