Il a été projeté dans le cadre de la tenue à Oran à l’Institut Cervantès du Festival du cinéma ibéro-américain. Le choix de cette œuvre pour représenter ce grand pays d’Amérique latine est particulièrement judicieux car c’est une véritable découverte qu’est cette réalisation datant de 2022 (sortie), signée Efterpi Charalambidis (son deuxième long métrage) et interprétée avec brio, notamment par l’actrice principale, la talentueuse et flamboyante Irabé Seguia présente à Oran pour débattre avec le public.
Idaam (Exécution) de Youssef Mahsas et Désert rose (La rose du désert) de Oussama Benhassine ont été projetés à la salle Douniazed, à Saïda, à la faveur de la compétition du 7e Festival national du cinéma et de la littérature de la femme, clôturé dans la soirée du 26 mai.
La Fédération franco-algérienne Aquitaine organise aujourd'hui (samedi) 20 avril à 14h30 au cinéma l'Utopia de Bordeaux une projection unique du film sur l'Emir Abdelkader, fondateur de l'Etat algérien moderne intitulé, Abd El-Kader, de Salem Brahimi suivie d’une discussion avec Ahmed Bedjaoui, producteur et auteur, Ahmed Bouyerdene, historien, et Christian Delorme, prêtre de l’archidiocèse de Lyon. La billetterie est disponible au cinéma l'Utopia de Bordeaux.
La Fédération franco-algérienne Aquitaine organise aujourd'hui (samedi) 20 avril à 14h30 au cinéma l'Utopia de Bordeaux une projection unique du film sur l'Emir Abdelkader, fondateur de l'Etat algérien moderne intitulé, Abd El-Kader, de Salem Brahimi suivie d’une discussion avec Ahmed Bedjaoui, producteur et auteur, Ahmed Bouyerdene, historien, et Christian Delorme, prêtre de l’archidiocèse de Lyon. La billetterie est disponible au cinéma l'Utopia de Bordeaux.
Je suis tellement heureuse, ça veut dire que les films traversent les frontières», a-t-elle déclaré à la presse dans les coulisses de la cérémonie. «C’est un énorme soulagement pour tout le monde car nous avons commencé la course en septembre», a-t-elle confié à l’AFP.
Le 7e art algérien vient de briller grâce à un nouveau long métrage qui a réussi un véritable succès. Projeté en avant-première, la semaine dernière à l’Opéra d’Alger, le film Larbi Ben M'hidi est un des plus grands succès du cinéma algérien qui a réussi à attirer une foule impressionnante avide de connaître son histoire.
-C’est difficile de jouer Larbi Ben M’hidi ? Plus difficile que de jouer un héros anonyme de la Révolution ? Pas vraiment, c’est un rôle, une fois qu’on est dedans, on y est, d’autant qu’il n’y a pas vraiment de documents sur sa personnalité, donc on a le droit de prendre quelques marges, l’essentiel étant de ne pas le rendre éteint. C’est un faux calme, grâce, je pense, à un travail volontaire sur lui-même.
Le film Ben M’hidi de Bachir Derais sort plus de six ans après sa mise au placard. Le long métrage a été projeté à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaih.
Demain, 4 mars, sera diffusé à 19h le film enfin autorisé de Bachir Derraïs Ben M’hidi, projection confidentielle à l’Opéra d’Alger et événement de l’année, une quinzaine de ministres et une foule de cadres de ministères et d’ayant-droits étant annoncés. Première pénurie d’avant-Ramadhan, celle des cartons d’invitation.
L’Institut français d’Oran a abrité ces jours-ci «La Balle de la dignité» un film-documentaire de Rachid Doguer qui plonge les spectateurs dans l’épopée du football algérien, depuis la création de l’équipe du FLN, pendant la guerre de libération nationale, jusqu’au premier sacre continental algérien lors de la Coupe d’Afrique des nations 1990.
La mer souvent plate, le ciel toujours bleu, pas de pluie ou presque, de grisaille, de brume et encore moins de neige, comment faire des films d’auteur où les nuances de gris sont si importantes ? Début de réponse à Mostaganem pour le début du tournage de Terre de vengeance d’Anis Djaad.
Palace Jugurtha, luxueux établissement hôtelier à l’ouest de Gafsa, au bord de la route qui mène à la frontière algérienne à une trentaine de kilomètres à vol d’oiseau.
