Selon l’analyse des prévisions de McKinsey sur la mode, l’industrie mondiale affichera une croissance du chiffre d’affaires de 2 à 4% en 2024, avec des variations selon les pays et régions. Une fois de plus, le segment du luxe devrait générer la plus grande part des bénéfices économiques.
Les prix des biens alimentaires enregistrent une baisse de 0,9% en janvier 2024 par rapport au mois précédent, qui s’est caractérisé par la même tendance avec une variation plus élevée, soit -1,6%. Les prix des produits agricoles frais affichent une baisse de 1,6%.
La Compagnie algérienne des assurances (CAAT), qui a réuni ses partenaires, hier, à l’hôtel El Aurassi d’Alger, compte investir fortement les niches des assurances liées aux risques environnementaux, géopolitiques et les cyberattaques.
La demande en produits fabriqués reste stable et la plupart des enquêtés déclarent avoir satisfait à toutes les commandes reçues et il leur subsiste des stocks de produits fabriqués, situation jugée anormale par la majorité de ces derniers.
Le ministre des Finances a émis le vœu de voir toutes les compagnies activant sur le marché d’assurance national suivre l’exemple de la CAAT, soulignant que cet accord «permettra certainement de développer un environnement favorable à la réalisation de l’objectif noble tracé par l’Etat algérien, à savoir la construction d’une économie diversifiée créatrice de richesse et d’emplois».
En termes d’indices de valeurs unitaires à l’importation, l’ONS indique que les prix à l’importation ont enregistré une baisse en 2023. Cela concerne toutes les catégories de produits ont enregistré des diminutions des prix à l’importation de marchandises.
Le Conseil du renouveau économique algérien (CREA) et le Mouvement des entreprises de France (Medef) ont entamé, hier à Paris, la mise en application des objectifs fixés dans le Mémorandum d’entente signé en décembre 2023 entre les deux organisations.
Les perspectives pour le marché du travail devraient se dégrader bien que «modérément», et ce, face aux crises multiples qui nuisent à la justice sociale.
Le rapport de cinq organisations internationales (BM, FMI OCDE, Cnuced, OMC) fait ressortir les avantages que le commerce numérique est susceptible de présenter pour les pays les moins avancés (PMA), les femmes, les micros, petites et moyennes entreprises (MPME) et les jeunes.
Après une année difficile, un rebond significatif pour l’économie mondiale est improbable pour 2024, selon divers rapports d’organisations internationales spécialisées.
Les implications de l’Intelligence artificielle (IA) sur trois grands domaines d’intérêt macroéconomique : la croissance de la productivité, le marché du travail et la concentration industrielle ont fait l’objet d’une étude du Fonds monétaire international (FMI) publié récemment. Il en ressort que l’IA n’a pas d’avenir prédéterminé et peut se développer dans des directions très différentes.
Les comptes économiques en volume et en valeur, allant de 2001 à 2022 (et ce après adoption de l’année 2001 comme base dans le calcul du PIB et des comptes nationaux) ainsi que les principales tendances économiques de 2022 ont fait l’objet d’une nouvelle publication de l’Office national des statistiques (ONS).
Les économies en développement doivent saisir les opportunités du commerce numérique et à relever les défis qui y sont liés, a indiqué un récent rapport que l’OMC vient de publier en coopération avec le Fonds monétaire international (FMI), l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) et la Banque mondiale.
Le directeur de la division du commerce et de l’environnement de l’OMC, Aik Hoe Lim, a estimé, lors des travaux de la COP28, que «le commerce mondial de l’hydrogène vert et de ses dérivés sera essentiel pour relier les lieux où les coûts de production sont faibles et ceux où la demande est forte».
Une quarantaine d’entreprises turques, opérant dans divers secteurs d’activité, sont en Algérie pour explorer les opportunités d’affaires dont recèle le pays. En effet, hier à Alger, et en l’espace d’une rencontre organisée à l’hôtel Marriott, en présence de l’ambassadeur de Turquie en Algérie M. Muhammet Mücahit Küçükyılmaz, des opérateurs économiques des deux pays ont passé en revue, par le biais de rencontres B2B, les multiples opportunités d’affaires existantes.
L’indice brut des prix à la consommation de la ville d’Alger a enregistré une baisse de 0,5% en octobre 2023 par rapport au mois précédent, alors que durant le même mois de l’année écoulée, il s’est caractérisé par une hausse de 0,7%.
Après une forte baisse connue pendant des mois, le volume mondial des marchandises se redresse, selon le dernier Baromètre trimestriel du commerce des marchandises de l’OMC publié hier.
Les entreprises multinationales continuent de déclarer des bénéfices faiblement imposés, même dans les juridictions où les taux de l’impôt sur les sociétés sont élevés, ce qui souligne la nécessité d’une réforme fiscale à l’échelle mondiale.
Alors que la transition énergétique s’accélère, la voie à suivre est pleine d’incertitudes dans tous les domaines, des tendances technologiques aux risques géopolitiques et au comportement des consommateurs, indique un nouveau rapport du cabinet de conseil américain McKinsey, pour qui l’élaboration de stratégies d’investissement résilientes qui fonctionnent dans de multiples scénarios sont de plus en plus difficiles à élaborer.
Alors que la dette mondiale a atteint le niveau record de 307 400 milliards de dollars au troisième trimestre 2023 et le ratio dette/production dans les marchés émergents s’est établi lui aussi à un pic, l’Institute of International Finance (IIF), qui a révélé ces chiffres effarants de l’économie mondiale avertit qu’une évolution vers le populisme politique pourrait faire grimper ce volume en 2024.