Les risques géopolitiques, la crise politique au Niger et ses conséquences sur les pays voisins remettent le continent africain au devant de l’actualité mondiale.
Les prix à l’exportation de marchandises et les prix à l’importation de marchandises en monnaie locale connaissent des baisses respectives de 0,6% et de 7,1% durant ce premier trimestre de l’année en cours par rapport à la même période de l’année dernière, a indiqué l’Office national des statistiques (ONS).
Les flux de production, de consommation et d’accumulation qui se sont produits en Algérie durant le premier trimestre de l’année en cours ont été rendus publics par l’Office national des statistiques (ONS), et ce, par le biais d’une publication sur les compte nationaux trimestriels (CNT).
L’activité industrielle a reculé durant ce premier trimestre 2023 par rapport au trimestre précédent, a conclu une enquête d’opinion auprès des chefs d’entreprise industrielle, initiée par les services de l’Office national des statistiques (ONS).
Par secteur d’activité, l’enquête de l’ONS auprès des chefs d’entreprise publique et privée révèle que seuls les secteurs des mines et carrières ainsi que les industries agroalimentaires (IAA) ont augmenté durant ce premier trimestre de l’année en cours. En effet, et à en croire l’ONS, l’activité des mines et carrières continue d’augmenter durant ce premier trimestre 2023.
Selon les experts étrangers, l’Algérie a des potentialités pour attirer l’investissement étranger, car c’est un pays où l’on peut exporter vers l’Europe, vers les marchés africains. L’Algérie dispose d’une bonne connexion internationale.
L’ONS précise que l’indice national des prix à la consommation est établi sur la base d’observation des prix effectuée auprès d’un échantillon de 17 villes et villages représentatifs des différentes régions du pays. Cet indice permet essentiellement de disposer d’indicateurs d’évolution des prix de détail sur l’ensemble du territoire national, favorisant ainsi une analyse comparative de l’évolution des prix entre Alger et les autres régions du pays.
Le stress hydrique, qui a impacté le pays ces dernières années, est pour beaucoup dans la baisse du rendement du secteur agricole. Comme en 2021, les producteurs et les agriculteurs sont confrontés cette année à la même problématique.
De nombreuses personnes vivant en milieu urbain déclarent envisager de se débarrasser complètement de leurs véhicules privés et de les remplacer par d’autres moyens de transport à l’avenir.
Pour le président de l’Anexal, les produits algériens «répondent aux normes internationales et sont de plus en plus demandés sur les marchés internationaux, en particulier les produits alimentaires, comme les jus, le lait et les laitages».
Cette manifestation économique internationale sera marquée par l’organisation du 1er Forum économique sur l’investissement en Algérie, sous la supervision de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), pour faire connaître «les opportunités d’investissement prometteuses et les avantages offerts par la nouvelle loi sur l’investissement».
Avec une population qui devrait presque doubler pour atteindre 2,5 milliards de personnes d’ici 2050, le continent a une chance d’améliorer considérablement sa productivité et d’inverser la décélération économique qu’il a subie de 2010 à 2019.
Les exportations de biens intermédiaires ont baissé au quatrième trimestre de 2022 dans un contexte de perturbations des chaînes d’approvisionnement, a indiqué l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui s’occupe des règles régissant le commerce entre les pays.
La situation de l’économie mondiale a commencé à s’améliorer, mais la reprise sera faible. La croissance du PIB mondial devrait refluer de 3,3% en 2022 à 2,7% en 2023, avant de rebondir à 2,9% en 2024.» Telle est la conclusion du rapport de l’Organisation de coopération et développement économiques (OCDE) dans sa dernière édition sur les perspectives économiques mondiales.
Pour de nombreux représentants d’entreprises étrangères, le secteur de l’agroalimentaire en Algérie est attractif et demandeur grâce à la nouvelle stratégie du gouvernement algérien, qui vise à freiner en quelque sorte les importations des produits agroalimentaires et à relancer l’agriculture.
La nouvelle dynamique dans les relations algéro-italiennes continue de marquer divers activités économiques des deux pays. Et c’est dans le cadre de cette coopération étroite que le Salon professionnel de l’agroalimentaire, Djazagro, dans sa 20e édition, connaîtra une participation record des entreprises italiennes, selon un communiqué de l’Agence italienne pour le commerce extérieur (ICE).
L’activité commerciale a reculé au troisième trimestre 2022, a indiqué une enquête de l’Office national des statistiques (ONS).
Ce développement place la Banque centrale européenne (BCE) dans une situation «très difficile». Une hausse de son taux directeur lors de sa prochaine réunion du 8 septembre, attendue à un demi-point de pourcentage, «soutiendrait un peu» l’euro, «mais avec le risque d’aggraver la situation économique» de la zone.
En théorie, l’Algérie dispose, selon ses dires, des ressources pour les années à venir et n’aura pas de problème d’énergie jusqu’aux années 2050-2060. «Les réserves en hydrocarbures s’élèvent à 2300 milliards de mètres de gaz dans le sous-sol», selon l’ancien ministre du secteur, Abdelmadjid Attar.
Il y a un manque en marchés de proximité qui influe négativement sur les prix. Pour Akli Moussouni, expert agronome, cette situation va encore perdurer et rien ne semble l’arrêter. Selon lui, les intervenants dans ce secteur ne sont identifiés qu’à travers les aides de l’Etat mais jamais organisés en filières autour de leurs productions. Le marché national n’est pas normalisé et n’est pas planifié. Il y a absence d’un circuit de distribution qui puisse servir de plateforme de réception et de programmation annuelle des productions.