Selon Osmane Dione, vice-président de la Banque mondiale pour la région MENA, la banque est «prête à renforcer le partenariat avec l’Algérie». Objectif : parvenir à des résultats concrets, à même d’«accélérer la dynamique positive dans laquelle l’Algérie s’est engagée».
Au cours de l’année dernière, les exportations algériennes de GNL avaient repris une courbe ascendante durant le deuxième trimestre 2023 atteignant 3,40 millions de tonnes exportées.
Avec la participation de 290 exposants issus de 22 pays, la 8e édition du Salon de la plasturgie, de l’impression et de l’emballage Plast & Printpack Alger 2024 s’est ouvert, hier, au Palais des expositions de la société algérienne des foires et expositions (Safex).
Les transferts de fonds des diasporas vers leurs pays d’origine ont augmenté en 2023 de 3,8%, indique la dernière note d’information de la Banque mondiale (BM) sur les migrations et le développement.
Ces trois dernières années, en particulier depuis février 2022, les pays MENA ont enregistré des taux d’inflation élevés qui sont dus en partie aux dépréciations monétaires et à l’inhabituelle turbulence des termes de l’échange», selon une étude «Trouver le juste équilibre : emploi et salaires en temps de crise dans la région MENA» du bulletin d’information du groupe de la Banque mondiale paru en octobre 2023.
Selon la Banque mondiale, la pauvreté et la vulnérabilité tiennent fondamentalement à l’exclusion du marché du travail dans la région MENA. Elle propose une «série de mesures pouvant être prises par les autorités publiques» pour accroître l’efficacité des systèmes de protection sociale et les rendre plus inclusifs.
Les manifestations de l’informel ne résultent pas forcément d’une croissance insuffisante, elles dépendent des institutions, des normes, de la culture et du niveau de développement économique d’une société.
Les représentants des OSC de plusieurs pays ainsi que des experts venus du Bangladesh, du Népal et des Pays-Bas ont échangé leurs expériences.
Selon les projections de la Banque mondiale, «d’ici à 2030, les ressources en eau disponibles par an et par habitant dans la région MENA tomberont sous le seuil de pénurie absolue de 500 mètres cubes par personne et par an».
Les conséquences économiques de la guerre en Ukraine vont impacter différemment les pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), selon la Banque mondiale, dans le sillage des chocs liés à la hausse des prix des produits alimentaires, l’augmentation de ceux du pétrole et du gaz, et le risque qui pourrait affecter les flux de capitaux privés vers les marchés émergents, les transferts de fonds et le tourisme.