Les énergies renouvelables ont gagné dans le monde 9,6% de capacités supplémentaires en 2022, une croissance record, mais encore loin des niveaux nécessaires pour juguler le réchauffement climatique, a indiqué mardi l'Agence internationale des énergies renouvelables (Irena).
A l’ère où le débat s’accentue à l’échelle mondiale sur la transition vers l’économie verte, un point qui s’inscrit dans le cadre des Objectifs de développement durable à l’horizon 2030, les entreprises algériennes sont appelées à se positionner dans ce segment et à saisir les opportunités qu’offre ce changement. Mais également à prendre conscience des enjeux de cette transition.
Les prix du pétrole sont tombés, hier, à l’ouverture de la semaine de cotation, à leur plus bas niveau en 15 mois, en raison de craintes d’une récession qui saperait la demande de carburant, dans le sillage des risques liés à la déroute du secteur bancaire mondial.
La Banque centrale américaine se réunira aujourd’hui et demain afin de trancher sur l’option à choisir pour en finir avec la crise bancaire. Devant la Fed, le choix entre l’augmentation des taux d’intérêt et potentiellement alimenter la crise bancaire ou bien les maintenir à leur niveau et risquer une hausse de l’inflation.
L'action d'UBS a réussi à inverser la tendance lundi à la Bourse de Zurich, après l'accueil glacé qui avait suivi l'annonce dimanche de la fusion de la première banque helvétique avec Credit Suisse.
Le ministre saoudien de l’Energie a déclaré que le Royaume ne vendrait pas de pétrole à un pays qui imposerait un prix plafond à ses approvisionnements. Le prince Abdelaziz a souligné dans une interview publiée par Energy Intelligence que le plafonnement des prix du pétrole conduirait inévitablement à l’instabilité du marché.
Contrairement à la tendance mondiale, l’Afrique a enregistré une production agricole exceptionnelle, indique un rapport trimestriel de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation (FAO).
«Le principal défi des gouvernants au XXIe siècle est la maîtrise du temps» Le défi du gouvernement remanié est la relance économique entre 2023/2025 et nous sommes déjà au mois de mars, n’existant pas en économie de situation statique, toute Nation qui n’avance pas recule forcément.
La plus grande banque de Suisse UBS, poussée par les autorités, doit absolument finaliser dimanche le rachat de sa rivale Credit Suisse pour espérer éviter une débâcle et une vague de panique contagieuse sur les marchés lundi.
Institué en vertu d’un arrêté interministériel datant du 16 février 2021, l’entrée en vigueur de l’obligation d’utilisation du code-barres devrait intervenir dans une dizaine de jours, soit à compter du 29 mars 2023. Qu’il soit importé ou fabriqué localement ou destiné à l’exportation, aucun produit ne sera exempté de cette obligation.
Les cours du pétrole sont repartis à la baisse vendredi et ont clôturé à leur plus bas niveau depuis près de 15 mois, minés par la crise bancaire persistante qui fait redouter un freinage du crédit et de l’économie.
L’agence de notation S&P Global Ratings a relevé d’un cran la note de l’Arabie saoudite, à A, en invoquant les réformes engagées ces dernières années et son rôle de leader sur les marchés pétroliers.
Semaine chaotique pour le secteur des finances américain dont la faillite de certaines banques fait craindre aux établissements financiers occidentaux un effet de contagion. L’économie mondiale reste aux aguets face aux nouvelles venant d’outre atlantique craignant une récession semblable à celle provoquée par la crise des subprimes en 2008.
Credit Suisse doit trouver les moyens de rassurer coûte que coûte les marchés avant leur ouverture lundi matin, même si la deuxième banque de Suisse est l'une des 30 banques au niveau mondial considérée comme trop grosse pour faire faillite.
L’OCDE a relevé ses prévisions de croissance mondiale pour 2023 et 2024 grâce à une baisse de l’inflation et la réouverture de la Chine, mais reste fragile, sur fond de grandes difficultés rencontrées par certaines banques. Le produit intérieur brut (PIB) mondial devrait augmenter de 2,6% en 2023, contre 2,2% anticipés en novembre dernier par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), selon ses perspectives publiées hier. L’an dernier, la croissance mondiale s’était élevée à 3,2%. En 2024, la croissance mondiale devrait accélérer à 2,9%, soit 0,2 point de pourcentage que préalablement prévu. Les économies continueront toutefois à subir le contrecoup du relèvement du taux d’intérêt décidé par les banques centrales pour lutter contre l’inflation.
Espérons, après le dernier remaniement du gouvernement crée une nouvelle dynamique afin, comme cela a été annoncé à maintes reprises par les pouvoirs publics une relance effective de la machine économique pour l’année 2023, où selon les dernières statistiques douanières fin 2022, plus de 80% des exportations hors hydrocarbures relèvent de semi-produits dont plus de 60/70% de dérivées d’hydrocarbures.
Le secteur des cryptomonnaies est depuis des mois le théâtre d'une série de déboires et scandales, entre faillites de banques ou plateformes, et les régulateurs cherchent des solutions pour protéger les particuliers de fraudes et arnaques à répétition.
L’Algérie peine toujours, semble-t-il, à mettre sur rails son ambitieux programme de modernisation des systèmes d’information (SI) de l’ensemble des banques publiques, à savoir le Crédit populaire d’Algérie (CPA), la Banque nationale d’Algérie (BNA), la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP), la Banque extérieure d’Algérie (BEA), la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) et la Banque de développement local (BDL).
La première édition du Salon international de l'électroménager se tiendra à partir d'aujourd'hui et jusqu'à lundi 20 mars, au Palais des expositions à Alger, avec la participation de près de 35 exposants, ont indiqué hier les organisateurs dans un communiqué.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a rappelé, dans un communiqué rendu public hier, l’interdiction d’utilisation des céréales (blés dur et tendre) dans l’alimentation animale, prévenant que le détournement de ces produits destinés exclusivement à la consommation humaine de leur usage initial s’apparentait à de la spéculation illicite et à du monopole.