Chaque année, les retenues collinaires, et les mares d’eau, réalisées pour la plupart dans l’anarchie la plus totale, emportent des vies humaines.
Le procès opposant des cadres de la société des ciments de Sour El Ghozlane, (SCS-ESG), l’une des importantes filiales du groupe industriel des ciments d’Algérie (GICA), à l’encontre du DG de l’entreprise, est programmé pour aujourd’hui, lundi devant le tribunal pénal de la ville de Sour El Ghozlane, au sud de Bouira, a-t-on appris de source judiciaire.
Le déficit important en pluviométrie enregistré durant ces dernières années et l’apparition des premiers signes du stress hydrique a contraint les autorités centrales du pays de prendre des mesures sous forme de plans d’urgence successifs et ce, pour atténuer l’impact de la crise sur l’alimentation en eau potable des populations.
La petite localité de Goura dans la commune d’El Hachimia, à une vingtaine de kilomètres au sud du chef-lieu de Bouira, a été le théâtre, en fin d’après-midi d’hier, d’un terrible accident.
Le développement du tourisme local nécessite la mise en place d’une stratégie globale permettant d’exploiter les potentialités existantes du secteur et de préserver la nature.
Le nombre d’accidents de la route enregistrés ces derniers temps sur les routes de Bouira témoigne d’une réalité qui interpelle les autorités et les citoyens.
Lancé en 2014, le projet de la pénétrante autoroutière devant relier les deux wilayas de Bouira et Tizi Ouzou a accumulé des retards irréalistes et considérables. Longue de 48 km, cet important investissement qui a mobilisé au trésor public une enveloppe de 55, 96 milliards de dinars, soit près de 500 millions d’euro continue de faire parler de lui.
Les fuites sur les réseaux d’eau potable dans la wilaya de Bouira sont importantes. Des habitants de plusieurs quartiers, notamment ceux situés en milieu urbain, ne cessent de dénoncer ce gaspillage, d’autant plus que le liquide arrive rarement dans les robinets.
Les scandales de gestion des deniers publics se suivent, se ressemblent et se succèdent dans la wilaya de Bouira. En effet, le secteur de la jeunesse et des sports connaît ces derniers temps plusieurs affaires liées à la mauvaise gestion et réalisation des projets. Les exemples sont légion. Le stade Rabah Bitat d’une capacité de 15 000 places, de l’Office des parcs omnisports (OPOW) est dans une piteuse état. Des vidéos et images illustrant l’état lamentable dans lequel se trouve la pelouse sont relayées sur les réseaux sociaux. Des internautes scandalisés appellent les autorités à ouvrir une enquête mais surtout identifier les responsabilités de chacun.
Les accidents de la circulation continuent de provoquer l’hécatombe sur les routes de la wilaya de Bouira. Quatre personnes ont été grièvement dans un terrible accident survenu jeudi au début de soirée sur la RN 18 près de la localité de Saïd Abid, à 7 kilomètres à l’ouest du chef-lieu de wilaya de Bouira, a déploré la Protection civile, soulignant que les victimes ont été évacuées vers l’établissement hospitalier Mohamed Boudiaf.
Rien ne va plus à l’APC de Bouira. L’Assemblée locale traverse une zone de turbulences qui risque de la plonger dans une situation de blocage depuis qu’une majorité des élus a décidé de geler ses activités. Réunis jeudi dernier, 18 élus sur 23 siégeant au sein de l’Assemblée ont décidé de geler leurs activités.
Depuis le début du mois de juin, environ 177 hectares de couvert végétal ont été ravagés par les flammes, et ce, à travers plusieurs localités de la wilaya de Bouira. «La saison dernière, les services des forêts ont fait état d’un bilan assez lourd.
Dans la wilaya de Bouira, des regards sont laissés ouverts sans aucune protection, exposant au danger des passants et les riverains. Le risque d’inondations est souvent accentué par le fait que les cours d’eau charrient des déchets solides et des gravats.
Un drame a été évité de justesse hier en fin d’après-midi au quartier Aïssat Idir au cœur de la ville de Bouira.
Les parents d’élèves sont encore une fois appelés à dépenser plus. Les fournitures scolaires enregistrent à l’occasion de la rentrée scolaire 2022-2023 une hausse inégalée.
Frappées de plein fouet par une baisse exceptionnelle de la pluviométrie, accentuée par l’une des sécheresses les plus sévères enregistrée depuis quelques années, plusieurs wilayas du pays souffrent d’un stress hydrique croissant.
Décidé la semaine dernière dans le cadre d’un plan d’urgence visant à mettre fin aux accidents de la route survenant fréquemment au niveau du tronçon de l’autoroute Est-Ouest, précisément à Djebahia (est de Bouira), et qui a été adopté par une commission englobant les représentants de l’Algérienne des autoroutes (ADA), la Gendarmerie nationale et la Direction des travaux publics (DTP) de la wilaya de Bouira, la circulation des poids lourds est désormais interdite sur une section de l’autoroute Est-Ouest de près de 22 km.
Longtemps otage de bureaucratie et de blocages tous azimuts, la zone industrielle de Sidi Khaled dans la commune d’Oued El Berdi, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bouira, semble, cette fois-ci, sortir la tête de l’eau.
Comme chaque rentrée scolaire, d’énormes difficultés liées notamment à la dégradation des établissements scolaires surgissent dans la wilaya de Bouira.
Au lendemain du drame qui a ôté la vie à un enfant de 7 ans, Alem Gholam, noyé samedi dernier dans la piscine de la ville de M’chedallah, décédé au cours de son évacuation à l’hôpital, le ministère de la jeunesse et des sports (MJS) a décidé des premières sanctions.