L’examen des projets de loi sur l’audiovisuel et sur la presse (écrite et électronique) commence au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN). La première étape a été achevée par la commission de la culture, de la communication et du tourisme, qui a finalisé son rapport préliminaire sur le deux projets.
Le Conseil de la nation affirme que la résolution du Parlement européen «constitue une immixtion éhontée dans les affaires internes d’un Etat souverain». La Chambre haute du Parlement rappelle que l’Algérie est un pays qui «n’accepte point de diktat ou de protectorat».
Le projet de révision du règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale (APN), actuellement en débat au sein de la commission des affaires juridiques et administratives et des libertés, prévoit des ponctions et des sanctions contre les députés absentéistes. Ce n’est pas la première fois que ce texte inhérent consacre une large partie de ces articles au phénomène de l’absentéisme récurrent et injustifié des parlementaires. Seulement une fois en plénière ces sanctions ne sont pas avalisées par les députés.
Les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) se penchent, et ce, pour la troisième fois durant cette législature, sur le règlement intérieur de leur Assemblée. L’amendement de ce texte, inchangé depuis 25 ans, est devenu une urgence afin, entre autres, de l’adapter avec les dispositions de la Constitution du 1er novembre 2020.
Les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté, hier à l’unanimité, le texte de loi monétaire et bancaire qui vise à moderniser le système bancaire, renforcer ses missions de règlementation et de contrôle, et lui permettre d’être au diapason des méthodes en vigueur au plan international.
L’Assemblée populaire nationale (APN) reprend aujourd’hui ses travaux en séance plénière. Au programme de cette première séance, figure la présentation du projet de loi relatif à la monnaie et au crédit qui sera suivie par deux autres séances demain et après demain sur les projets de loi relatifs aux règles de la comptabilité publique et de la gestion financière.
Les députés ont adopté hier à l’écrasante majorité le projet de loi organique sur l’information. Il n’y a que les députés du Mouvement de la société pour la paix (MSP) qui ont voté contre ce projet de loi.
Les membres du Conseil de la nation ont débattu hier en séance plénière du projet de loi modifiant la loi organique n°16-12 du 25 août 2016 fixant l’organisation et le fonctionnement de l’Assemblée populaire nationale (APN) et du Conseil de la nation ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres de parlement et le gouvernement.
Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a affirmé que le projet de loi organique relatif à l'information, débattu pendant deux jour à l’APN, «visait à consacrer la rupture avec les anciennes pratiques et favoriser l'émergence d'une presse professionnelle, responsable, crédible et au service du citoyen».
Les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont poursuivi, hier, les débats entamés l’avant-veille en plénière, autour du projet de loi organique relatif à l’information.
Le débat autour du projet de loi relatif à la prévention et à la lutte contre la traite des êtres humains, présenté et défendu par le ministre de la Justice en début de semaine, a été très timide et ne risque pas d’aboutir à l’enrichissement de ce texte de 72 articles, puisque le peu d’amendements proposés concerne plus la forme que le fond de ce texte, dont l’adoption est prévue la semaine prochaine.
Les débats autour du projet de loi modifiant et complétant la loi relative à la prévention et à la répression de l’usage et du trafic de stupéfiants et de substances psychotropes se sont poursuivis hier en plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN).
-Le débat sur le projet de loi relatif à la lutte contre la traite des humains s’est terminé avec une vingtaine de propositions devant être validées ou non aujourd’hui, au niveau de la commission juridique que vous présidez. Va-t-il connaître un changement profond ?
La consommation de drogue, dans notre pays prend des proportions alarmantes et aucune catégorie sociale n’est épargnée par ce fléau, considéré, aujourd’hui, comme un «problème social». Face à cette situation, l’Etat a décidé de sévir à travers une nouvelle approche juridique et une action répressive. Il s’agit d’un avant-projet de loi modifiant et complétant la loi n°04-18 du 25 décembre 2004 relative à la prévention et à la répression de l’usage et du trafic illicites de stupéfiants et de substances psychotropes.
Une rencontre-débat consacrée au projet de loi organique sur l’information a réuni, mercredi 15 mars, à la salle des conférences de l’hôtel Agremas, les membres de la famille journalistique de la wilaya de Mascara, des universitaires et le député Omar Benaouda, membre de la commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Les élus de la Chambre basse du Parlement (APN) entameront, à partir du 19 mars, en plénière, les débats autour du projet de loi sur l’information. Les professionnels des médias, auditionnés par les membres de la commission de la culture et de la communication, ont réclamé des modifications au nouveau texte allant dans le sens du renforcement de la liberté d’expression et l’amélioration de leur situation socioprofessionnelle.
Le premier ministre M. Aïmène Benabderrahmane s’est livré hier devant les députés à un exercice fastidieux à l’occasion de la présentation de la déclaration annuelle de politique générale du gouvernement.
Hier s'est ouverte la séance plénière consacrée à la présentation de la Déclaration de politique générale du Gouvernement devant les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN). La présidence était assurée par le président de l'APN, Ibrahim Boughali, qui a prononcé, à cette occasion, une allocution.
Le dossier de l’incompatibilité de l’exercice d’une activité professionnelle avec le mandat de parlementaire domine les débats des députés dans les instances de l’Apn et les discussions de coulisses.
Vingt-trois (23) terroristes ont été neutralisés et 222 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés lors d'opérations menées par les forces de l'Armée nationale populaire (ANP) durant l'année 2021, indique samedi 1er janvier un bilan opérationnel de l'ANP.