C’est l’histoire d’une section autoroutière aux surnoms effrayants. On l’appelle «La route de la mort» ou «La pente de la mort».
Vingt cinq familles occupant des bidonvilles et des habitations menaçant ruine au niveau de la cité dite Knatlia de la ville de Sour El Ghozlane au sud de Bouira, ont été relogées jeudi dernier au niveau de la cité Djebsa, a-t-on précisé auprès de la wilaya.
Des fonctionnaires de la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya de Bouira ont organisé ce jeudi un rassemblement de protestation devant le site de la direction, exigeant le départ « pur et simple » de la directrice.
Livrés pour la plupart dans la précipitation, plusieurs sites abritant différents types de logements ne sont pas dotés d’équipements publics. Dans la wilaya de Bouira, les exemples sont légion.
Quand la nature n’est pas détruite par l’avancée du béton et l’activité industrielle, c’est le tourisme de masse qui prend le relais. La situation de crise dans laquelle se trouve le Parc national du Djurdjura (PND), doublement classé comme Parc national en 1983 et inscrit par l’Unesco en 1997 comme étant une réserve mondiale de biosphère, est un parfait exemple des atteintes aux milieux naturels. La pollution a envahi les lieux.
La surexploitation des ressources naturelles, due principalement au surpâturage bovin, ovin et caprin, représente une réelle menace pour les pelouses alpines du parc.
Un accident dramatique. Deux personnes ont trouvé la mort hier, en début d’après-midi, après un affaissement de terrain survenu dans un chantier à la ville de Sour El Ghozlane, à 35 km au sud de Bouira, a déploré la Protection civile.
L’approvisionnement des populations en eau potable est désormais l’une des premières préoccupations des pouvoirs publics.
Neuf individus dont un policier suspectés impliqués dans hold-up d’un bureau de poste ont été arrêtés par la gendarmerie nationale de la wilaya de Bouira.
Dans la commune de Guerrouma, au sud-ouest du chef-lieu de wilaya, les unités de soins des villages Abdenour et Diour traduisent l’insuffisance de la couverture sanitaire.
La gestion de la collecte et du tri des déchets ménagers sont parmi les difficultés que les collectivités locales peinent à surmonter. La situation de la ville de Bouira, dont certains quartiers croulent encore sous les ordures, en est une parfaite illustration.
Les arts martiaux attirent de plus en plus de jeunes dans la wilaya de Bouira. On dénombre environ une soixantaine de clubs affiliés aux différentes fédérations des arts martiaux qui activent à travers tout le territoire de la wilaya.
Le stress hydrique à travers la wilaya de Bouira a affecté sérieusement la culture céréalière. En effet, les principales cultures, notamment le blé, sont frappées de plein fouet par la sécheresse.
Des salles de cinéma sont tombées dans l’oubli dans la wilaya de Bouira. L’état physique de quelques structures appartenant aux biens communaux révèle l’ampleur de la négligence dont elles ont été victimes depuis des années.
Intensifiant les visites et les campagnes de contrôle des commerces de gros, de détail et des grandes surfaces à travers leur secteur, et ce, dans le cadre de la lutte contre la spéculation et la fraude en matière de pratiques commerciales, les services de police de la sûreté de wilaya de Bouira ont contrôlé durant le mois de mars dernier quelque 2363 commerces, a-t-on indiqué dans un communiqué.
Un volume de 4 millions de mètres cubes d’eau du barrage Tilesdit, dans la commune de Bechloul, a été consacré à l’irrigation des deux périmètres d’El Esnam et de M’chedallah, et ce, au titre de la campagne d’irrigation qui sera lancée au début du mois de mai, a-t-on appris de la direction des ressources en eau (DRE). Le volume d’eau réservé annuellement à l’irrigation des surfaces agricoles est revu à la baisse.
Confrontés depuis plusieurs semaines à de nombreuses perturbations dans la distribution de l’eau potable, les habitants de la commune de Sour El Ghozlane au sud du chef-lieu de wilaya de Bouira n’ont pas reçu le précieux liquide depuis une dizaine de jours. L’eau arrive rarement dans les robinets.
Le ministère de l’Industrie et des Mines (DIM) a mobilisé un important budget pour les travaux de réhabilitation et d’aménagement de quelque 250 hectares de la zone industrielle d’une superficie de globale de 780 hectares, située à Lechouaf dans la commune de Dirah, à l’extrême sud de Bouira.
Pour la deuxième semaine consécutive, le théâtre régional Amar Laskri de la wilaya de Bouira a enchanté son public avec une représentation de la pièce intitulée El Haggar, El Makkar et le Nia, produite par la coopérative culturelle de théâtre Port Saïd d’Alger.
Privés d’électricité, et ce, depuis des années, pas moins de 250 foyers, répartis sur 12 localités relevant de 10 communes de la wilaya de Bouira, ont été récemment raccordés au réseau électrique, a-t-on indiqué à la direction de la Société de distribution d’électricité et de gaz du Centre.