L’éthique et la recherche clinique font l’objet d’un séminaire de deux jours organisé par le ministère de la Santé à Alger.
A l’issue des deux journées internationales sur l’évaluation des technologies de santé portant sur l’introduction de la pharmaco-économie dans notre pays pour quantifier l’impact économique pour l’accès aux thérapeutiques innovantes, une série de recommandations a été adoptée.
Un rebond du nombre de cas de contamination à la Covid-19 est constaté dans certains pays d’Asie, particulièrement en Chine, qui n’a pas connu autant de cas positifs depuis l’apparition de la pandémie à Wuhan en 2019.
La pharmaco-économie constitue désormais une exigence dans l’élaboration des options thérapeutiques, notamment pour l’introduction des médicaments innovants.
Le pharmacien, toutes catégorie confondues, fait désormais face à de nouvelles orientations du système de santé qui connaît une nouvelle dynamique en termes d’innovation et de réglementation.
La biologie médicale, dans toutes ses spécialités, est au centre des débats depuis deux jours dans le cadre du Congrès international de biologie médicale organisé par la Société algérienne de biologie clinique (SABC). Les thèmes phares de cette 8e édition sont la Covid-19, le microbiote intestinal et les dernières recherches en hémobiologie.
Douze (12) mars 2020-12 mars 2022, cela fait deux ans, jour pour jour, que l’OMS a déclaré que l’épidémie de Covid-19 est devenue une pandémie dont les premiers cas sont apparus dans la ville de Wuhan, en Chine centrale, le 17 novembre 2019, puis se propagent dans le monde entier.
A l’occasion de la Journée mondiale du rein, le Pr Farid Hadoum, chef de service de néphrologie au CHU Mustapha Bacha à Alger, revient dans cet entretien sur l’urgence de donner un nouveau souffle à la greffe rénale en Algérie et offrir des chances aux patients dialysés de vivre une meilleure vie.
Le Pr Chaouch entend donner un nouveau souffle à la greffe rénale et tous les autres organes et surtout promouvoir le don sur cadavre.
Les réformes engagées par le ministère de l’Industrie pharmaceutique concernent, entre autres, les textes régissant les établissements pharmaceutiques et la mise en activité de l’agence nationale des produits pharmaceutiques.
En l’absence d’un taux de couverture vaccinale avoisinant les 70%, le port du masque dans les lieux publics et le pass vaccinal sont toujours en vigueur.
Sur instruction du ministre de l’Industrie pharmaceutique, le Dr Lotfi Benbahmed, les dispositions prévues initialement dans les réquisitions concernant les produits Covid-19 seront élargies pour les médicaments sous tension ou en rupture, a annoncé le ministère de l’Industrie pharmaceutique.
La prévalence de l’obésité, un sérieux problème de santé publique, inquiète les spécialistes au vu de sa progression dans le monde et particulièrement en Algérie.
Les épidémiologistes et les biologistes appellent au renforcement de la vaccination contre la Covid-19 pour se protéger du virus Sars-CoV-2, qui connaît de nombreuses mutations.
Le groupe pharmaceutique Saidal se lance dans une nouvelle stratégie de développement en s’inscrivant dans une dynamique d’innovation au service de la santé.
Au courant de l’année 2021, 9,5 millions de boîte de médicaments, toutes spécialités confondues, ont été mises sur le marché pour une valeur de 4,4 milliards de dinars.
En l’absence d’une réglementation, les compléments alimentaires fabriqués et importés envahissent le marché national.
Placé sous le thème «L’Industrie pharmaceutique au service de la santé», la 16e édition du Salon international de la pharmacie a été inaugurée hier par le ministre de l’Industrie pharmaceutique, le Dr Lotfi Benbahmed, qui a souligné l’importance de cet événement pour les opérateurs de la pharmacie.
Cinquante requêtes de dénonciation de pratiques concurrentielles illicites de la part de certains distributeurs de produits pharmaceutiques, dont la vente concomitante émane des pharmaciens d’officine, sont à l’étude au niveau de l’inspection générale, a annoncé le ministère de l’Industrie pharmaceutique dans un communiqué rendu public samedi.
Dans un communiqué rendu public hier, le Snapo affirme qu’il a été convenu, lors de la réunion organisée au ministère de la Santé, l’installation d’un groupe de travail pour examiner tous les points relatifs à l’exercice de la profession de pharmacien d’officine.