Le Conseil de la nation aura un nouveau président. Les élections portant renouvellement par moitié de la composante du Sénat auront lieu aujourd’hui, au niveau des Assemblées populaires de wilaya (APW) à travers tout le territoire national.
«Ceux qui attaquent l’Algérie, aujourd’hui, en France, sont les descendants des colons qui ont mis l’Algérie à feu et à sang. La colonisation marocaine du Sahara occidental est la même que la colonisation française de l’Algérie et elle connaîtra le même sort.»
Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a affirmé, hier, que «les positions souveraines de l'Algérie victorieuse sont une fidélité au serment des martyrs, et que le néocolonialisme n'a pas compris l'étendue de leur héritage historique parmi les différentes couches de la population», a annoncé le Sénat dans un communiqué.
Les sénateurs, selon nos sources, ont reçu des instructions, faute de temps, «de ne pas activer le mécanisme de réserve sur ces articles».
Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a affirmé, jeudi, que «nous avons pris acte» des «réactions des représentants du colonialisme et du néocolonialisme», allusion aux réactions de responsables français à propos d’un couplet de l’hymne national.
Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a assisté à la réunion préliminaire de la commission des affaire juridique. Il veut un règlement intérieur qui «consacre» la position du Sénat dans la pyramide institutionnelle de l’Etat.
Salah Goudjil a été plébiscité jeudi pour un nouveau mandat à la tête du Conseil de la nation, lors d’une séance plénière présidée par le membre le plus âgé, assisté des deux plus jeunes membres du Conseil.
Salah Goudjil a été plébiscité jeudi pour un nouveau mandat à la tête du Conseil de la nation lors d'une séance plénière présidée par le membre le plus âgé, assisté des deux plus jeunes membres du Conseil.
L’installation des nouveaux sénateurs interviendra lors d’une séance plénière prévue pour le 24 février prochain.
L’honorable Salah Goudjil, président du Sénat qui a lancé une enquête sur la pénurie d’huile, vient de livrer ses conclusions, le problème est mondial, l’Algérie n’est pas coupable, ni son ministère du Commerce ou ses réseaux de distribution, ni encore sa bureaucratie ou son système de facturation.