Les encadreurs des ateliers de formation ouverts depuis samedi à Constantine dans le cadre de la 4e caravane cinématographique organisée par le ministère de la Culture et des Arts ont estimé mardi que cette initiative constitue le «meilleur gage permettant de réussir le projet de promotion du 7e art engagé par l’Etat».
L’entreprise de production culturelle et cinématographique «Cinéma jeunes» des frères Zerrouki a convié beaucoup de monde à une projection en avant-première de son numéro zéro d’une série filmique destinée à un public enfantin intitulée Hikma Wa Ibraa.
Dans une palmeraie au nord de Baghdad, des mannequins amateurs défilent, l’air blasé. Ici, pas de haute couture, mais des tenues vintage semblant sortir de films des années 1970.
Il a revisité quatre décennies de chanson et de musique qui ont bercé des générations.
Chaque année, l’avènement du mois sacré du ramadan rime forcément avec la diffusion, à la télévision, de sitcoms rigolos (ou qui tentent de l’être) et de feuilletons mélodramatiques, qui tiennent en haleine, pendant une trentaine d’épisodes, les familles scotchées devant leur téléviseur, ne consentant à profiter de l’ambiance nocturne ramadanesque, qu’à l’arrivée du défilement du générique de fin.
La générale de la pièce de théâtre Trab ledjnoun (terre de djinns), une tragédie qui met en avant la condition humaine sous le joug de l’occupation coloniale française, a été présentée, dimanche à Alger, devant un public nombreux.
Plat du Maghreb associé au Maroc, à l’Algérie et à la Tunisie, le couscous est aussi une affaire libyenne.
Le long-métrage, dans lequel Zachary Levi tient le premier rôle, a récolté 30,5 millions de dollars entre vendredi et dimanche dans les salles américaines et canadiennes, ce qui est bien moins que les 53,5 millions réalisés par le premier opus, sorti en 2019.
Les troupes théâtrales des universités d’Oran et Saïda ainsi que celle de l’Ecole du Théâtre régional de Constantine ont animé, samedi à Alger, les deuxièmes Journées nationales du théâtre universitaire.
Si les Accords d’Evian ont fait l’objet de plusieurs publications et thèses, la bande dessinée reste un bon médium pour raconter l’histoire.
Belle prestation de la chanteuse italienne FLO en concert samedi soir au Théâtre régional d’Oran. Le spectacle est organisé par le Centre culturel italien à Alger qui veut sortir de la capitale pour faire connaître et partager la culture italienne à travers l’ensemble du territoire algérien.
Après la commémoration du centenaire de la conquête française en Algérie, les réactions des Algériens ne se sont pas fait attendre. D’abord, les campagnes de boycott, ensuite la résistance anticoloniale par les partis politiques et les associations.
Interprète Khelifi Ahmed : Icône de l’art bédouin saharien
Quelle ambiance du tonnerre que celle de jeudi dernier à Oran quand le groupe Dendana a tout bonnement enflammé les planches du Théâtre régional face à un public déchaîné au-delà de toute expression.
Le comédien et metteur en scène Abdelkader Djeriou a été promu, jeudi dernier, commissaire du Festival international d’Oran du film arabe (Fiofa).
L’espace culturel Bachir Mentouri, de l’Etablissement Art et Culture, a accueilli, mercredi passé, dans le cadre des Mercredis du verbe et Mars au féminin, deux poétesses à la verve inépuisable.
Ce sera la dernière apparition de Benaïssa dans ce qui constituera le premier film de fiction de Malek Bensmaïl. Cela ne nous changera pas de sa thématique habituelle, à savoir l’actualité et le passé, toujours présent, de son pays, l’Algérie.
Le secrétaire général de l’organisation, Abdelkrim Khodri, a souligné, lors de cette rencontre intitulée «stratégie de l’information digitale pour préserver la mémoire nationale et faire face aux guerres de quatrième génération», l’impératif d’aller vers les outils et moyens numériques pour renforcer le front intérieur et consacrer le leadership algérien au niveau international par la riposte aux attaques qui visent l’histoire nationale, les composantes de la mémoire et le patrimoine culturel des Algériens
Invité aujourd’hui à un séminaire sur le lien entre littérature et journalisme dans des ateliers de recherche organisés par le master-doctorat Littératures francophones de Cergy Paris Université, notre ami et confrère d’El Watan Mustapha Benfodil explique son parcours dans une interview publiée par l’université qui l’accueille : «Je peux l’affirmer d’emblée : le journalisme traverse mon écriture littéraire de part en part.
Après trois années de fermeture, suite à la pandémie du Covid-19, le complexe religieux et culturel, Sidi Abderrahmane At-Thaâlibi, retrouve son lustre d’antan au grand bonheur du large public.