Dans une lettre adressée au roi Mohammed VI, le président français, Emmanuel Macron, annonce officiellement que son pays soutient le plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental mis au point en 2007 par le palais royal, un plan que même le défunt roi Hassan II, dans sa toute puissance, n’a pas osé soumettre à la communauté internationale.
Tel-Aviv va construire, dans le Sud marocain, une usine de «drones offensifs» et une autre dans le Nord pour des «drones défensifs». De plus, Israël va doter la monarchie marocaine du système antimissile «Dôme de fer», un système américain offert par les Etats-Unis et que l’armée israélienne est la seule au monde à posséder.
La France produit un canon unique en son genre, le Caesar. Directement intégrés au châssis d’un camion, ses missiles ont une portée de 80 km.
Avec une incroyable légèreté et sans se soucier des réactions internationales, les talibans ont renié tous leurs engagements pris après leur retour au pouvoir en août dernier.
C’est la reddition totale de l’Espagne devant la monarchie marocaine. Après avoir annoncé que son pays soutenait désormais le plan d’autonomie marocain au Sahara occidental, concocté par Rabat, voilà que le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, fait un voyage à Rabat pour s’engager dans un approfondissement des relations entre les deux pays, mais contre les intérêts espagnols.
Sans surprise, l’Espagne a renié ses engagements politiques, moraux, humanitaires avec le peuple sahraoui. Le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, toute honte bue, a annoncé que son pays renonçait à tous ses engagements et au respect de la légalité internationale pour soutenir le plan d’autonomie proposait par Rabat au Sahara occidental. Cette volte-face n’est pas étonnante.
Israël n’est pas mûr pour faire la paix avec les Palestiniens. On peut se demander si réellement il a aspiré un jour à cette paix. La preuve : son acharnement à judaïser toute la ville sainte de Jérusalem, en violation du droit international.