La vie géopolitique au Mali ressemble à s’y méprendre à une série TV interminable, mais dont l’issue finale pourrait bien être fatale aux Maliens et à leurs voisins sahéliens.
Pour des raisons macroéconomiques, structurelles, géostratégiques et sécuritaires, les politiques industrielles sont de retour au niveau mondial. Ce retour marque le recul du libéralisme et de la mondialisation et consacre les faiblesses du marché en tant que mécanisme de répartition des ressources par le biais de l’offre et de la demande.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, nous tenons d’emblée à souligner qu’à l’occasion de la clôture des Journées de l’entrepreneuriat, tenues jeudi 16 novembre 2023 au Centre international de conférences Abdelatif Rahal (Alger), le président Abdelmadjid Tebboune a relevé que «le financement du secteur économique privé dépend toujours des fonds des banques publiques à hauteur de 85%», ajoutant que l’activité du secteur privé couvre près de 85% de l’économie nationale, ce qui est, a-t-il dit, «un dysfonctionnement auquel il faut remédier».
La France tente de garder son influence dans ses anciennes colonies en Afrique par tous les moyens, en soutenant notamment les groupes islamistes armés en Libye, au Mali, au Burkina Faso et au Niger. Simultanément, les services secrets français activent ces mouvements terroristes transfrontaliers pour attiser les divisions interethniques et religieuses et justifier les interventions armées. Ces organisations extrémistes violentes, créées et financées par les Etats-Unis en Syrie et en Irak, et par la France au Sahel et au Maghreb, servent à justifier le contrôle sur ces territoires où sont concentrées les ressources naturelles indispensables pour l’Occident.
Dans son acception la plus générale et la plus rigoureuse, la veille est la surveillance de ce que l’environnement apporte comme nouveauté. Et en se basant sur la définition officielle de l’Association française de normalisation (ANFOR), la veille représente une «activité continue en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement technologique, commercial, etc., pour en anticiper les évolutions»
En plus de l’immense coût humain inacceptable subi par la population et la destruction aveugle des infrastructures, la guerre à Ghaza est également en train de bouleverser l’ordre géostratégique et la stabilité économique du Moyen-Orient et du reste du monde.
L’ouverture du capital du Crédit populaire d’Algérie (CPA) à travers la Bourse vise sa dynamisation. Il convient de rendre hommage à la direction actuelle de cette banque et à son personnel d’avoir lancé une opération qui était gelée durant des années.
Hocine Aït Ahmed qui l’avait incorporé dans les rangs du parti écrivait à son propos : «En 1948, Ouali Bennai envoie en France un ancien lycéen de Ben Aknoun, Mohand Sid Ali Yahia (dit Rachid), pour qu’il reprenne ses études interrompues en 1946, lorsqu’il s’était mis à la disposition du parti en Kabylie. Arrivé à Paris en pleine effervescence nationaliste, Ali Yahia ne tarde pas à devenir membre du Comité fédéral du PPA-MTLD.
Ce fut dans le cadre du recrutement au Pacte islamique, que le roi Fayçal d’Arabie Saoudite avait entrepris un périple pour constituer une coalition musulmane antidémocratique et antirévolutionnaire sous la bannière des monarchistes féodales : une manière d’affaiblir l’influence des idées patriotiques républicaines et la montée de la dynamique révolutionnaire dans le monde arabe.
Introduction L’intérêt de cette tribune est de rappeler ce qu’a été la crise du PPA-MTLD de 1949, inégalement connue des générations montantes pour mieux comprendre ses retombées sur le Mouvement national d’avant-garde, les vindictes suscitées après coup et les graves malentendus la concernant.
Premier constat Les enseignants de ma génération sont généralement d’anciens sportifs. Nous aimons l’activité physique, le goût de l’effort, le règlement, le respect des horaires … Nous aimons notre métier de formateur et d’éducateur. Actuellement, la plupart des enseignants en EPS ont été recrutés, non pas par vocation ou conviction, mais par la nécessité de trouver un emploi stable.
Le Ramadhan est là et, à entendre le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, «toutes les dispositions ont été arrêtées afin d’éviter une quelconque perturbation dans l’approvisionnement du marché, notamment en ce qui concerne les produits de large consommation, à travers une approche participative et consultative regroupant les différentes divisions productives, les gestionnaires des marchés de gros des légumes et des fruits et les associations professionnelles de commerçants».
Le commerce international, élément essentiel des politiques publiques à travers le monde, qui a permis de soutenir la croissance économique, d’extraire de la pauvreté et améliorer le niveau de vie de millions de personnes, est en phase de recul et en phase de ralentissement pour des raisons diverses, dont la plus saillante est le partage inégal des dividendes de ce dernier. Pour ce qui est de l’Algérie, son modèle de commerce extérieur est extraverti, ce qui pose des risques macroéconomiques divers et affaiblit sa contribution à la richesse du pays.
Des politiques commerciales ouvertes, stables et transparentes demeurent essentielles à la croissance économique et à la résilience, pour peu que les règles des échanges internationaux soient modernisées pour assurer un partage des gains.
Chaque année, le 8 mars, nous célébrons la Journée internationale des droits des femmes qui a été adoptée officiellement par l’ONU en 1975. Cet événement est un marqueur du combat des femmes pour l’égalité en droits, indépendamment du genre.
INTRODUCTION Déjà dans le titre, il y a comme un étonnement, comme lorsque l’on se trouve devant une aberration, et une question en se disant «Mais ! Comment faire ?»
Sur le Sahara occidental, une pléthore d’opinions d’universitaires, d’experts et de diplomates dans les chancelleries occidentales, et un afflux de visiteurs dans la région, ont émergé récemment, chacun à sa manière, tous enflammés par le désir d’une «solution» au conflit.
C’est l’observation, durant des siècles, de la régularité périodique des crues du N’il (diminutif en amazigh de Nath il : ceux de la rivière), qui revenaient chaque année après 12 apparitions de la Lune qui a fait comprendre aux prêtres du pays des Mis Ra (Egypte), l’importance qu’il fallait accorder au chiffre 12.
Monsieur le directeur du quotidien El Watan, monsieur le rédacteur en chef, suite à la parution, dans votre édition du 22 février 2024, d’une déclaration non signée émanant, selon son contenu, de la famille Bentobbal, j’aimerais faire à votre intention ainsi qu’à vos lecteurs quelques remarques et observations :
La croissance mondiale est en phase de ralentissement historique, affectant davantage les pays émergents et en voie de développement, impliquant ipso facto un recours incontournable à des réformes structurelles.