Les Constantinois ont été surpris, hier matin, par la fermeture de tous les marchés couverts de la ville, suite à une grève générale décidée, la veille, par les commerçants pour trois jours.
Les huissiers de justice, en grève illimitée depuis le 6 février contre le nouveau régime fiscal imposé à leur profession par le ministère des Finances, ont repris, hier, leurs activités, après avoir reçu des «garanties suffisantes» de la part du ministère de tutelle, a annoncé la Chambre nationale des huissiers de justice dans un communiqué.
Les grévistes soulèvent le manque des moindres outils nécessaires pour leur formation, dont les consommables, mais aussi les fauteuils dentaires et la dégradation du peu qui existe, ainsi que le non-fonctionnement du simulateur dentaire.
Le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (Snapo) a annoncé, dans un communiqué rendu public hier après-midi, une grève nationale d’une journée renouvelable, prévue le 28 février courant.
Après deux semaines de débrayage, les boulangers de la wilaya de Tizi Ouzou décident de surseoir à leur grève. Ils ont annoncé la reprise du travail à partir d’aujourd’hui. Les protestataires ont expliqué que le prix du pain ordinaire est maintenu à 10 DA, mais sa vente se fera uniquement au niveau des boulangeries.
A l’appel à la grève silencieuse des opposants au régime de la junte birmane, les rues de plusieurs villes de Birmanie sont restées vides hier, et les habitants, retranchés dans leur domicile, rapporte l’AFP.
L’appel à la grève lancée par l’Union générale des commerçants et artisans (UGCA) a été largement suivi, hier, par les boulangers dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Suite à la fermeture des établissements scolaires due à la propagation inquiétante de la Covid-19, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) annonce le gel de son mouvement de protestation.
Après plusieurs mouvements de protestation organisés ces dernières semaines, le Syndicat autonome des fonctionnaires des impôts (SAFI) a décidé de passer à la vitesse supérieure en décrétant une grève de trois jours renouvelable, soit les 18, 19 et 20 de chaque mois.
Les fonctionnaires des impôts reprennent la protestation, après un premier débrayage observé début janvier. Ces fonctionnaires, rattachés au ministère des Finances, observent, à partir d’hier, une grève nationale de trois jours, à l’appel du Syndicat autonome des fonctionnaires des impôts (SAFI).
Après les travailleurs, c’est au tour des élèves de lancer des actions de protestation. C’est ce qui s’est passé au Lycée d’enseignement des mathématiques de Kouba (Alger), l’unique en Algérie, où les élèves ont boycotté les cours et les repas pour protester contre les mauvaises conditions d’hébergement et de scolarité.
Le ministère de tutelle est en train de mener des contacts avec toutes les parties concernées pour trouver un compromis et reprendre l’activité en suspens.
Après une grève qui aura duré une quinzaine de jours à l’échelle nationale, les greffiers exerçant au niveau des tribunaux et des cours de justice ont repris leurs activités hier, a-t-on appris auprès de sources judiciaires.
L’Union nationale des Ordres des avocats (UNOA) avait précédemment décidé, en fin de semaine dernière, d’engager une grève illimitée lors de l’assemblée générale extraordinaire tenue le 8 janvier à Constantine.
Les robes noires passent à l’acte et optent pour une grève illimitée à partir de demain en riposte au nouveau système d’imposition contenu dans la loi de finances 2022 entrée en vigueur au début de l’année.
Les habitants de Relizane ont été surpris, lundi dernier, de voir que la plupart des boulangeries de leur wilaya étaient fermées pour cause de grève. Les boulangers grévistes justifient ce débrayage arguant qu’ils ne peuvent pas continuer de travailler «à perte».
Après plus d’un mois d’interruption, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) annonce la reconduction de son mouvement de grève hebdomadaire.
Inadéquation de la formation, absence de débouchés professionnels et inquiétudes pour l’avenir… Les étudiants des différents instituts de technologie à travers le pays lancent un véritable SOS.
Les greffiers exerçant au niveau des tribunaux et la Cour de Bouira ont entamé ce dimanche 2 janvier un mouvement de grève illimité, et ce, pour protester contre la dégradation de leurs conditions socioprofessionnelles, a-t-on appris sur place.