Le président Tebboune a réaffirmé, samedi, son engagement à ouvrir un dialogue national fin 2025 ou début 2026, souhaitant que ce dialogue profite au pays.
l Le président du comité préparatoire, Maher Allouche, a affirmé qu’il y avait un «quasi-consensus parmi les Syriens sur six axes : la justice transitionnelle, la construction constitutionnelle, la réforme institutionnelle, les libertés publiques et la vie politique, les principes économiques généraux et le rôle des organisations de la société civile dans la reconstruction de l’Etat».
Le président Abdelmadjid Tebboune entame une série de consultations politiques avec les principales formations du pays. Hier, il a reçu Abdelaali Hassani Cherif, président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), accompagné d’une délégation.
Dans une interview accordée à la chaîne Al Arabiya, Ahmad Al Sharaa a indiqué qu’il faudrait quatre ans pour organiser des élections crédibles en Syrie. En attendant, une Conférence de dialogue national inclusive devrait se tenir dans les prochains jours pour s’entendre sur la conduite de la période de transition.
La Centrale syndicale a mis en avant les acquis socioprofessionnels réalisés dans les secteurs sensibles de la société, en attendant les résultats de la dernière rencontre gouvernement-walis et du discours du président de la République adressé à la nation.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, répondra-t-il favorablement à l’appel des partis politiques qui demandent la tenue «dans les plus brefs délais» d’un dialogue national sans exclusif, et ce, dans le but de garantir «la cohésion de la nation et la pérennité de l’Etat».
Le patron du RND qui animait, hier, un meeting populaire dans la ville d’El Tarf, a justifié sa proposition d’anticiper l’organisation du dialogue national par, entre autres, les changements qui prévalent à l’échelle régionale et internationale et qui exigent, selon lui, une concertation rapide entre l’ensemble des acteurs.