La nouvelle loi sur l’investissement prévoit plusieurs nouvelles mesures pour faciliter les investissements étrangers en Algérie, dont la création d’un guichet unique, a affirmé le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar.
L’économie algérienne étouffe sous le poids des restrictions aux échanges commerciaux, financiers et économiques externes, des rigidités structurelles et des politiques publiques incohérentes. Ces trois facteurs ont causé progressivement depuis dix années des dommages structurels aggravés par la faiblesse des mesures mises en place pour combattre les effets des chocs sanitaire et pétrolier de mars 2020.
La présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) a jeté un pavé dans la mare en s’attaquant aux blocages dont font l’objet les patrons et investisseurs. Saïda Neghza s’est exprimée sur la chaîne Ennahar et a affirmé que ceux qui «entravent la relance économique se trouvent dans l’entourage du président Tebboune». «La îssaba est toujours aussi forte qu’avant et elle est protégée par des gens qui sont censés appliquer le programme de relance…
Une quantité de 4.000 tonnes de poudre de lait a été acheminée vers l'Algérie au cours de ces derniers jours, a indiqué lundi 7 février à Alger le directeur général de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN-Nord), Smain Abdelmalek.
Dans cet entretien, Guendouzi Brahim, professeur d’économie à l’université de Tizi Ouzou et spécialiste du commerce extérieur, analyse les mesures d’encadrement et de rationalisation des importations. Il estime que ce recadrage vise certainement à pratiquer un effet d’éviction sur le nombre d’importateurs.
Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zaghdar, a reçu lundi dernier à Alger l’ambassadeur et chef de la délégation de l’UE en Algérie, Thomas Eckert, qui a pris ses fonctions à la mi-septembre 2021.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) cherche à mettre de l’ordre dans le foncier agricole et à organiser à production via la mise en place de pôles régionaux.
A l’instar des autres pays à travers le monde, l’Algérie a enregistré en 2021 une remontée significative des prix à la consommation qui se poursuit en 2022. Cette dernière inquiète, à juste titre, la population fortement secouée par la pandémie et qui fait face à une baisse réelle des revenus, des pénuries affectant les produits de base et une dépréciation de la monnaie nationale, paradoxalement en présence d’une remontée des prix du pétrole.
Le paiement par internet en Algérie a continué sa croissance en 2021 avec plus 7,8 millions de transactions effectuées dans les différents secteurs d'activités, ce qui représente une hausse de 70,25% par rapport à 2020.
Plus de 150 sites web-marchands offrent à leurs visiteurs la possibilité de régler leurs achats par carte interbancaire (CIB) ou carte Edahabia, selon les données publiées par le Groupement d'intérêt économique de la monétique.
Il est vrai qu’il est prématuré d’évoquer le concept de l’Economie sociale et solidaire (ESS) en Algérie, même si dans la réalité une panoplie d’organisations, d’activités et de pratiques répondent fondamentalement aux principes et valeurs défendus par cette nouvelle voie qui propose une alternative économique responsable et humaine.
La Direction générale des impôts (DGI) a dévoilé jeudi dans un communiqué rendu public les obligations fiscales des contribuables exerçant des professions non commerciales dans le cadre du régime qui leur est appliqué depuis le 1er janvier en cours dans le cadre des dispositions de la Loi de finances (LF) 2022.
L'activité du port d'Alger durant le 3ème trimestre 2021, a accusé une baisse, aussi bien pour le mouvement de la navigation des opérants que pour le trafic marchandise, en comparaison avec la même période de l'année 2020, selon les derniers chiffres de l'Entreprise du port d'Alger (Epal).
Le blé dur sera donc acheté désormais à 6000 DA le quintal (contre 4500 DA auparavant), alors que le blé tendre sera vendu par les producteurs aux Coopératives de céréales et de légumes secs (CCLS) au prix de 5000 Da (contre 3500 Da).
Dans un rapport sur les perspectives économiques pour l’année 2022 dans les pays du Moyen-Orient et en Afrique, The Economist s’attend à une amélioration modeste de la croissance économique, grâce notamment à la hausse de prix des matières premières. «L’Afrique pourrait être la seule région, à l’exception du Moyen-Orient, qui connaîtra une accélération de la croissance économique en 2022, mais cela reflète en grande partie une amélioration modeste dans un contexte qui reste très difficile», indique le rapport.
Les séquelles de la Covid-19 continuent de limiter la cadence de reprise et d’exacerber la pauvreté et les inégalités dans différentes parties du monde.
Le ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville a entamé l'élaboration des textes juridiques nécessaires pour la reconversion de la Caisse nationale du logement (CNL) en une institution financière spécialisée dans le financement des projets de logements, a affirmé, samedi 15 janvier à Alger, le ministre du secteur, Mohamed Tarek Belaribi.
Le dernier rapport de la Banque mondiale (BM) sur les perspectives économiques mondiales publié ce 11 janvier prévoit un ralentissement «prononcé» jusqu’en 2023. Les pressions inflationnistes sont donc parmi les conséquences les plus redoutables de la situation actuelle.
L’évaluation du partenariat des Entreprises publiques économiques (EPE) de la filière ciment avec des entreprises étrangères a révélé, selon la Cour des comptes, un certain nombre d’insuffisances dont notamment la non-concrétisation du transfert de l’expertise et du savoir-faire étrangers en matière de management, tel que prévu dans les contrats signés entre 2005 et 2008.
Avec des opérations d’exportation de produits agricoles marquées par l’irrégularité et la faiblesse des volumes, la contribution du secteur dans le développement des exportations hors hydrocarbures reste timide, autour d’un milliard de dollars en 2020.