Joaquin Phoenix arbore le bicorne de l’empereur pour le très ambitieux Napoléon de Ridley Scott, un pari à près de 200 millions de dollars qui tente de mêler batailles homériques et vie sentimentale de Bonaparte et a droit à une sortie mondiale mercredi.
Le gala de clôture de la 38e édition de la Mostra de València-Cinema del Mediterrani s’est déroulé dans le lieu même où Paolo Sorrentino a reçu la palme d´honneur il y a quelques jours, la Sale Iturbi du Palau de la Música rénovée, avec plusieurs clins d’œil à l’univers du cinéaste italien.
Le Festival international du film de Busan (BIFF) a vu en mai son directeur, Huh Moon-yung, quitter ses fonctions, à la suite d’accusations de harcèlement sexuel qui font l’objet d’une enquête. Kang Seung-ah, le directeur exécutif par intérim, a reconnu que le festival était passé par «une période difficile», avec un budget réduit de quelque 10% en raison de la perte de sponsors.
C’est un public nombreux qui s’est rendu à la cinémathèque d’Oran, vendredi dernier, pour rendre hommage à Pierre Chaulet à travers le film documentaire que lui a consacré le cinéaste Saïd Mehdaoui, sorti cette année même et répondant au titre éloquent Le citoyen Pierre Chaulet. Un titre sans équivoque, qui se veut une réponse cinglante à ces maladroits qui affublent les personnes d’origine européenne ayant pris fait et cause pour l’indépendance algérienne de la dénomination «d’amis de l’Algérie» alors qu’ils sont des Algériens à part entière. Débutant par un échange de mails entre le Pr Chaulet et Saïd Mehdaoui - à l’époque où ce dernier lui avait proposé de faire un film retraçant sa vie - le film revient sur les moments les plus marquants de la vie de Pierre Chaulet et de son épouse Claudine, du choix qu’ils avaient fait pour l’Algérie algérienne, puis à la période post-indépendance, alors qu’il était devenu un éminent médecin, de son combat farouche pour éradiquer, une fois pour toute, la tuberculose de l’Algérie. Plusieurs témoignages, de moujahidine, d’amis, d’historiens, de confrères et de disciples de Pierre Chlaulet sont disséminés tout le long du documentaire de 63 minutes, en plus de fabuleux extrait d’une interview filmée que le défunt avait donnée en 2011 - un an avant sa disparition - et le tout ponctué de scènes fictionnelles dans lesquelles les comédiens El Amine Mouffok et Nada Aissani endossent respectivement les rôles de Pierre et de Claudin Chaulet. Il est sans dire que le film a été fortement apprécié par l’assistance au point que cette dernière, à la fin de la projection, a réservé une standing ovation au réalisateur Saïd Mahdaoui, présent sur les lieux. Un riche débat s’en est suivi, où de nombreuses personnes ont pris la parole. Notons enfin que les mémoires de Pierre et Claudine Chaulet ont été publiés ces dernières années aux éditions Barzakh dans un livre écrit à quatre mains et préfacé par Rédha Malek, sous le titre Le choix de l’Algérie. Deux voix, une mémoire. Akram El Kébir
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a annoncé, hier à Alger, la présentation en avant-première, «dans les prochains jours», du film sur Larbi Ben M’hidi et la diffusion de celui sur le chahid Zighoud Youcef.
Youssef Chebbi a choisi un chantier en ruine du quartier Les jardins de Carthage, grand projet immobilier lancé dans la banlieue nord de Tunis à l’époque du régime de Zine El Abidine Benali, pour tourner un polar aux allures d’un drame psychologique. Un film où le fantastique rejoint le spirituel.
Le film Ashkal (Les formes) du jeune cinéaste Tunisien Youcef Chebi a fait sensation, dimanche soir, au 2e jour des rencontres cinématographiques de Béjaïa (RCB), devant un public, visiblement bien au fait de l’actualité tunisienne, notamment les tourments générés au lendemain des évènements de 2011, coïncidant avec la chute du régime du président Zine El-Abidine Ben Ali.
Scénariste et réalisateur autant que comédien, auteur d’une dizaine de films, on lui doit Le thé à la menthe (1984), La nuit du destin (1997), Le soleil assassiné (2004) et Jennia (2019). Bien qu’ayant réalisé plusieurs films français, il est sélectionné pour l’aide au cinéma en Algérie et va bientôt entamer son nouveau long métrage, Jawhara, qu’il va tourner à Saïda, sa ville natale.