Symbole de liberté et de respect de l’environnement, le vélo est en passe de s’intégrer, à part entière, outre à la circulation routière, à l’agenda culturel et sportif des festivals de la wilaya d’Annaba. Avant d’inscrire dans son menu, l’organisation de cette manifestation, Annaba Bike City avait entamé son activité par un autre beau projet, au nom éponyme.
Les cyclistes algériens souffrent à cause du danger. Personnellement, je roule beaucoup avec mon vélo.
Alors que la pollution atmosphérique est considérée comme risque majeur, il n’existe cependant aucun réseau opérationnel de surveillance en continu de ce risque en Algérie. APOMOS (Air Pollution Monitoring System) vient pour changer les choses. Un projet mis en œuvre par l’équipe mixte issue de l’USTO-MB et Sonatrach DC-RD, et qui propose une alternative concrète et opérationnelle afin de combler l’absence de réseaux de mesure de la qualité de l’air en Algérie.
Un appel a été récemment lancé par la Conservation des forêts de Béchar pour l’insertion du site du barrage de Djorf Ettorba (70 km aux confins de la frontière algéro-marocaine) dans le groupe des pays signataires de la convention de Ramsar (Iran) en 1971 portant sur les zones humides et leur développement.
Une opération de géolocalisation des points noirs de déchets a été lancée par l’Agence nationale des déchets (AND). Les villes côtières sont sélectionnées comme zones prioritaires où 770 décharges sont déjà recensées, occupant 900 ha de foncier. Le directeur général de l’AND, Karim Ouaman, dresse dans cet entretien le bilan à ce jour.
Trop souvent oublié lors des conflits armés, l’environnement est également une victime de guerre. Pollution de l’air, érosion des sols, destruction de forêts, pollution des mers… Tant de conséquences environnementales qui, à long terme, deviennent, elles aussi, un fléau.
Une initiative personnelle née du constat qu’elle a fait au cours de ses fréquents séjours : les autochtones, essentiellement les femmes et enfants, voient passer des milliers de touristes pour voir des « choses » dont ils ignorent tout. Les hommes les connaissent parce qu’ils sont occasionnellement guides, chauffeurs ou cuisiniers et qu’ils en parlent entre eux. Yamina Miri, éprouve un incommensurable attachement au Grand Sud. Pas une passion, nous corrige-t-elle, mais un amour sans borne.
le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, les coupables sont les plus grands pollueurs du monde, «qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons».
Lycéens, universitaires, diplômés ou encore des stagiaires dans les centres de formation professionnelle, si vous êtes des porteurs d’idées ou de projets verts, ne ratez pas l’opportunité d’être accompagnés et aidés dans votre ambition. Brenco et son incubateur TEK2HUB organisent actuellement la 2e édition de «Algeria Climate Change Challenge». Un bootcamp qui traite le thème du changement climatique.
Plusieurs pays dans le monde, particulièrement méditerranéens et maghrébins, sont accablés par une forte sécheresse. L’Espagne, mais aussi le Portugal et la France sont actuellement touchés en plein hiver. Point sur la situation mondiale : les inquiétudes des organisations mondiales.
De nombreux pays dans le monde connaissent une insécurité hydrique. Les raisons sont diverses : climatiques, bien sûr, par insuffisance de précipitations. Mais pas seulement. L’augmentation de la population crée des demandes en eau chaque jour plus importantes.
Dans le sud du bassin méditerranéen, et dans la Péninsule ibérique, on observe déjà une tendance à la baisse des précipitations hivernales, mais il y a une grande variabilité interannuelle et donc certaines années peuvent être très pluvieuses et d’autres très sèches, comme actuellement. On observe également une saison sèche estivale qui s’allonge.
C’est lors d’un Conseil des ministres, tenu il y a quelques semaines, que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a donné des instructions pour obliger toutes les communes du pays à utiliser l’énergie solaire dans l’éclairage public.
De la brique de terre crue à haute résistance mécanique et haute durabilité. Une invention du chercheur, le Pr Mohamed Bencheikh de l’université de M’sila. Portrait.
Premier genre en Algérie dans le domaine de la construction et la réalisation d’ouvrages économiques, respectueux de l’environnement : une convention, qui porte sur un accord de transfert de technologie, est conclue entre l’université Mohamed Boudiaf à M’sila, représentée par le chercheur et inventeur, Bencheikh Mohamed, et une société dénommée «Clay Stones Briks – CSB».
Il s’agit d’une initiative louable, et ce, même si le nombre de plants est, de son avis, modeste», assure M. Djamel Belaid, ingénieur agronome, auteur de L’Agriculture en Algérie, qui estime tout de même que l’arganier «revient de loin».
Tenu du 7 au 9 février 2022 à l’université de Ouargla, le premier Séminaire international sur la synthèse des matériaux et la surveillance environnementale (ISMSEM 2022) s’est voulu un espace d’échanges scientifiques que les dernières avancées technologiques et applications des nanostructures et nanomatériaux synthétisés et de partage d’expériences des résultats de recherche, des tendances et préoccupations les plus récentes ainsi que les solutions adoptées dans les domaines de la synthèse, de la caractérisation et du traitement des matériaux. Il a également offert une opportunité aux entrepreneurs et investisseurs pour découvrir et discuter autour de thèmes de recherche liés à leurs activités industrielles. Parmi les jeunes chercheurs en génie des procédés chargés de la coordination des travaux, le Dr Fethi Achi. Entretien.
La sécheresse est plus prononcée depuis le début des années 2010 et elle n’a pas manqué d’affecter profondément les zones humides de la région déjà très altérées.
C’est le journal Le Monde, version papier et numérique, qu’a choisi un collectif de maires du pourtour méditerranéen pour publier une tribune lancée comme une bouée de secours pour sauver «la Méditerranée, mer de tous les passages et de tous les commerces depuis l’Antiquité».
Le premier séminaire international sur la synthèse des matériaux et au monitoring environnemental, organisé par le département de génie des procédés, faculté des sciences appliquées de l’université Kasdi Merbah, à Ouargla, qui a pris fin hier, a mis en évidence une tendance accrue de la recherche à favoriser les solutions locales respectueuses de l’environnement. Nous avons sélectionné pour vous quatre coups de cœur.