Le Front des forces socialistes (FFS) a rendu hier hommage aux victimes des massacres du 8 Mai 1945 commis par la France coloniale contre des manifestants algériens réclamant le droit à l’indépendance. Le plus vieux parti de l’opposition continuera d’exiger que justice soit faite, a affirmé son secrétariat national dans un communiqué sanctionnant sa réunion tenue les 5 et 6 mai courant.
A la veille du 1er mai, Journée internationale du travailleurs, le Front des forces socialistes (FFS) a organisé, au siège du parti, une conférence-débat consacrée à «la situation sociale et pouvoir d’achat, ainsi que les droits des travailleurs et libertés syndicales».
«L’objectif de la participation du FFS est de gagner des espaces dans les Assemblées populaires communales concernées et profiter de ce rendez-vous pour promouvoir son projet politique et plaider en faveur de sa vision de la gestion locale basée sur la démocratie participative et la solidarité locale», lit-on dans un communiqué.
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à l’ouverture d’un «dialogue inclusif» en vue d’engager un «véritable processus politique et démocratique de changement».
Youcef Aouchiche, premier secrétaire national du FFS, a saisi l’occasion de sa présence à la rencontre fédérale du parti pour l’installation de la commission administrative de la fédération de Béjaïa (CAF), pour répondre aux reproches de certaines voix discordantes, sans les nommer.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le premier secrétaire du FFS, Youcef Aouchiche, revient sur la dernière rencontre avec le président Tebboune. «Pour nous, le dialogue n’est pas une option de circonstance, mais une constante politique du parti qui, pour nous, est la seule démarche en mesure d’apporter des solutions concrètes et consensuelles à la crise structurelle et multidimensionnelle qui touche notre pays. Ce dialogue est devenu impératif pour faire face aux défis actuels et futurs, internes et externes et préserver la stabilité, l’unité et la souveraineté nationales», résume-t-il. Et d’insister : «Le FFS a toujours considéré que la libération des détenus d’opinion, et au-delà la fin de la judiciarisation de la vie publique, l’ouverture des champs politique et médiatique étaient indispensables pour créer un climat favorable à un dialogue inclusif.»
Le FFS a toujours fait du dialogue constructif son principe fondamental. Ce sont les pouvoirs publics qui refusent le dialogue et c’est dans cette perspective que nous avons répondu favorablement à l’invitation du président de la République», a assuré d’emblée Youcef Aouchiche, premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), lors d’une conférence de presse animée hier au siège national du parti à Alger.
Le Front des forces socialistes (FFS) s’est élevé, dans un communiqué publié à l’occasion du double anniversaire du Printemps amazigh et du Printemps noir, contre ce qu’il considère comme une «fermeture sans précédent du champ des libertés individuelles et collectives» ainsi que des tentatives qui viseraient à «attiser la discorde», pointant du doigt des «manœuvres sournoises pour semer la haine et la division dans les rangs d'un même peuple».
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à une «plus grande vigilance» dans ce contexte particulier que traverse le pays, marqué par des «manœuvres sournoises» visant à semer la haine et la division entre les enfants du peuple.
Le Front des forces socialistes (FFS) tiendra son prochain congrès ordinaire, le sixième de rang, les 29, 30 septembre et 1er octobre 2022. C’est ce qu’a annoncé jeudi, conformément à ses prérogatives statutaires et réglementaires, l’instance présidentielle du parti (IP). Celle-ci a instruit, dans ce sens, le premier secrétaire national et l’ensemble des instances nationales et locales à «redoubler d’efforts» afin de réunir toutes les conditions pour la réussite de ces assises, qui interviennent dans un contexte particulier que ce soit à l’échelle politique ou au sein du plus vieux parti de l’opposition.
A l’instar de l’ancien P/APW de Béjaïa, le premier secrétaire national du FFS a laissé entrevoir à travers ses propos un malaise couvant au sein du parti.
Le siège de sénateur est revenu au candidat du FFS Mehenni Haddadou, désormais ex-P/APW de Béjaïa, à l’issue des élections sénatoriales organisées avant-hier, à la salle des congrès, sise au siège de la wilaya. Le nouveau membre du Sénat a obtenu 495 voix sur les 701 bulletins exprimés, sur un total de 775 inscrits.
Avocate depuis cinq ans, la jeune Nouhad Lazizi s’est résolue à mettre les pieds dans l’arène politique pour occuper le poste de la première magistrate de la commune de Sidi Brahim, sous la bannière du Front des forces socialistes (FFS).