La gravure manuelle - sur cuivre, argent ou or - de motifs géométriques, végétaux, astrologiques… a obtenu le prestigieux label onusien début décembre. La candidature de cet artisanat ornant bijoux, ustensiles de cuisine ou objets décoratifs, était portée par dix pays arabes dont Tunisie, Algérie et Maroc. «Cette inscription nous engage à préserver ce savoir-faire exceptionnel», se félicite auprès de l’AFP le Tunisien Imed Soula, l’un des trois experts ayant présenté le dossier.
Le romancier algérien Waciny Laredj a remporté le Prix émirati «Great Arab Minds», dans la catégorie littérature et art, en reconnaissance de ses contributions littéraires exceptionnelles dans le roman algérien et le monde arabe, a rapporté la presse émiratie.
La pièce Istirahatou El mouharidjine (La récréation des clowns) marque le retour de Wahid Achour à la mise en scène. La pièce, en compétition au 16e Festival national du théâtre professionnel d’Alger (FNTP), a été présentée, dimanche 24 décembre au soir, au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA).
Le commissariat du Festival culturel national de la poésie melhoun dédié au Cheikh Sidi Lakhdar Benkhelouf (XVIe siècle) de Mostaganem a annoncé la sortie dimanche d’une nouvelle publication intitulée Recueil du Cheikh Omar Mokrani (1908-1980), a-t-on appris du commissaire de cette manifestation Abdelkader Bendamèche.
Présent à la 26e édition du Salon national du livre d’Alger, le Franco-Algérien Mokhtar Amoudi a remporté haut la main le prix Goncourt des détenus. Né en 1988 et élevé en banlieue parisienne, l’auteur a passé son enfance et son adolescence en famille d’accueil.
Le 6e Salon national de la photographie a été ouvert, dimanche, à la galerie d’exposition Ghaza de la maison de la culture et des arts Mohammed Belkheir d’El Bayadh, avec la participation de plus de 30 artistes issus de différentes wilayas.
Une annexe de la bibliothèque principale de lecture publique Mohamed Hamouda Bensaï de la ville de Batna a été ouverte dimanche à la gare routière nord Chahid Mohamed Arar, au chef-lieu de wilaya gérée par la Société d’exploitation des gares routières d’Algérie Sogral.
Une exposition nationale du livre s’est ouverte dimanche à la maison de la culture Ali Souai de la wilaya de Khenchela avec la participation de 19 maisons d’édition.
La direction du tourisme et de l’artisanat (DTA) de Tipasa, grâce au soutien de son ministère de tutelle, vient de réouvrir le centre historique de broderie traditionnelle de Cherchell, après avoir effectué des travaux de réaménagement et de réagencement de cette infrastructure du secteur de l’artisanat, qui a fait l’objet d’une amputation scandaleuse de l’une de ses parties pour être transformée en un fastfood.
Habib Tengour est un écrivain, poète et sociologue algérien né à Mostaganem le 29 mars 1947. En 1959, Habib Tengour arrive en France avec son père, qui était enseignant de langue arabe et a appris le métier de plombier à Nantes.
A l’ouverture de l’exposition artistique «Journées des arts et de l’architecture d’Alger», qui se tient au Palais de la culture Moufdi Zakaria, Mme Mouloudji a fait savoir que cet atelier, prévu le 25 janvier prochain, s’inscrivait dans le cadre de la révision de cette loi en vigueur depuis 1998, invitant les architectes, les chercheurs et les artistes à y prendre part.
Le rire naïf d’un nourrisson fuse dans une salle de spectacle à Dakar : «Oh le bébé a kiffé», s’amuse Jordan en plein dans son numéro de stand-up l Le rire reprend. «Wesh on a compris que tu étais là petit». La petite centaine de spectateurs s’esclaffe.
La dixième édition du Festival culturel national de la poésie melhoun, dédiée au Cheikh Sidi Lakhdar Benkhelouf (16e siècle) a pris fin, samedi soir à Mostaganem.
Un public nombreux s’est déplacé pour assister à la cérémonie d’ouverture du festival qui se déroulera jusqu’au 31 décembre. La soirée a été marquée par la présence de la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, du ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, et du conseiller du président de la République chargé de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la formation professionnelle, de la culture, des affaires religieuses et des zaouïas, Mohamed Seghir Saâdaoui.
Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé le lancement d’appels d’offres nationaux ouverts pour l’exploitation d’espaces culturels au niveau de 5 wilayas, relevant de l’Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels protégés (OGEBC), a indiqué, jeudi dernier, un communiqué du ministère. l Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé le lancement d’appels d’offres nationaux ouverts pour l’exploitation d’espaces culturels au niveau de 5 wilayas, relevant de l’Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels protégés (OGEBC), a indiqué, jeudi dernier, un communiqué du ministère.
l Avec l’affaire des otages israéliens et palestiniens aux mains des négociateurs du Qatar, retour sur l’histoire des otages américains de Téhéran en 1979, véritable thriller avec ses rebondissements, personnages de l’ombre et intermédiaires, avec au centre, l’Algérie comme négociatrice, ce que peu de films sur le sujet n’ont évoqué. Heureusement, un documentaire algérien qui sort en janvier va laver l’affront.
-Comment vous est venue l’idée de ce documentaire ? Parce qu’il n’y avait pas de film sur le sujet, et ceux que j’ai vus n’évoquaient pas l’Algérie comme il se doit, ou pas du tout, je me suis donc dit qu’il fallait remédier à cet oubli et c’est ce que j’ai fait.
l Une année après la sortie du premier tome (I-Les chemins de traverse) de son roman Le passé ressuscité relatant les pérégrinations d'un jeune cadre algérien (Ferhat) face aux pesanteurs administratives et socio-culturelles qui minent la société ultra conservatrice dans laquelle il évolue avec son épouse (Hassina), l'essayiste Abdelkader Hammouche vient tout récemment de livrer, comme promis, son second opus qui s'inscrit dans la même lignée chronologique aussi bien littéraire que romanesque.
lLa cuvée 2023 du théâtre régional d’Oran, Houwa w hia (lui et elle), a eu sa générale mercredi dernier en présence d’un nombreux public oranais.
L’on se souvient, après l’invasion de 2003, des forces américaines contre le pays du Tigre et de l’Euphrate, de la mise à sac de l’immense patrimoine babylonien qui se résume dans le pillage d’une collection estimée à plus de 15 000 pièces archéologiques du Musée national d’Irak, à Baghdad, dont 5000 sceaux-cylindres d’une très grande valeur.