Ce mardi 5 novembre, les Américains vont élire un nouveau Président. Et comme le veut la tradition, ils devront départager les candidats républicain et démocrate, autrement dit choisir entre Kamala Harris et Donald Trump.
Qui succédera à Joe Biden et deviendra ainsi le 47e président des Etats-Unis ? Après plusieurs mois de campagne, l’élection présidentielle américaine se tient aujourd’hui. Elle opposera deux candidats qui symbolisent la fracture de l’Amérique.
Quelque 244 millions d’Américains sont appelés demain aux urnes pour élire leur président. Ils ont à choisir entre le républicain Donald Trump, président de 2016 à 2020, et Kamala Harris, vice-présidente de Joe Biden, dans un pays profondément polarisé et au climat politique tendu, illustré notamment par la tentative d’assassinat de Donald Trump le 13 juillet, lors d’un meeting en Pennsylvanie.
Pour Israël, les Etats-Unis n’hésitent pas à se transformer en pyromanes, à se transformer en ennemis de la paix et de la justice, en violation de leurs obligations internationales en tant que membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
Le président américain, âgé de 81 ans, était contesté depuis plusieurs semaines quant à sa capacité physique à pouvoir assurer sa fonction pendant quatre ans de plus.
Abdelmadjid Tebboune, Président de la République, a convoqué aujourd'hui le corps électoral pour le scrutin présidentiel du 07 septembre prochain.
Depuis l’annonce de la date de cette échéance électorale, la scène politique s’anime : des meetings, des rencontres-débats, des rassemblements sont organisés à travers plusieurs wilayas du pays.
Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi, a réitéré, hier à Béjaïa, la volonté de l’institution qu’il dirige de faire la part belle à la supervision participative, en associant tous les acteurs impliqués dans l’organisation et le déroulement de l’élection présidentielle du 7 septembre prochain.
Le premier secrétaire du FFS, Youcef Aouchiche, a affirmé, hier, que la décision de son parti sur la présidentielle du 7 septembre ira dans le sens de «l’intérêt national» et sera «conforme aux objectifs fixés par les résolutions du 6e congrès».
Belkacem Sahli, secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), serait la deuxième personnalité politique, après Zoubida Assoul, présidente de l’Union pour le changement et le progrès, à annoncer sa candidature à la magistrature suprême. Une candidature qui se ferait au nom d’une alliance de sept partis politiques (ANR, PRD, FMN, FDL, MEN, MNTA, URN).
Le FLN, le RND, El Moustakbal et Bina créent une alliance, le FFS et le RCD peinent à décrypter l’enjeu de la prochaine échéance électorale, l’UCP accepte le challenge non sans appréhension, le PT appelle à des mesures d’apaisement… A moins de six mois de l’élection présidentielle anticipée, prévue le 7 septembre, les partis politiques se mettent en mode préélectoral.
La classe politique continue de réagir à la décision prise par le président Abdelmadjid Tebboune d’avancer de trois mois la date de la tenue de l’élection présidentielle, qui aura donc lieu le 7 septembre prochain.
Les Sénégalais ont commencé à voter dimanche pour élire leur cinquième président lors d’un scrutin à l’issue totalement imprévisible qui tranchera entre continuité et changement peut-être radical après trois années d’agitation et de crise politique. «On y est finalement arrivé. Alhamdoulila (Dieu soit loué).
La majorité des partis politiques a salué la décision du président Tebboune d’avancer au 7 septembre la date de la tenue de l’élection présidentielle.
Contre toute attente, le président de la République vient de décider d’une élection présidentielle anticipée, qui aura lieu le 7 septembre 2024, au lieu du 12 décembre 2024, qui marque la fin de mandat du président Abdelmadjid Tebboune.
La vie politique est plutôt terne en Tunisie en cette année électorale 2024. La population espère un redressement de l’économie, près de trois ans après le coup de force du 25 juillet 2021 du président Saïed La Tunisie a néanmoins échappé à une faillite annoncée.
Les déclarations de l'ancien président Donald Trump soulignent l'importance qu'il accorde à l'élection présidentielle de novembre, la présentant comme un moment crucial dans l'histoire des États-Unis.
La campagne pour l'élection présidentielle de novembre aux Etats-Unis s'annonce atypique : deux hommes très âgés, en lice pour un poste qu'ils ont déjà chacun occupé, se livreront à ce qui devrait être l'un des plus longs face-à-face électoraux de l'histoire américaine.
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Athmane Mazouz, a estimé, hier à l’occasion d’un meeting populaire organisé à la salle de cinéma Salah Boukrif de la ville de M’chedallah, à l’est de Bouira, que «le pays a besoin de solutions» pour sortir de la crise et faire face aux difficultés quotidiennes. Il appellera d’ailleurs à l’instauration d’un véritable dialogue entre les Algériens, le chef du parti a rappelé que le RCD n’a jamais refusé le dialogue.
L’élection présidentielle de décembre prochain, la situation politique et organique, la guerre que mène Israël contre le peuple palestinien sont autant de sujets débattus, hier, par le Conseil national du Front des forces socialistes (FFS) réuni en session ordinaire à Alger.