16 Palestiniens sont morts en détention depuis le 7 octobre en Cisjordanie, suite aux mauvais traitements qui leur ont été infligés dans les geôles israéliennes. Parmi eux, l’écrivain et militant Walid Daqqa, mort le 7 avril dernier, privé de soins. Il était détenu depuis 38 ans. 16 Palestiniens sont morts en détention depuis le 7 octobre en Cisjordanie, suite aux mauvais traitements qui leur ont été infligés dans les geôles israéliennes. Parmi eux, l’écrivain et militant Walid Daqqa, mort le 7 avril dernier, privé de soins. Il était détenu depuis 38 ans.
Plusieurs villes et capitales à travers le monde ont été le théâtre samedi de manifestations massives de soutien au peuple palestinien et pour dénoncer l'agression sioniste contre la bande de Ghaza, a indiqué l'agence de presse Wafa.
Un bateau de l’ONG espagnole Open Arms a inauguré hier le corridor maritime reliant le port chypriote de Larnaca à la bande de Ghaza. L’opération qui a été réalisée conjointement avec une autre organisation caritative, World Central Kitchen (WCK), consiste en l’acheminement de 200 tonnes de vivres au profit de la population palestinienne assiégée.
Les Palestiniens de la bande de Ghaza, détenus par l’armée d’occupation sioniste, sont victimes de torture et de meurtre avec préméditation, a indiqué samedi l’Observatoire euro-méditerranéen pour les droits de l’homme (Euro-Med Monitor).
C’est la première fois qu’un haut responsable américain se prononce en faveur d’un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza en 150 jours d’une guerre totale contre le peuple palestinien.
La situation humanitaire dans l’enclave palestinienne est devenue catastrophique, avec près de 2,2 millions de personnes sur le point de sombrer dans la famine, selon l'Agence de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA). Le ministère de la Santé à Ghaza a signalé que 16 enfants sont morts de malnutrition et de déshydratation au cours des derniers jours.
Alors que les massacres des Palestiniens se poursuivent à raison d’une centaine au moins de morts par jour, les négociations semblent repartir du bon pied en vue de parvenir à une trêve. Jake Sullivan, conseiller de Joe Biden, a déclaré hier à CNN qu’un « terrain d’entente» a été trouvé lors des récentes discussions qui ont eu lieu à Paris.
Le rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation, Michael Fakhri, a averti, hier, que la Bande de Ghaza n’avait jamais connu un tel niveau de faim, estimant que l’intention d’Israël était de «punir tous les Palestiniens simplement parce qu’ils sont Palestiniens».
Israël concentre depuis des semaines ses opérations militaires à Khan Younès où des médecins de l’hôpital Al Nasser décrivent une situation intenable dans cet établissement transformé en champ de ruines.
Si la guerre asymétrique suppose une inégalité des moyens militaires et par extension des moyens médiatiques, la résistance palestinienne a su compenser ce déséquilibre par un activisme digital qui lui a permis d’avoir une certaine visibilité et de faire entendre sa voix.
Le secrétaire général adjoint des Nations unies en charge des affaires humanitaires, Martin Griffiths, a déclaré que les souffrances des Palestiniens de la ville de Rafah, au sud de la Bande de Ghaza, sont «inimaginables», en raison de la guerre génocidaire sioniste qui se poursuit depuis le 7 octobre 2024.
Dans le viseur d’Israël depuis le début de la guerre, l’Unrwa est devenu, dès le prononcé des injonctions de la CIJ, un ennemi à abattre. Témoin gênant des actes de génocide commis à Ghaza, qui a aidé les magistrats de la Cour de La Haye à argumenter l’accusation et qui empêche par sa présence à Ghaza la bonne exécution du plan de déportation forcée des réfugiés, l’Unrwa se retrouve privée de fonds, avec lesquels elle maintient en vie plus de 1,7 million de Palestiniens.
Selon le ministère palestinien de la Santé, le bilan des attaques de l’armée d’occupation contre Ghaza depuis le 7 octobre dernier s’est alourdi à 25 105 martyrs et 62 681 blessés.
Le jeudi 18 janvier 2024 à midi, tous les billets ont été vendus. Je lève mon chapeau pour l’artiste algérien qui a voulu que ce spectacle soit unique en son genre. Je salue aussi l’immense travail de promotion fait par la presse nationale pour cet événement. Nous avons pu réunir 150 artistes sur scène, soutenus par des sponsors qui ont bien cru au projet, et par le ministère de la Culture et des Arts», a déclaré Abdelkader Bouazzara, directeur de l’Opéra d’Alger et organisateur du gala.
Le monde entier a vu les images de ces centaines de jeunes et moins jeunes Ghazaouis, fouillés, quasiment à nu sous la menace des armes, parqués sur des places publiques dans un chaos de décombres ou embarqués comme du vulgaire bétail dans des engins vers des destinations inconnues.
Comme si les carnages perpétrés contre les populations civiles de Ghaza ne lui suffisaient pas, l’armée sioniste est déterminée à laisser l’enclave exsangue de son patrimoine archéologique et historique. Depuis le début de cette guerre barbare, plusieurs monuments et sites culturels ont été ciblés par les bombardements aveugles, suscitant l’inquiétude de nombre d’organisations internationales des droits de l’homme mais aussi et surtout celles œuvrant pour la protection du patrimoine mondial.
L’Algérie a appelé, vendredi, par la voix de son représentant permanent auprès des Nations unies à New York, l’ambassadeur Amar Bendjama, la communauté internationale, notamment le Conseil de sécurité, à rejeter d’une «seule voix» le déplacement des Palestiniens, et ce, lors de la réunion du Conseil de sécurité sur le déplacement forcé des Palestiniens.
La violence persistante et dévastatrice empêche tout espoir d’entrevoir rapidement un avenir après cette guerre, laissant dans son sillage une détresse insoutenable et des traumatismes profonds au sein de la population palestinienne.
Le ministère palestinien de la Santé a annoncé hier que 23 084 personnes avaient été tuées dans la Bande de Ghaza depuis le début des opérations militaires engagées par Israël.
Le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC) a prévenu que toute tentative d’Israël d’expulser et de déplacer définitivement des Palestiniens à l’intérieur et à l’extérieur de Ghaza constituerait «une violation grave du droit international et une atrocité criminelle».