Les marchés mondiaux des fusions et acquisitions n’ont pas offert le retour en force que de nombreux négociateurs avaient espéré en 2024. Bien que les performances se soient améliorées, et dans certaines régions, de manière significative, les transactions mondiales ont été freinées par diverses pressions et ont généré des rendements modérés, la valeur des transactions ayant augmenté de 12% à 3,4 billions de dollars.
Alors que sa dernière étude sur le chômage remonte à 2019, les derniers chiffres de l’Office national des statistiques (ONS) sur le chômage au mois d’octobre dernier viennent d’être corrigés une semaine après leur publication.
En vogue actuellement, l’investissement durable consiste à placer des fonds dans des projets ou entreprises qui visent à générer un impact positif sur l’environnement, la société et la gouvernance.
Le développement du solaire photovoltaïque destiné aux acteurs économiques a fait l’objet, hier à Alger, d’un débat entre experts issus des différentes parties prenantes dans la transition énergétique dans le pays.
Il faut un soutien public «plus ciblé» pour améliorer la résilience et la productivité du secteur de la pêche, d’après un nouveau rapport publié par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Comment les risques mondiaux ont-ils évolué au cours des 20 dernières années, et comment pourraient-ils changer à nouveau dans les années à venir ?
Les incidences économiques potentielles des systèmes de réglementation sur les flux de données transfrontières et la localisation des données ont fait l’objet d’un nouveau rapport publié avant-hier par le secrétariat de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Les dernières Perspectives mondiales du financement du développement durable appellent à une refonte majeure du système mondial afin de mobiliser des ressources pour bâtir un avenir durable pour tous. C’est ce qui ressort du nouveau rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Le commerce mondial des services a connu une forte augmentation de 10% en glissement annuel au troisième trimestre de 2024, confirmant la croissance vigoureuse enregistrée pendant le premier semestre de l’année, a indiqué l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
L’environnement commercial mondial devient de plus en plus incertain pour les entreprises, en raison de la montée du protectionnisme, de l’augmentation des différends commerciaux et des tarifs douaniers et des barrières commerciales.
Les économies émergentes et en développement seront probablement touchées de manière disproportionnée en raison de leur dépendance à l’égard des investissements directs étrangers et de leur exposition aux risques liés à l’approvisionnement en énergie et en matières premières.
S’appuyant sur les données de plus de 1000 entreprises, le rapport constate que le déficit de compétences reste l’obstacle le plus important à la transformation des entreprises aujourd’hui.
La coopération internationale dans divers domaines est au point mort, selon le Baromètre de la coopération mondiale 2025 du Forum économique mondial. Elaboré en collaboration avec McKinsey & Company et publié avant la réunion annuelle du Forum à Davos, en Suisse, le rapport analyse la coopération mondiale autour de cinq dimensions : le commerce et les capitaux, l’innovation et la technologie, le climat et le capital naturel, la santé et le bien-être, ainsi que la paix et la sécurité.
Cette tendance est due, essentiellement, à la baisse des prix des biens alimentaires qui ont affiché une variation de -2,7%, selon la même source.
La production industrielle du secteur public national a enregistré une hausse de 3,2% au troisième trimestre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente, selon l’Office national des statistiques (ONS).
L’Algérie a fait des progrès significatifs dans la numérisation du secteur des finances en 2024, faisant dire au ministre de tutelle Laaziz Faid, que l’année 2025 sera celle du «renforcement du processus de numérisation par excellence».
L’édition 2023 du rapport de la FAO indique, qu’à l’échelle mondiale, la production et les échanges de la plupart des principaux produits ligneux ont accusé une baisse en 2023, à l’exception des panneaux à base de bois.
Les pays en développement connaissent toujours un retard criant dans l’exportation des services, au moment où ces derniers catalysent la croissance.
Les entreprises mondiales commencent à s’adapter à ce changement en privilégiant les compétences aux diplômes en matière de développement de la main-d’œuvre.
Un nouveau plan ambitieux décliné par des experts nationaux. Il s’agit de promouvoir une collaboration intersectorielle et développer des solutions adaptées aux réalités algériennes et africaines mais aussi fabriquer des équipements performants, compétitifs et adaptés aux spécificités régionales.