180 kilomètres de pistes forestières, 150 hectares pour des tranchées anti-incendie ont été réalisées par la conservation des forêts de Tiaret avant la saison des grandes chaleurs, parant ainsi à d’éventuels feux pour lesquels la mobilisation reste totale.
La section syndicale UGTA et la commission des œuvres sociales de la jeunesse et des sports de Mostaganem ont célébré, tout récemment, le dévouement de 25 retraités, ayant consacré leur carrière à la noble mission de la jeunesse et des sports.
N’était la prompte intervention des éléments de la Protection civile, dans l’après-midi de samedi dernier, il en serait fini de l’emblématique magasin Disco Maghreb, celui qui attire tous les jours des dizaines et des dizaines de touristes, autant nationaux qu’étrangers.
Des entreprises de travaux titulaires de projets de réalisation socioéconomiques sont confrontées de plus en plus à la pénurie de la main-d’œuvre qualifiée locale au sud ouest. Une situation qui, selon les experts, risque de retarder l’avancement des travaux et par conséquent susceptible de compromettre les délais de réception de projets.
La cellule de l’environnement affiliée à la wilaya a procédé, du 25 au 31 mai dernier, à l’enlèvement de 200 tonnes de déchets en tous genres et plus de 2000 sachets en plastique, à travers les différentes communes de la wilaya d’Oran.
À l’occasion de la Journée nationale des Scouts musulmans algériens (SMA) à Mostaganem, coïncidant avec le 27 mai de chaque année, une célébration riche en activités a eu lieu sous le thème «Le Scoutisme est toujours au service de la nation».
À l’instar de toutes les wilayas du pays, les épreuves du Brevet d’enseignement moyen (BEM) débuteront demain à Mascara. Pas moins de 18 677 candidats se préparent à affronter cet examen dans 70 centres répartis à travers la wilaya, parmi ces centres, 62 relèvent de la compétence de la police et les huit restants de celle de la Gendarmerie nationale.
Une unité d’autogreffe de cellules souches et de moelle osseuse va être ouverte, prochainement, au CHU Dr Benzerdjeb d’Oran, a-t-on appris de cet établissement hospitalier.
Le site archéologique de L’Homme de Tighennif, à Mascara, fait l’objet depuis plusieurs jours d’une nouvelle fouille, la neuvième du genre, a indiqué à la presse le directeur de la culture et des arts de la wilaya, Abdelghani Rezigui.
De mémoire d’Oranais, il est très rare que le Centre des conventions Ahmed Benahmed connaisse un engouement pareil que celui de la 25e édition du Salon international de l’artisanat dont la clôture a eu lieu hier lundi. Cette manifestation, qui met sous le feu des projecteurs le travail minutieux des artisans et autres designers, est organisée, cette année, pour la première fois à Oran.
Steppe et désertification, états des lieux, contraintes et perspectives, des thèmes d’une brûlante actualité qu’on ne cessera jamais d’évoquer, tant les enjeux sont à l’égal des défis et des perspectives à développer. L’université Abderrahmane Ibn Khaldoun, qui s’ouvre sur la société, s’intéresse tout naturellement aux problèmes posés. A l’instar de la problématique sur l’eau, le cheval, les NTIC et l’entreprenariat, entre autres, celle liée à la steppe et, subsidiairement à la désertification, a été traitée.
La prestation des musiciens a été particulièrement appréciée, et c’est un véritable voyage dans l’espace et dans le temps qui a été proposé par cet ensemble dirigé par le chef d’orchestre Missak Baghboudarian, Syrien d’origine arménienne et formé de neuf instrumentistes, une contrebassiste, un violoncelliste et des violonistes, dont une femme, premier violon, saluée par le chef comme il est d’usage lorsqu’il a fait son entrée.
Un avis d’appel pour le lancement d’une étude portant sur le raccordement de Tiaret et des communes du nord de la wilaya par l’eau de mer dessalée a été lancé la semaine dernière sur des journaux nationaux», a déclaré Ali Bouguerra, wali de Tiaret, jeudi, dans son cabinet, alors qu’il venait d’inviter les représentants des médias et de la presse nationale accréditée pour une annonce à la population jugée «importante».
en cette période de printemps, la tentation de se baigner dans la mer peut être forte. Cependant, les dangers sont bien réels. Malheureusement, un jeune vient de payer le prix ultime en perdant la vie dans des eaux agitées.
Selon les autorités locales, la wilaya de Mascara, forte d’une population de 1 026 422 habitants, dispose d’une main d’œuvre active de 369 046 personnes, dont 335 101 sont actuellement employées l Cela se traduit par un taux de chômage de 9,19 %, inférieur à la moyenne nationale estimée à 10%.
Le secrétaire général de la wilaya de Mascara, M. Makhloufi Abdelmalek, a affirmé dimanche que «toutes les dispositions logistiques, organisationnelles et humaines ont été prises en vue d’atteindre les objectifs du recensement général de l’agriculture dans la région».
Le wali de Mostaganem, Ahmed Boudouh, a donné, dans la matinée de dimanche 19 mai, le coup d’envoi de l’opération du recensement général agricole au niveau du siège de la wilaya.
Un ouvrage d’art reliant une ruelle située entre le quartier la gare et cité Rousseau, au cœur de la ville de Tiaret, a été inauguré dimanche, en marge des festivités liées à la Fête de l’étudiant par les autorités locales.
La ville de Tiaret se caractérise, ces derniers temps, par la mise en branle d’importants projets liés aux aménagements urbains et surtout la réhabilitation du réseau routier en interne. La capitale du Sersou s’apparente à une ville en chantier où tout a été labouré, enfin des pans entiers d’axes routiers ont été décapés pour être revêtus de bitume non sans allier des opérations connexes sur la voierie. Bien que des appréhensions soient nourries, beaucoup de citoyens y voient quand même le signe d’approches visant l’amélioration du cadre de vie.
De la sorte, il est prôné l’abandon de la généralisation, jugée irréfléchie, de la céréaliculture pluviale, celle-ci étant définie comme une agriculture dont les résultats de production sont en fonction directe de la quantité des pluies annuelles, contrairement à la céréaliculture en irriguée, cette dernière étant aussi inenvisageable dans le Témouchentois pour la même raison, sachant l’insuffisance des précipitations qui ne permettent pas la constitution de ressources hydriques souterraines exploitables pour l’agriculture.