Des millions de tonnes de différents types de déchets de plastique sont jetés, chaque année, dans la nature. Quelque dix pour cent sont recyclés et le reste finit soit dans les quelques sites d’enfouissement ou dans le milieu naturel contribuant à détériorer l’environnement, les écosystèmes et la santé humaine.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a pointé du doigt «l’addiction de l’humanité aux énergies fossiles» après une récente série de catastrophes climatiques et alors qu’un rapport publié hier souligne que le monde «va dans la mauvaise direction». «Inondations, sécheresses, canicules, feux et tempêtes extrêmes ne font que s’aggraver et battent des records avec une fréquence inquiétante», a souligné M. Guterres dans un message vidéo.
La prolifération des méduses en Méditerranée s’est accentuée depuis le début les années 2000. Si ce phénomène était plus ou moins cyclique par le passé, cela ne semble plus le cas aujourd’hui et ce n’est pas sans conséquences sur l’environnement. Explications !
Lors de l’expédition med 2013, à laquelle j’ai participé en tant que plongeur et caméraman, un protocole scientifique d’étude de la méduse rouge pélagique (pelagia noctiluca) en collaboration avec l’université de Bruxelles et sous le pilotage d’un jeune scientifique britannique a permis d’individualiser le cycle de reproduction de migration et de remontée nocturne de cette espèce », confie Émir Berkane, Président de la fondation Probiom pour la protection de la biodiversité marine.
Le développement des activités agricoles, le réchauffement climatique, le gaspillage ou la surexploitation des nappes phréatiques figurent parmi les principaux facteurs qui menacent les ressources hydriques de la planète. L’eau devient une denrée rare et l’économiser devient essentiel. C’est pourquoi, récupérer l’eau de pluie et la rentabiliser s’avère un geste à la fois écologique et économique.
L’association Oxy-jeunes Derguina s’est lancé un nouveau défi : former les petits et les sensibiliser vis-à-vis des problématiques liées à l’environnement. Et c’est à travers le club Jeunes écolos, une structure interne de l’association que les enfants prendront part à différents ateliers de formation et d’animation mais également à des sorties pédagogiques et des excursions de découverte.
La Banque nationale des semences vient tout juste d’être inaugurée. Celle-ci est plus que jamais nécessaire pour non seulement garantir la pérennité des espèces, mais également la création de nouvelles variétés. Explications !
Les feux de forêt qui ont ravagé ces derniers jours le nord du pays ont quasiment tous été éteints. Toutefois, l’écosystème n’a pu être que fragilisé par ces incendies. Explications !
Alors qu’on parle beaucoup de gaspillage alimentaire, de pollution ou encore d’empreinte carbone, on oublie souvent que la culture d’aliments que l’on consomme, notamment les fruits, ont aussi un impact sur l’environnement. l’empreinte hydrique devient plus que jamais nécessaire. Explications !
Des pics d’ozone, un polluant atmosphérique bien connu pour ses effets délétères sur la santé humaine et sur la végétation sont enregistrés durant l’été. Il se forme dans les basses couches de l’atmosphère en période estivale, sous l’effet du rayonnement solaire et lorsque les températures sont élevées. Ainsi, en dépit du beau ciel bleu des journées estivales, ce polluant peut être inhalé si les conditions de sa formation sont réunies. Explications !
Dans une étude publiée cette semaine, des chercheurs basés en Finlande et en Norvège ont démontré que le réchauffement climatique était quatre fois plus rapide en Arctique que sur le reste de la planète. Un réchauffement moyen de 0,75°C par décennie en Arctique, soit quatre fois plus que le reste du globe.
Les incendies détruisent désormais deux fois plus de couverture forestière dans le monde qu’au début du siècle, en grande majorité au sein de la forêt boréale, «probablement» en raison du changement climatique, selon une étude révélée mercredi.
La «summer school» by Oxy-jeunes, la première édition de l’événement interactif et l’espace de formation, d’échange et de partage autour du mouvement associatif se poursuit.
Le développement des activités agricoles, le réchauffement climatique, le gaspillage ou la surexploitation des nappes phréatiques figurent parmi les principaux facteurs qui menacent les ressources hydriques de la planète. L’eau devient une denrée rare et l’économiser devient essentiel. C’est pourquoi, récupérer l’eau de pluie et la rentabiliser s’avère un geste à la fois écologique et économique.
La cohabitation sémantique qu’il impose, entre les notions de «développement» et de «durabilité», est loin d’être évidente ou de faire l’unanimité.
L’Algérie est au 1er rang africain et arabe en 2022 dans un classement mondial de l’indice ODD (Objectifs de développement durable), selon le rapport qui vient d’être publié du Sustainable Development Solutions Network (SDSN), un réseau lancé en 2012 par le Secrétaire général des Nations unies. Elle est au 64e rang mondial sur les 163 pays qui figurent dans ce classement. Elle est en net recul de 11 places par rapport au précédent rapport de 2019 où elle était également au 1er rang africain et arabe mais 53e au niveau mondial sur 162 pays.
C’est connu par les initiés, El Tarf est à ce jour à ce jour la région d’Algérie qui a produit en nombre le plus de pièces archéologiques.
Une des particularités de la wilaya de Bouira est qu’elle est, à l’échelle du couloir steppique national, la steppe la plus proche de la mer. Elle est située plus exactement à 90 kilomètres des côtes méditerranéennes. Cet immense espace aride et semi-aride est considéré comme le dernier rempart avant la désertification.
L’objectif est de développer une oléiculture plus résiliente qui s’appuie sur des atouts, comme les variétés résistantes au changement climatique, le respect variétale et une bonne valorisation des coproduits. Il s’agit du programme PASA, (Programme d’Appui au Secteur de l’Agriculture), dédié au renforcement de trois filières stratégiques en Algérie (dattes, olive et maraîchage). Olivier Rive, chef de projet Pôle Soummam de la filière oléicole, le programme se donne le temps pour faire «convaincre» les Algériens à un apprentissage progressif de dégustation de l’huile d’olive. Entretien.
Créer du cuir à partir de microbactéries issues des déchets ménagers, agroalimentaires et de l’industrie agricole. Si l’idée semble folle, elle a pourtant été concrétisée par Yamina Bouchikh, une chercheuse à l’Institut national de la recherche agronomique (INRAA). Portrait !