Après avoir vécu une période difficile qui a vu sa santé se décliner sérieusement au point d’être hospitalisé en urgence pendant plusieurs jours, suscitant beaucoup d’inquiétude, notre ancien champion Abdelkader Ould Mekhloufi s’en est sorti, Dieu merci, au grand bonheur de sa famille, de ses proches et de la grande famille sportive.
Djamel Laroussi, né le 5 janvier 1964 à Tiaret, autodidacte, carrure imposante et verbe facile, incarne, localement, l’essence même d’un artiste passionné.
Guitare en main, chaque fois que de besoin, il illustre son propos pour le plus grand plaisir de notre oreille. A un moment, il entonne dans une prenante et mélodramatique tonalité, mais sans emphase, Darou sehour, darou (Ils ont osé la sorcellerie), dans un remarquable timbre de voix, voguant délicieusement sur une crête entre asri wahrani et raï, un tube dont il a fait cadeau à Khaled au tout début des années 1980 à la faveur de leur compagnonnage artistique.
«Le sport consiste à déléguer au corps quelques-unes des vertus les plus fortes de l’âme.» Jean Giraudoux
Vu comme un sauveur de la République par beaucoup d’Algériens, et par ses détracteurs, comme celui qui les a privés du pouvoir, général-major, ancien ministre de la Défense, Khaled Nezzar, parti à l’âge de 86 ans, n’a cessé d’assumer son rôle et son engagement.
Alors que Hanan et Mazen Rakik, deux habitants de Ghaza et parents de cinq enfants, se trouvaient en Cisjordanie pour soigner le fils aîné, un bombardement a tué leurs quatre enfants laissés chez leur tante maternelle à Tell Al Hawa. Une histoire bouleversante semblable à celle de milliers de foyers palestiniens dévastés.
Ils n’étaient pas nombreux, mais tous déterminés, guidés par leur volonté de faire triompher la justice. Ils étaient jeunes mais résolus, et prêts aux sacrifices.
Ils n’étaient pas nombreux, mais tous déterminés, guidés par leur volonté de faire triompher la justice. Ils étaient jeunes mais résolus et prêts aux sacrifices.
«Quand le vainqueur a quitté ses armes, le vaincu a le devoir de quitter sa haine.» Sénèque Par Hamid Tahri
C’est avec affliction que j’ai appris, dimanche matin, le décès du moudjahid Dali Hamid, l’enfant terrible de la Casbah, qui nous a quittés après une vie pleine et entière. Ses engagements et ses convictions bien ancrés, il reste l’un des rares à avoir mené un combat aussi bien dans la guérilla urbaine qu’au cœur des rigueurs du maquis.
Tout d’abord, je tiens à remercier mon ami et confrère Youssef Zerarka à l’origine de notre rencontre conviviale et fraternelle, avec d’autres amis, autour de Si Abderrahmane, chez lui, à l’ouest d’Alger. Un rendez-vous pas seulement nostalgique, à ne pas manquer, d’autant que je l’ai perdu de vue depuis belle lurette.
«Un chemin étroit ne peut jamais avoir de proportions avec une conscience large.» Bourdaloue
«Nous aurons le destin que nous aurons mérité.» (Albert Einstein)
Il y a 30 ans, jour pour jour, était assassiné à Alger le médecin-poète Laadi Flici. Il avait 56 ans. C’est mon confrère et ami Kamel Laggoun qui m’a rappelé ce fait macabre. C’était un 17 mars.
Né le 16 avril 1941 dans la ville d’Akbou, le bon docteur Ahcene Rekis se dévoue corps et âme pour soulager ses patients et tous ceux qui se pointent à son cabinet depuis plus d’un demi-siècle. L’aide qu’il apporte en particulier aux plus démunis lui a valu d’être surnommé «le médecin des pauvres».