8 jeunes finalistes seront en lice pour remporter le Prix cheikh Abdelkrim Dali de la meilleure interprétation du chant andalou lors de la 4e édition qui se déroulera du 25 au 29 novembre à Alger.
Ibrahim Qaraly, journaliste, écrivain et poète, né en 1968 à l’est d’Alger, diplômé de la faculté de journalisme de l›université d’Alger, est l’auteur de plusieurs recueils de poésie, parmi lesquels Lahn el-kholoud (La mélodie de l’éternité) et Alfiyat al-djazair (Le millénaire d’Algérie), une épopée de mille vers célébrant l’histoire de l’Algérie.
Une journée scientifique portant sur le patrimoine immatériel a été organisée lundi au musée Zabana, une initiative commune entre cette institution et l’Université Oran 2 par le biais de sa faculté des sciences sociales et son unité de recherche en sciences humaines.
Riadh Belaïd est un étudiant en journalisme, âgé de 24 ans. Ayant été présent au 27e Salon international du livre d’Alger, pour présenter son second livre et compte mettre sur le marché son troisième livre au début de l’année 2025. Il décide d’écrire ses œuvres en langue de Shakespeare.
« Ça devient aussi financier, ce serait dingue de ne pas envisager une troisième version », a confié le réalisateur. Ce dernier ne cache pas que Gladiator 2 ressemble énormément au premier volet.
l L’autrice Lylia Nezar vient tout juste de publier son premier roman Les «Matriochkas, les héritières, aux éditions algériennes El Hibr l Rencontrée lors d’une vente-dédicace à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, l’autrice revient sur la thématique de son ouvrage à forte connotation polyphonique.
Sobre mais merveilleux hommage que celui auquel le chanteur Akli Aït Boumehdi a eu droit, dernièrement, à l’occasion de la célébration de son 69e anniversaire et de ses presque cinquante ans de carrière.
Edith Piaf m’a mis dans le monde»: le musicien Charles Dumont, compositeur du légendaire «Non, je ne regrette rien» et compagnon de route de «La Môme», est décédé dans la nuit de dimanche à lundi à l’âge de 95 ans. Ce chanteur-auteur-compositeur, qui a également collaboré avec Dalida et Barbra Streisand, est mort des suites d’une longue maladie à son domicile parisien, a annoncé sa compagne Florence à l’AFP.
Après une programmation culturelle et littéraire des plus riches, le Salon international du livre d’Alger a refermé ses portes, samedi soir, au niveau du Palais des expositions de la Safex. Place au bilan en chiffres.
Tomber de rideau, samedi soir, du 27e Salon international du livre d’Alger avec la remise des prix aux deux lauréats du prix du livre de jeunesse intitulé «Mon premier livre» ainsi que du prix du «meilleur stand» du Salon.
La chercheure émérite au CNRA (Centre national de recherches archéologiques), Ferdi Sabah, représentante algérienne de la rive sud de la Méditerranée, a été conviée à participer à la dernière conférence du COMEN (Colloques interculturels méditerranéens), une manifestation culturelle organisée à Naples (Italie) du 13 au 15 octobre 2024, sous le thème : «Intelligence artificielle et les scénarios possibles, seront-ils un monde meilleur ?» L’archéologue algérienne, qui participe pour la seconde fois, a mis l’accent dans sa conférence sur l’antiquité classique, l’IA et le dialogue interculturel.
Pour ceux qui le connaissent, Améziane Ferhani était un passionné des arts et de la culture. En sa qualité de journaliste, il a contribué à l’animation de la vie culturelle depuis le milieu des années 1970, d’abord au journal El Moudjahid, puis à l’hebdomadaire Algérie Actualité.
Le front éditorial a joué un rôle crucial dans la révélation des tortures coloniales durant la guerre de Libération et la dénonciation de la colonisation, a affirmé vendredi à Alger l’éditeur suisse et militant anticolonialiste, Nils Andersson.
L’écrivain Lazhari Labter a, sans doute, raison de souhaiter que le nom d’Anna Gréki, de son vrai nom Colette Anna Grégoire, soit apposé quelque part en Algérie en hommage à cette militante de la cause nationale algérienne.
La nécessité d’écrire l’histoire de la glorieuse Révolution de Novembre 1954 par des plumes algériennes et sa transmission dans des approches méthodologiques adaptées aux jeunes générations a été le thème d’une conférence, animée, vendredi à Alger, par de hauts responsables du ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit.
Si l’année dernière Al Moâtassim-Billah Midni était considéré comme le plus jeune auteur de livres pour jeunesse au Salon international du livre d’Alger (SILA), il y revient, cette année, avec sa casquette d’écrivain. Ce jeune lycéen a tout l’étoffe d’un petit génie. Un regard vif et intelligent à la fois se cache derrière ses lunettes.
Depuis dix jours, le SILA bat son plein. Il enregistre au quotidien un nombre impressionnant de visiteurs, venus de toutes les wilayas du pays, et ce, eu égard du mauvais temps qui sévit sur la capitale en début de semaine.
Le Salon international du livre se termine, nous allons devoir ranger nos livres et remiser cette heure de gloire, relative, accordée annuellement à l’activité livresque. Le Salon, manifestation institutionnelle, faut-il le rappeler, fut un grand succès populaire, témoignant d’un engouement certain pour la lecture, sous toutes ses formes, y compris les plus décriées par les puristes, mais aussi des transformations sociales que connaît notre pays.
L’auteur prolifique, plus connu pour ses chansons et ses sketchs comiques qui nous font rire de nos travers, a eu, en fin de semaine écoulée, dans ce qui constitue une première, à se mettre en face du public.
Le deuxième Salon des Games & Comic Con Dzaïr (GCCDZ), dédié aux passionnés de comics, mangas, gaming, cinéma et cosplay, s’est ouvert jeudi au Palais de la culture Moufdi-Zakaria, à Alger.