Le journaliste et directeur du groupe de presse Maghreb Emergent-Radio M, El Kadi Ihsane, est convoqué à nouveau par les services de la gendarmerie de la wilaya de Tizi Ouzou.
Le président Abdelmadjid Tebboune a décidé d’interdire l’exportation de tous les produits de consommation importés par l’Algérie. La décision a été prise à l’occasion de la réunion, hier, du Conseil des ministres, selon un communiqué de la présidence de la République.
Auteur prolifique et chercheur infatigable dans le domaine de l’histoire amazighe, Mohand-Akli Haddadou, décédé en 2018 à l’âge de 63 ans, a laissé un autre fruit de son travail : Dictionnaire encyclopidique des Berbères.
Une évolution paradoxale : «augmentation du nombre de travailleurs dans le secteur privé et faiblesse, voire inexistence du syndicat». Ce constat est établi par des chercheurs, en l’occurrence le sociologue Nacer Djabi, le chercheur en sociologie Samir Larabi et le consultant Abdelkrim Boudra.
Le ministre des Transports, Aïssa Bekkaï, a été limogé, jeudi matin, par le président Abdelmadjid Tebboune. La décision a été annoncée par la présidence de la République dans un communiqué diffusé sur sa page Facebook.
Le haut commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, exprime sa préoccupation sur «les restrictions des libertés en Algérie». Intervenant à l’occasion de la 49e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, où elle a lu le rapport annuel sur la situation dans le monde, elle appelle les autorités algériennes à «changer de cap».
Le Front contre la répression et pour les libertés est né. En préparation depuis des mois à l’initiative des forces du Pacte pour l’alternative démocratique (PAD), il a été proclamé, hier, lors d’une conférence organisée au siège du Mouvement démocratique et social (MDS), dont le coordinateur, Fethi Ghares, figure parmi les détenus politiques et d’opinion.
Le front contre la répression et pour les libertés est né. En préparation depuis des mois à l’initiative des forces du pacte pour l’alternative démocratique (PAD), cette structure a été proclamée, ce samedi 5 mars, lors d’une conférence organisée au siège du Mouvement démocratique et social (MDS), dont le coordinateur, Fethi Ghares, figure par les détenus politique et d’opinion.
Le procureur de la République près le tribunal de Bir Mourad Raïs, à Alger, a requis une peine d’emprisonnement contre le journaliste du quotidien El Khabar, Hamid Goumrassa, poursuivi pour un article de presse.
L’audition sur le fond du journaliste et militant Abdelkrim Zeghileche, prévue hier devant le juge d’instruction près le tribunal d’El Ziadia, à Constantine, a été reportée. Elle aura lieu dimanche 6 mars, selon le Comité national pour la libération des détenus d’opinion (CNLD). La même source rappelle que Abdelkrim Zeghileche a été placé sous mandat de dépôt depuis le 24 janvier 2022.
Le journaliste et militant Abdelkrim Zeghileche, ainsi que l’étudiant Benchabane Ahmed-Saïd seront auditionnés, aujourd’hui, par le juge d’instruction près le tribunal de Constantine.
Le journaliste d’El Watan, Nourredine Nesrouche, a été auditionné, hier, par le juge d’instruction près la 4e chambre du tribunal de Constantine.
Les avant-projets de loi sur l’information et sur l’audiovisuel, présentés dimanche en Conseil des ministres, n’ont finalement pas été adoptés. Le chef de l’Etat, selon un communiqué de la Présidence, «a demandé l’enrichissement de ces textes».
Les projets de loi sur l’information et l’audiovisuel ont été, hier, au menu de la réunion du Conseil des ministres. Les deux textes, programmés et déprogrammés à plusieurs reprises, suscitent toujours des interrogations et des craintes chez les professionnels de la presse.
Le journaliste d’El Watan Nourredine Nesrouche sera entendu, mardi 1er mars, par le juge d’instruction près le tribunal de Constantine. C’est ce que nous avons appris, hier, auprès de l’un de ses avocats, Boudjemaa Ghechir.
Les Algériens établis en Ukraine multiplient, depuis jeudi dernier, les appels à leur évacuation. Ces cris de détresse, émanant notamment des étudiants algériens inscrits dans des universités ukrainiennes, sont relayés sur les réseaux sociaux.
Les assises de la naissance du Front contre la répression et pour les libertés se tiendront le 5 mars prochain. C’est ce qu’a annoncé la coordination chargée de la préparation de cette structure, dans un communiqué rendu public hier. «La coordination pour un ‘‘Front contre la répression et pour les libertés’’ informe que les assises pour la proclamation de ce front qui ont été retardées en raison de l’aggravation de la pandémie, des entraves juridico-répressives qui touchent plusieurs organisations politiques parties prenantes de l’appel et de l’obstruction administrative à obtenir un lieu public de réunion, se tiendront le 5 mars 2022», lit-on dans ce document.
Mahmoud Rechidi rappelle au ministère de l’Intérieur que sa procédure de suspendre les activités du parti, engagée auprès du Conseil d’Etat, n’est qu’un acharnement.
Des personnalités nationales, des acteurs du mouvement citoyen, des militants de la société civile et des intellectuels lancent une nouvelle initiative politique pour la concrétisation des revendications du hirak.
Plusieurs partis de l’opposition alertent sur l’ampleur de la crise politique qui dure dans le pays et dénoncent les fuites en avant du pouvoir en place et sa politique du tout-répressif. Ils appellent, à l’occasion de la célébration du 3e anniversaire du hirak du 22 février 2019, à revenir, tant qu’il est encore temps, à la solution politique qui «est toujours possible».