Contacté à ce propos, le directeur des ressources hydriques de la wilaya de Bouira, indique qu’un projet de réalisation de 5 petits barrages à travers les quatre coins de la wilaya, sera concrétisé en 2024. «Actuellement nous sommes en phase de prospection pour lancer des études de faisabilité. Les eaux emmagasinées dans les 5 petits barrages seront destinées au secteur agricole», indique-t-il.
Chaque année, des millions de bêtes sont sacrifiées lors des fêtes religieuses et autres occasions, dont les mariages. Cependant, des centaines de milliers de précieuses peaux, notamment de mouton, sont jetées, privant ainsi toute une industrie d’une matière première presque gratuite. Le marché mondial du cuir pèse près 250 milliards de dollars et les prix de la matière première ont connu une augmentation ces dernières années.
La commune de Chorfa, à 45 km à l’est de la wilaya de Bouira, a fait un grand pas dans la réduction des dépenses liées à la consommation de l’énergie électrique. La facture annuelle de l’éclairage public a baissé de plus de 70% au bout de 3 ans.
Les habitants du village Inesman, relevant de la commune de Taghzout, au nord-est de la wilaya de Bouira, crient à la marginalisation. Dans une requête adressée au wali, les villageois ont signalé plusieurs problèmes, dont la dégradation du réseau routier.
L’association Kafil El Maridh (le Parrain du malade) de la commune de Chorfa a organisé, mercredi passé, une réception en l’honneur des personnes porteuses d’une trisomie.
Les prix des moutons sont de plus en plus inaccessibles pour les petites et même les moyennes bourses. Le sacrifice rituel de l’Aïd Al-Adha ne sera plus accompli pour de nombreuses de familles. « Cela fait des années que je ne sacrifie plus de mouton lors de l’Aïd.
Le projet de rénovation du réseau de l’alimentation en eau potable (AEP) du quartier Tabaalt Khelidja, dans la commune de Chorfa, à l’est de Bouira, traîne depuis des mois.
La portabilité des numéros ou la possibilité pour un abonné de la téléphonie mobile de changer d’opérateur tout en gardant le même numéro n’est pas encore entrée en vigueur en Algérie. Pourtant, l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) l’avait annoncé, dès 2018, à travers un communiqué où il a été mis en évidence que «la portabilité des numéros représente un levier efficace pour accroître la concurrence sur le marché des communications électroniques». Il aura fallu jusqu’à mai 2021 pour qu’un décret exécutif voit le jour.
Près d’un demi-million d’Africains subsahariens meurent chaque année en consommant des médicaments de qualité inférieure ou contrefaits. C’est que révèle un rapport d’évaluation des menaces de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
Vendredi dernier, s’est déroulée à Bouira la première phase d’un rallye organisé par la Ligue de wilaya des sports mécaniques. Et c’est au site naturel de Tikjda qui fait du Parc national du Djurdjura (PND), un site classé par l’Unesco comme réserve de biosphère protégée en 1997, qu’ont eu lieu les épreuves de la première étape.
L’abeille saharienne ou l’abeille jaune, également connue sous le nom scientifique, Apis Mellifica Sahariensis, n’existe que dans la région du Sud-Ouest algérien, principalement à Ain Sefra (wilaya de Naâma) et au nord de Béchar où on l’appelle aussi el ghanmi.
-Quelle est l’importance de l’abeille saharienne dans l’écosystème oasien ? La répartition géographique de cette sous-espèce est définie dans les régions steppique et saharienne du Sud-Ouest algérien, à savoir les montagnes de Aïn Sefra, Béchar et Beni Ounif. Elle est facilement reconnaissable à sa couleur jaune oranger et est caractérisée par sa douceur, comparativement à la tellienne (Apis mellifera intermissa). L’abeille saharienne, au même titre que les autres races d’abeilles, joue un rôle important dans l’écosystème qu’elles occupent. En effet, elle joue un rôle crucial ; d’une part, dans la pollinisation des espèces végétales contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, d’autre part, elle assure une diversification des sources de revenus des communautés rurales, soit à travers le miel ou bien les autres produits de la ruche (propolis, pollen, venin, gelée royale, cire).
En l’espace de deux jours, seulement, les services de la Protection civile de Bouira ont déploré cinq morts et quatre blessés dans deux graves accidents de la circulation.
Plusieurs investissements dans la zone industrielle d’Oued El Berdi, au sud du chef-lieu de la wilaya de Bouira, ont été raccordés, récemment, aux réseaux de distribution de gaz et d’éléctricité.
L’association environnementale Tazemmurt, de la commune d’Aghbalou, au nord-est de Bouira, a organisé une journée de formation au profit des agents de la propreté urbaine, au niveau de la bibliothèque communale. La formation a été animée par deux membres d’association, Djamel Bellal, un biologiste et Mustapha Messaoudene, superviseur en hygiène, sécurité et environnement.
Plusieurs localités enclavées des communes de la wilaya de Bouira ont bénéficié de projets de renforcement du réseau de distribution de l’électricité depuis le début de l’année en cours. Selon un communiqué de la direction de distribution de Bouira (DDB), 10 postes transformateurs et 65,55 kilomètres de lignes électriques ont été réalisés.
Une immense foule s’est déplacée, samedi dernier, au village Ighzer Iwaquren, relevant de la commune de Saharidj, au nord-est de Bouira, pour commémorer la date historique du 6 mai 1957.
C’est l’œuvre de l’écrivaine Aldjia Mezouari, originaire de la commune d’Aghbalou, au nord-est de la wilaya de Bouira. Aldjia est aussi doctorante et enseignante de tamazight à l’université Akli Mohand Oulhadj de la même wilaya. «J’étais et je demeure fascinée par les romans policiers, notamment ceux de la célèbre Agatha Christie.
L’Association pour la promotion de la francophonie (APF) en partenariat avec l’association sahraouie pour la promotion et les échanges culturels avec la francophonie (ASPECF) ont organisé, du 1er au 6 mai, les Journées de la langue française dans le camp des réfugiés sahraouis d’Aousserd, à Tindouf, dans le Sud-Ouest algérien. Au programme de la manifestation, une panoplie d’activités culturelles, éducatives et sportives.
Tezgertirga ou Au-delà des rêves est le titre du premier roman en tamazight de la jeune romancière Tilelli Bellal, paru il y a quelques jours, aux éditions Imtidad.