Les retraités exigent le versement de la revalorisation décidée en mai 2021. Face à l’érosion de leur pouvoir d’achat, ils réclament une revalorisation «conséquente» de leurs pensions. Ils souhaitent l’intervention du président de la République.
Après sept reports, le procès en appel de l’affaire liée à l’octroi de terrains d’investissement en violation de la loi à Tipasa s’est ouvert avant-hier devant la chambre correctionnelle près la cour de Boumerdès.
Le Parti des travailleurs (PT) appelle Issad Rebrab à «reconsidérer» sa décision de fermer le quotidien Liberté. «L’incompréhension et la stupeur mêlées d’émotion ont vite cédé la place à l’indignation et à la colère. Mais une telle nouvelle est si invraisemblable par sa violence que nous avons du mal à y croire.
L’ancien député, Atmane Mazouz, est le premier candidat à la présidence du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). «Je me porte candidat pour la présidence du parti», fait-il savoir dans une déclaration rendue publique, hier.
Les éléments de la Gendarmerie nationale de Tlemcen ont libéré, dernièrement, deux filles enlevées par un groupe de malfaiteurs, a rapporté hier un communiqué de la cellule de communication du groupement territorial de ce corps constitué.
L’ancien député, Atmane Mazouz annonce officiellement sa candidature à la présidence du rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD).
Dans l’entretien accordé à El Watan, le sociologue Mohamed Mebtoul revient sur le 1er Salon des Sciences sociales, devant se tenir du 19 au 21 novembre prochain. Le coordinateur scientifique de l’événement considère, à raison, que «seules les sciences sociales dans la diversité de leurs paradigmes peuvent produire de la lumière sur les différents phénomènes sociaux, économiques, juridiques, culturels et politiques».
Plusieurs intellectuels, chercheurs, universitaires et artistes ont signé une pétition dans laquelle un appel est lancé pour la «préservation» du quotidien francophone Liberté, dont la fermeture devrait intervenir ce mercredi. «Inquiets du sort réservé au journal Liberté (sa fermeture annoncée), nous, intellectuels, universitaires, chercheurs et artistes algériens, profondément attachés au pluralisme médiatique, ne pouvons rester insensibles au risque de la disparition d’un titre qui porte la voix plurielle de l’Algérie.
Des associations de consommateurs proposent de «boycotter certains produits excessivement chers, rationaliser les achats et opter pour une consommation raisonnable pour affronter la vague parfois justifiée et parfois injustifiée des prix élevés des pseudo-commerçants opportunistes».
Le ministère du Commerce et de la Promotion de l’exportation a mis en place sept mesures «strictes» afin d’affronter les spéculateurs sur les marchés en ce début du mois de Ramadhan, selon une déclaration du responsable de la régulation du marché au ministère du Commerce au quotidien El Chorouk.
Le président du Syndicat national des magistrats (SNM), Yassad Mabrouk, a dénoncé «l’atteinte à l’image de la justice».
Le vice-président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), Saïd Salhi, nous livre dans cet entretien ses impressions quant à la libération mercredi 30 et jeudi 31 mars dernier d’une cinquantaine de détenus d’opinion. Selon lui, il s’agit d’une «libération partielle», tant par rapport au nombre total de détenus d’opinion, qui avoisinerait les 300, que pour ce qui est du fait qu’il s’agit de libérations «provisoires».
Le réseau SaNuit-Maghreb a analysé l’état des lieux dans les trois pays. Il regroupe une cinquantaine de représentants de 15 établissements, de laboratoires, d’enseignants-chercheurs et de médecins issus d’Algérie, Tunisie, Maroc et France.
Globalement, les pays du Maghreb se situent parmi les pays les plus à risque en termes de sécurité routière, comme c’est le cas de la plupart des pays dits émergents.
Des intellectuels et universitaires entre autre ont signé, aujourd’hui dimanche 3 avril, une pétition dans laquelle un appel est lancé pour la «préservation» du quotidien «Liberté».
Quatre personnes ont perdu la vie par asphyxie au monoxyde de carbone et deux autres ont été sauvées, samedi 2 avril (20h45) par les éléments de la Protection civile au niveau d'un appartement sis au deuxième étage d'un bâtiment dans la cité Zaaroura à Tiaret, a-t-on appris du chargé de l'information à la direction de la Protection civile, le lieutenant Rabah Boukhari.
Le quotidien francophone Liberté baissera rideau dans les prochains jours. La décision a été confirmée, hier, par le propriétaire du titre aux journalistes et travailleurs lors d’une réunion tenue pour tirer au clair la situation.
Spécialiste de la presse algérienne, Ahcene Djaballah Belkacem, ancien professeur associé à l’université d’Alger, revient ici sur la situation de la presse algérienne. Il explique les raisons ayant conduit les médias à la crise actuelle.
Alors que le boycott administratif lancé par le Cnapeste est toujours maintenu, les résultats du 2e trimestre commencent à être connus. Les premiers échos font état d’une baisse considérable dans les notes. Les parents d’élèves ne cachent pas leur inquiétude. En effet, les résultats du 2e trimestre sont peu probants.
Même si le ministère n’a pas encore donné son évaluation des résultats des dernières compositions, les indicateurs semblent être au rouge. Qu’en pensez-vous ? Au fait, c’est relatif. L’évaluation, à travers les compositions trimestrielles, doit contrôler les connaissances apprises en classe. Elle permet de voir si l’élève a assimilé les connaissances enseignées par le professeur, sous forme de cours et d’exercices. Toutefois, dans l’évaluation des élèves dans notre système scolaire, on utilise l’évaluation diagnostique uniquement. Ceci, au détriment de l’évaluation formative. On s’attarde sur la réussite ou l’échec de l’élève sans pour autant s’intéresser à la détermination des causes pour pouvoir remédier à un éventuel échec scolaire de l’enfant. Il n’est donc pas tout à fait juste de parler de résultats catastrophiques des élèves. Il se pourrait que cela soit possible dans les matières essentielles mais les notes restent correctes dans les autres matières. Il faut aussi savoir que le niveau des élèves actuel comparé à leurs camarades d’il y a trois ans, a diminué.