Selon Interpol, le blanchiment de l’argent sale est «une action qui consiste à cacher ou à déguiser l’identité des revenus obtenus illégalement, afin de les faire apparaître comme provenant de sources légitimes». Il est nécessaire de faire la distinction entre l’«argent noir» et l’«argent sale».
Bien que le dollar américain demeure la principale monnaie de réserve mondiale à court terme, sa suprématie à long terme n’est pas garantie. A court terme, le dollar reste dominant grâce à la profondeur des marchés financiers américains et à la confiance internationale. Toutefois, à long terme, sa position est fragilisée par plusieurs facteurs : la montée de la dette publique, les blocages politiques, les pressions inflationnistes, et une politique budgétaire jugée incertaine.
Au siècle dernier, la science et la technologie ont propulsé les pays industrialisés vers le stade post-industriel (quaternaire), où les éléments matériels ont été remplacés par des éléments immatériels (informations, connaissances…) dans l’organisation sociétale.
Le monde traverse une période de profondes turbulences marquée par une recrudescence des conflits armés et des violations massives des droits humains. Des événements tels que le génocide à Ghaza, l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le conflit au Soudan et les sanctions imposées par Donald Trump contre la Cour pénale internationale témoignent d’un affaiblissement du droit international et d’une instrumentalisation croissante des droits humains à des fins politiques.
Les hautes autorités algériennes ont explicitement manifesté leur volonté de développer une filière nationale dédiée au lithium. Cette démarche s’inscrit dans une stratégie globale visant l’exploitation et la valorisation locale des ressources minières au sein d’un cadre industriel intégré. L’objectif est de mobiliser efficacement les ressources nécessaires afin de répondre aux exigences nationales définies par la stratégie algérienne en matière de mix énergétique.
Récemment, il a été officiellement annoncé qu’une première phase éolienne de 1000 MW était envisagée et viendrait s’ajouter au programme solaire photovoltaïque (PV) déjà en cours de réalisation. La question qui se pose est de savoir si le développement de l’éolien est justifié en Algérie, alors que le photovoltaïque pourrait largement suffire à lui seul.
Akbar Noman et Joseph Stiglitz ont montré que les pays qui réussissent à émerger durablement sont ceux qui investissent dans leurs infrastructures, leur base manufacturière, mais aussi dans l’agriculture moderne et les services productifs, pas en vase clos, mais en structurant des écosystèmes locaux viables.
Le monde contemporain se trouve ainsi à un carrefour géopolitique majeur, où les modèles économiques classiques, largement dominés par le libre-échange et la mondialisation libérale, sont mis à l’épreuve par des logiques souverainistes et protectionnistes. Bien que la politique économique de l’administration Trump incarne cette tendance, elle n’en est pas la seule porteuse.
l A la veille du 80e anniversaire des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, une telle reconnaissance s’impose d’autant plus qu’on ne peut laisser les extrêmes-droites et les droites de gouvernement radicalisées poursuivre inlassablement et sans opposition véritable leur campagne politique et culturelle destinée à réhabiliter le criminel passé colonial de la France.
Très attendue des deux côtés, cette visite fait suite à une série de démarches qui ont commencé par la déclaration de Lisbonne du président E. Macron.
En Algérie, le rôle de l’optométriste, spécialiste de la correction optique et du dépistage des troubles visuels, demeure largement méconnu. Par tradition, ces missions sont principalement assurées par les ophtalmologues, les patients n’ayant pas toujours conscience des compétences spécifiques des optométristes. Cette méconnaissance s’inscrit dans un contexte plus large de dysfonctionnements structurels affectant le secteur de l’optique médicale.
Où en est l’activité de la lecture dans notre pays ? Une réponse expéditive, du type «la question vaut réponse», n’avance à rien dans le débat, même si des signes patents d’une «désertification» progressive sont là. Mais à voir d’autres signes, des rais de lumière tentent, de temps en temps, de percer les nuages de la «bouderie» générale de la lecture.
Le développement de l’agriculture en Algérie en 2025 est l’une des priorités majeures pour le gouvernement algérien, avec pour objectifs principaux d’atteindre la sécurité alimentaire, de diversifier l’économie au-delà des hydrocarbures et de créer des opportunités d’emplois pour nos jeunes. Plusieurs tendances et initiatives-clés façonnent le développement de l’agriculture en Algérie cette année.
Alors que les rapports de force mondiaux se recomposent et que les technologies redéfinissent les contours du pouvoir, la souveraineté des Etats, loin d’être garantie, devient un terrain de contestation permanent. Ce texte explore les effets profonds d’une «inéligibilité à la souveraineté» sur les pays africains, entre héritages de dépendance et nouvelles formes de subordination. Il interroge leur capacité à façonner une autonomie réelle dans un environnement international de plus en plus contraint.
Le 31 mars 1961, une «dépêche» de l’AFP annonce que «Camille Blanc, maire d’Evian, est mort des suites de ses blessures.
L'établissement de rapports interétatiques entre l'Algérie et la France est le principal but de guerre du FLN. Dès le 1er Novembre 1954, sa proclamation dite «Proclamation de Novembre» définissait en formulant ses conditions de paix :
En ce mois de Ramadhan, un mois béni par excellence, nous revisitons à travers cet article un sujet fondamental déjà évoqué : celui de l’inspiration.
La découverte dans la commune de Chigara, wilaya de Mila, il y a quelques jours d’un chahid avec tous ses effets était prévue et peut se répéter dans l’avenir. Le chahid a été découvert dans une grotte, Kef Bouachra, enclavée dans une montagne au relief très escarpé et éloignée d’une vingtaine de kilomètres du siège de la commune.
L’économie algérienne connaît une reprise de la croissance notable à travers tous les secteurs d’activités. Cette reprise est soutenue par un effort d’investissement public et privé et accompagné d’une libéralisation des initiatives de création de la valeur et de l’emploi à tous les niveaux. Pour être durable, cette croissance obtenue nécessite un financement adapté, à moyen et long termes, à travers un marché financier en plus du marché bancaire à court et moyen termes.
La transition vers une économie circulaire apparaît comme une nécessité et non pas une option permettant de renforcer l’économie algérienne en optimisant son utilisation des ressources, sachant que l’économie circulaire est un système de production, d’échanges et de partage permettant le progrès social, la préservation du capital naturel et du développement économiqu