La troisième et dernière étape de «La plus grande leçon du monde» portant sur les changements climatiques vient de se terminer en Algérie.
APA, élaboration d’une stratégie Nationale et d’un cadre juridique et institutionnel sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation et des connaissances traditionnelles en ligne avec la Convention sur la diversité biologique et son Protocole de Nagoya en Algérie est un projet sous l’égide de la direction générale des forêts, en partenariat avec le programmes des Nations Unies pour le développement (PNUD), cofinancé par le Fond mondial pour l’environnement (FEM).
Elle est un peu magique, fusionnelle, ou même passionnante cette relation entre Rafika et les animaux et particulièrement les chiens. D’une simple amatrice, elle est convaincue aujourd’hui qu’elle est «professionnelle». Elle vit sa passion. Portrait.
A l’occasion de la Journée internationale de la forêt, l’association Afus-Afud organise du 18 au 21 mars, en collaboration avec l’APC d’Adekar, la direction de la jeunesse et des sports ainsi que le centre de recherche national d’innovation agroalimentaire, la première édition de « Forêtever » ou « La forêt pour toujours », un événement au riche programme dédié à la protection de la forêt d’Akfadou.
Le nouveau rapport «Changement Climatique 2022 : Impacts, Adaptation et Vulnérabilité», publié le 28 février 2022, en tant que contribution du Groupe de travail II au sixième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), examine les impacts du changement climatique sur la nature et l’humanité partout dans le monde. Il étudie les effets futurs à différents niveaux de réchauffement et les risques qui en découlent, et présente diverses options pour renforcer la résilience de la nature et de la société face au changement climatique en cours, lutter contre la faim, la pauvreté et les inégalités et faire en sorte que la Terre reste vivable pour les générations actuelles et futures.
Le prix Pierre Castel revient, dans sa 5e édition, avec la première participation de l’Algérie. Il s’adresse aux jeunes entrepreneurs dans le secteur de l’agriculture et de l’agro-industrie.
Dans une période de crise sanitaire, de crise économique qui oblige de sortir des exportations en dehors des hydrocarbures, et face à la dégradation de notre environnement, et par rapport aux résultats de ma recherche, je me suis dit pourquoi ne pas transformer un chapitre de la thèse en ouvrage scientifique, qui sera utile pour la santé, pour le développement des zones rurales et pour le retour à nos valeurs culturelles ancestrales ?
Symbole de liberté et de respect de l’environnement, le vélo est en passe de s’intégrer, à part entière, outre à la circulation routière, à l’agenda culturel et sportif des festivals de la wilaya d’Annaba. Avant d’inscrire dans son menu, l’organisation de cette manifestation, Annaba Bike City avait entamé son activité par un autre beau projet, au nom éponyme.
Les cyclistes algériens souffrent à cause du danger. Personnellement, je roule beaucoup avec mon vélo.
Alors que la pollution atmosphérique est considérée comme risque majeur, il n’existe cependant aucun réseau opérationnel de surveillance en continu de ce risque en Algérie. APOMOS (Air Pollution Monitoring System) vient pour changer les choses. Un projet mis en œuvre par l’équipe mixte issue de l’USTO-MB et Sonatrach DC-RD, et qui propose une alternative concrète et opérationnelle afin de combler l’absence de réseaux de mesure de la qualité de l’air en Algérie.
Un appel a été récemment lancé par la Conservation des forêts de Béchar pour l’insertion du site du barrage de Djorf Ettorba (70 km aux confins de la frontière algéro-marocaine) dans le groupe des pays signataires de la convention de Ramsar (Iran) en 1971 portant sur les zones humides et leur développement.
Une opération de géolocalisation des points noirs de déchets a été lancée par l’Agence nationale des déchets (AND). Les villes côtières sont sélectionnées comme zones prioritaires où 770 décharges sont déjà recensées, occupant 900 ha de foncier. Le directeur général de l’AND, Karim Ouaman, dresse dans cet entretien le bilan à ce jour.
Trop souvent oublié lors des conflits armés, l’environnement est également une victime de guerre. Pollution de l’air, érosion des sols, destruction de forêts, pollution des mers… Tant de conséquences environnementales qui, à long terme, deviennent, elles aussi, un fléau.
Une initiative personnelle née du constat qu’elle a fait au cours de ses fréquents séjours : les autochtones, essentiellement les femmes et enfants, voient passer des milliers de touristes pour voir des « choses » dont ils ignorent tout. Les hommes les connaissent parce qu’ils sont occasionnellement guides, chauffeurs ou cuisiniers et qu’ils en parlent entre eux. Yamina Miri, éprouve un incommensurable attachement au Grand Sud. Pas une passion, nous corrige-t-elle, mais un amour sans borne.
le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, les coupables sont les plus grands pollueurs du monde, «qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons».
Lycéens, universitaires, diplômés ou encore des stagiaires dans les centres de formation professionnelle, si vous êtes des porteurs d’idées ou de projets verts, ne ratez pas l’opportunité d’être accompagnés et aidés dans votre ambition. Brenco et son incubateur TEK2HUB organisent actuellement la 2e édition de «Algeria Climate Change Challenge». Un bootcamp qui traite le thème du changement climatique.
Plusieurs pays dans le monde, particulièrement méditerranéens et maghrébins, sont accablés par une forte sécheresse. L’Espagne, mais aussi le Portugal et la France sont actuellement touchés en plein hiver. Point sur la situation mondiale : les inquiétudes des organisations mondiales.
De nombreux pays dans le monde connaissent une insécurité hydrique. Les raisons sont diverses : climatiques, bien sûr, par insuffisance de précipitations. Mais pas seulement. L’augmentation de la population crée des demandes en eau chaque jour plus importantes.
Dans le sud du bassin méditerranéen, et dans la Péninsule ibérique, on observe déjà une tendance à la baisse des précipitations hivernales, mais il y a une grande variabilité interannuelle et donc certaines années peuvent être très pluvieuses et d’autres très sèches, comme actuellement. On observe également une saison sèche estivale qui s’allonge.
C’est lors d’un Conseil des ministres, tenu il y a quelques semaines, que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a donné des instructions pour obliger toutes les communes du pays à utiliser l’énergie solaire dans l’éclairage public.