En marge du Salon des produits pharmaceutiques et dispositifs médicaux, El Djazair Healthcare, le ministre de la Santé et de l’Action sociale sénégalais et le ministre de l’Industrie pharmaceutique algérien ont signé un mémorandum d’entente pour promouvoir la coopération entre les «parties» en facilitant l’échange d’informations, d’expériences et de documentation dans le domaine de l’industrie pharmaceutique, et en encourageant le développement d’activités de collaboration bilatérales dans le respect des cadres normatifs et réglementaires de chaque «partie».
Recours aux plateformes africaines de distribution constitue un des moyens efficace pour les producteurs algériens pour contrer toutes les difficultés logistiques liées à l’exportation.
Le Salon des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux «Djazair Healthcare» a été inauguré hier à Dakar, au Sénégal, conjointement par le ministère de la Santé et de l’Action sociale sénégalais, Abdoulaye Diouf Sarr, et le ministre de l’Industrie pharmaceutique, le Dr Lotfi Benbahmed. Rappelant le caractère stratégique du secteur de l’industrie pharmaceutique, les deux ministres ont insisté sur l’importance de la coopération et le développement de partenariats gagnant-gagnant entre les deux pays.
Le premier Salon algérien de l’industrie pharmaceutique El Djazair Healthcare 2022, organisé conjointement par les ministères de l’Industrie pharmaceutique et du Commerce et la société Tasdir, ouvrira ses portes aujourd’hui au King Fahd Palace à Dakar, au Sénégal, et se poursuivra durant trois jours, du 17 au 19 mai 2022.
Le ministre de l’Industrie pharmaceutique appelle à la promotion de la production africaine des produits pharmaceutiques, notamment les vaccins, en Afrique, par l’intégration des financements consacrés annuellement par le Fonds mondial pour la lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme, dont l’enveloppe est estimée à 4 milliards de dollars chaque année.
Une analyse de l’impact de la pandémie de Covid-19 réalisée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread), à la demande du ministère de la Santé, révèle que la population algérienne cible a manifesté sa réticence à la vaccination anti-Covid-19 à cause des effets secondaires et le manque d’information sur la provenance des vaccins.
Soins de support pour assurer une meilleure qualité de vie des patients cancéreux» est le thème de la quatrième journée scientifique, à laquelle ont pris part de nombreux paramédicaux, organisée hier par l’Association des infirmiers en cancérologie (AIC) du Centre Pierre et Marie Curie (CPMC).
Le comité de pilotage et de suivi du Plan national cancer 2015- 2019, à sa tête le coordonnateur, le Pr Messaoud Zitouni, formule de nouvelles propositions pour la mise en œuvre du Plan national cancer pour lutter contre ce fléau dont l’incidence dépasse les 50 000 nouveaux cas par an. Un rapport sera remis au président de la République dans les prochaines semaines.
Le directeur de l’Institut Pasteur d’Algérie, le Dr Fawzi Derrar, a déclaré hier que le virus Sars CoV-2 est toujours en circulation et la pandémie n’est pas finie, lors de la journée organisée, par l’IPA, sur l’importance de la vaccination, dans le cadre de la semaine mondiale de la vaccination, et pour sensibiliser les journalistes de la presse nationale sur l’importance de la vaccination.
Vers la production d’autres vaccins, dont l’antigrippal et celui contre la poliomyélite.
Le ministère de l’Industrie pharmaceutique a signalé, dans un communiqué rendu public hier, que les termes de la communication de son ministère ne «sauraient être définis ‘‘d’allégations’’ par une partie de surcroît déclarée défaillante à de multiples niveaux», en réaction à la réponse du laboratoire Novo Nordisk faisant suite aux déclarations du ministre de l’Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, l’accusant «de rétention d’insuline et de mauvaise volonté flagrante dans sa lenteur à la concrétisation du projet de production de son insuline fabriquée localement avec le groupe Saidal», des propos rapportés dans nos précédentes éditions.
Le ministre de l’Industrie pharmaceutique, le Dr Lotfi Benbahmed, évoque dans son rapport les raisons exogène et endogène des ruptures de stock de médicaments.
Les cris de détresse des associations et des parents d’enfants atteints d’une maladie génétique grave, à savoir la phénylcétonurie qui est la plus fréquente des maladies rares en Algérie, ont enfin trouvé écho.
Suit aux instructions du président de la République portant sur l’enquête sur les causes de la pénurie de médicaments, les associations membres de l’Alliance nationale de lutte contre le cancer, à travers tout le territoire national, se félicite de cette décision.
Depuis la création de la faculté de pharmacie à l’université d’Alger, un éventail de partenariats a été signé, depuis le début de l’année en cours, avec les laboratoires pharmaceutiques dans le but d’encourager la recherche scientifique pour le développement de l’industrie pharmaceutique en Algérie.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a déclaré samedi soir qu’une enquête sur les raisons des ruptures de stock de certains médicaments dans les hôpitaux est en cours, lors d’une entrevue avec des représentants de la presse nationale, diffusée sur les chaînes de la Télévision et de la Radio nationales.
Le premier Salon algérien de l’industrie pharmaceutique El Djazair Healthcare 2022, organisé conjointement par le ministère de l’Industrie pharmaceutique et le ministère du Commerce se tiendra du 17 au 19 mai 2022, à Dakar, au Sénégal.
Quatre cent quarante-sept médicaments sur 552 produits enregistrés, toutes aires thérapeutiques confondues, et soumis à l’appel d’offres national et international n° 07/2021 du 1er septembre 2021, clôturé en octobre et attribué le 7 avril, sont déclarés infructueux par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), soit plus de 80% d’infructuosité.
L’Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP) et l’organisme algérien d’accréditation, Algerac, ont signé hier une convention de coopération dans le cadre du développement des infrastructures qualité et des laboratoires de contrôle de qualité relevant du secteur de l’Industrie pharmaceutique, en présence des ministres de l'Industrie pharmaceutique, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmed, et de l'Industrie, Ahmed Zeghdar, en marge de la rencontre sur l’industrie pharmaceutique placée sous le thème «L'apport de l'accréditation à la qualité des dispositifs médicaux», au niveau du Centre international des conférences Abdelatif Rahal (CIC).
Le ministre de la Santé, le Pr Abderrahmane Benbouzid, a annoncé, à l’ouverture des travaux du séminaire sur l’éthique et la recherche clinique, la création des centres d’investigation clinique, structures publiques entièrement dédiées à l’organisation, la coordination et la réalisation de recherche clinique pour améliorer la connaissances des maladies, leurs traitements et leur prévention.