Les comptes sociaux sont fondés sur une nouvelle conception consacrant la prééminence de l’économique sur le juridique et le fiscal avec la volonté de moderniser le secteur économique et le rendre rentable.
Notre football est actuellement dans une crise quasi chronique, car «l’argent du football professionnel n’est pas encore orienté ou utilisé dans un esprit d’entreprise et d’une culture d’actionnariat pour parvenir au vrai professionnalisme», comme nous le verrons dans les lignes qui suivent.
Nous estimons nécessaire à travers cette modeste contribution s’inscrivant dans cet esprit plaidant une nouvelle économie en vue de sortir d’un mode de gestion et de gouvernance qui avait produit une économie administrée engendrant aujourd’hui, plus de charges ou de dépenses, plus d’inflation, de dévaluation de notre monnaie nationale, de pénurie de liquidités, et enfin, le poids important de l’informel est toujours présent avec environ 60% du marché de la consommation et près de 45% de la masse monétaire dans le commerce informel que de production et productivité et notre secteur économique souffre de sérieux problèmes de gouvernance et de management.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, nous tenons d’emblée à souligner qu’à l’occasion de la clôture des journées de l’entrepreneuriat, tenue jeudi, 16 novembre 2023 au Centre international de conférences Abdelatif Rahal (Alger), le Président Abdelmadjid Tebboune a relevé que «le financement du secteur économique privé dépend toujours des fonds des banques publiques à hauteur de 85%», ajoutant que l’activité du secteur privé couvre près de 85% de l’économie nationale, ce qui est, a-t-il dit, «un dysfonctionnement auquel il faut remédier».
Avant d’entrer dans le vif du sujet, nous tenons d’emblée à souligner qu’à l’occasion de la clôture des Journées de l’entrepreneuriat, tenues jeudi 16 novembre 2023 au Centre international de conférences Abdelatif Rahal (Alger), le président Abdelmadjid Tebboune a relevé que «le financement du secteur économique privé dépend toujours des fonds des banques publiques à hauteur de 85%», ajoutant que l’activité du secteur privé couvre près de 85% de l’économie nationale, ce qui est, a-t-il dit, «un dysfonctionnement auquel il faut remédier».
La nouvelle gouvernance budgétaire et financière de l’Etat a fini par être saisie par le droit budgétaire et comptable algérien dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions des lois législatives relatives aux nouvelles réformes : budgétaire, adoptée en 2018, d’où un passage du secteur public, d’une logique budgétaire à une logique de résultat (budget-programme), entrera dans sa deuxième année en 2024, et la comptabilité publique, adoptée en juin 2023, notamment vers une comptabilité générale appelée communément comptabilité financière, entrera probablement cette année en attendant la mise en place de la comptabilité analytique.
Notons d’abord, en préalable loin des préjugés, la finance est une matière noble et vaste dans une économie réelle (formelle) et organisée. Tel est le fondement de l’ordre financier mondial que nous vivons aujourd’hui pour construire la nouvelle économie en Algérie.
La comptabilité : algèbre du droit et méthode scientifique et technique d’observation, elle-même est l’ambitieuse servante des sciences économiques (Pierre Garnier écrivain français et professeur à l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales-Paris).
Dans de telles conditions, comment ne pas s’interroger sur la reconnaissance des compétences de nos journalistes diplômés tant sur notre sol qu’à l’international ? Nos journalistes essayent tant bien que mal d’honorer leur rôle de trait d’union entre la société, les autorités nationales et locale.
D’abord, à l’occasion de ses 33 ans d’existence, tout en étant un fidèle lecteur contributeur depuis 1991 et attentif de votre journal El Watan (la Patrie), dont le titre porte et tire bien son nom, qu’on aime à lire chaque jour, c’est un journal pour lequel j’ai beaucoup d’admiration, car il s’inscrit en droite ligne avec l’ouverture démocratique.
D’emblée, nous sommes sincèrement inquiets pour le devenir du football national, car ça nous rend triste de parler de professionnalisme en Algérie, à la lumière des treize années de pratique. En effet, le «modèle sportif actuel» est inefficace, surtout qu’il n’accompagne pas la modernisation, la performance et l’initiative entrepreneuriale dans l’économie du sport, notamment dans un football professionnel qui est demeuré une affaire exclusive de l’Etat et des entreprises publiques.
Il est tout d’abord utile de souligner que la question du pouvoir d’achat et inflation est un sujet important dans un contexte d’inflation élevé qui peut constituer le cancer de l’économie d’un pays.
Nous devons rappeler, tout d’abord, que le fonctionnement actuel de l’Etat algérien est structuré administrativement et géographiquement en 58 wilayas réparties sur une superficie territoriale de 2 500 000 millions km2 et chaque wilaya couvre un nombre précis de daïras et de communes. C’est dans ces 58 wilayas et ces 1571 communes que les populations vivent.