On constate au cours du temps une divergence progressive entre les trajectoires des économies en développement. Quelques pays, principalement en Afrique et en Asie du Sud, les Pays les moins avancés (PMA), éprouvent toujours de grandes difficultés à assurer des conditions d’existence décentes à leur population.
Grâce à ses vastes ressources ovines, l’Algérie possède un potentiel considérable pour devenir un acteur clé dans l’industrie mondiale du cuir. De grandes quantités de peaux de mouton sont générées à longueur d’année avec une production exceptionnelle le jour de l’Aïd. Malheureusement, une partie infime de ces flux générés aboutit dans des installations de valorisation entraînant une déperdition d’une matière première à grande valeur ajoutée pour l’économie nationale.
En 1871, Cheikh El Haddad appelle à l’insurrection lors d’un rassemblement à Seddouk (Petite Kabylie à l’époque) et proclame la guerre sainte (le djihad) contre l’envahisseur français.
Il faut rappeler d’emblée que le captage et le stockage du dioxyde de carbone (CO2) avec une vision perspective de le valoriser par une utilisation pour la stimulation de la production du pétrole, dans le cadre de l’Enhanced Oïl Recovery (EOR), était une exigence du management de Sonatrach en 2001, bien avant l’arrivée de la norvégienne Statoïl à In Salah.
La filière des céréales en Algérie peine à se développer, sa production est en-deçà des besoins du marché local. Cette situation rend inéluctable le recours à l’importation de grandes quantités, notamment le blé tendre. Ce qui pèse lourdement sur le Trésor public. Malgré les mesures incitatives décrétées ces dernières année, les choses ne bougent pas dans le bon sens, une refonte totale de la stratégie suivie jusqu’à présent est indispensable.
Des finances publiques viables sont une priorité stratégique pour appuyer le retour de l’Algérie à une croissance forte et saine et surtout la faire évoluer en direction d’une nouvelle économie émergente. Présentement, cette viabilité est affaiblie par : (1) des inefficiences structurelles en matière de gestion budgétaire ; (2) l’absence de règles budgétaires pour faire face à la volatilité du marché pétrolier ; et (3) des défis systémiques tels que la pression démographique, le changement climatique et la transition énergétique.
L’application du taux réduit d’IBS de 10% aux sociétés de production est fort intéressant. Néanmoins, le législateur est appelé à faire plus d›efforts pour étendre cet avantage fiscal aux autres secteurs d’activité.
Le 8 mai dernier, la jeunesse de la diaspora algérienne s’est donné rendez-vous sur les quais du canal de l’Ourq. Une file d’attente d’une centaine de mètres est venue se presser autour du Cabaret Sauvage pour assister à la première parisienne du groupe de raï émergent El Besta.
Suite à ma contribution par mon premier article intitulé : «Le triomphe de la culture de pomme de terre dans l’oasis d’Ouled Aïssa wilaya de Timimoun», il est important de rappeler l’importance de l’agriculture de terroir, un milieu original par ses composantes géo-pédologiques ou par ses composantes climatiques, ou le plus souvent les deux.
L’œuvre de Fernand Pouillon, avec les thèmes traités et la posture professionnelle de l’architecte, résonne haut et fort dans l’espace algérien. Elle est encore aujourd’hui susceptible de nourrir les réflexions d’une profession en perte d’identité, troublée et agitée plus que jamais dans ses conditions d’exercice, dans son rôle et dans son positionnement social, culturel et environnemental.
Récemment, les hautes autorités du pays ont décidé d’évaluer les curriculums des formations universitaires afin de les adapter aux réalités et contextes de l’enseignement supérieur algérien, espérant que, cette fois-ci, la consultation et la collaboration des experts en pédagogie universitaire et des sciences de la santé ainsi que l’implication des communautés universitaires seront sérieusement prises en considération.
La solution technique retenue par l’Algérie pour le traitement des déchets ménagers dès 1992 est l’enfouissement. Actuellement, 125 centres sont réalisés et utilisés pour enterrer les déchets ménagers et assimilés.
C’est la fin du temps et la pourriture politique pollue notre monde ! Plus de morale ! Plus d’éducation ! Les sauvages inhumains veulent arriver à un prétendu nouvel ordre mondial sous les bombes et les missiles.
Le 17 avril 2024, 01h Gmt, le Brent a été coté à 90,07 dollars (84,82 euros) et le Wit 85,28 dollars (80,30 euros) malgré l’attaque de l’Iran contre Israël, le marché tablant sur une désescalade plus probable qu’un embrasement de la région surtout après la décision américaine, principal allié d’Israël, et les recommandations de la communauté internationale d’éviter toute escalade qui risque de plonger l’économie mondiale vers une turbulence généralisée. Comme les tensions en Iran et Israël ne doivent pas faire oublier, pour la stabilité de la région, l’urgence d’un Etat palestinien.
L’histoire footballistique garde en mémoire des souvenirs amères et de multiples actes de violence, d’incivilité et de dégradation de biens publics dans et à l’extérieur de nos stades.
La relance du Barrage vert ne peut se faire sans un bilan écologique et politique et une rétrospective sur les modalités de son lancement. Ce projet a vu le jour en 1970 sous l’injonction du président Boumédiène, et son lancement n’a été effectif qu’en 1973. Ce projet, sous les directives politiques, a été confié au Haut Commissariat au service national qui a opté pour l’installation de gàroupement de travaux forestiers sur l’espace délimité pour cette bande verte.
Un changement d’année de référence et de rebasage des comptes économiques nationaux d’un pays est une étape incontournable pour mettre à jour et disposer de données macroéconomiques fiables, exhaustives et cohérentes.
Au 3e jour de l’Aid El Fitr, le 12 avril 2024, Le Pr Mohammed Toumi a été rappelé à Dieu. Il est né le 26 avril 1926 à Ménerville (actuelle Thénia). Son père était fonctionnaire au service des impôts, il était inspecteur de l’enregistrement et des domaines à Ménerville.
Pour comprendre le contexte historique et les difficultés qu’éprouve la Russie dans la guerre en Ukraine, il faut remonter aux archives de la Seconde Guerre mondiale qui montrent l’implication des grands de la finance et de l’industrie, essentiellement anglo-américains, pour faire jouer à certains Etats ou idéologies le rôle de l’idiot utile ou de l’ennemi utile aux fins de servir leurs intérêts.
Les prix du pétrole étaient cotés le 6 avril 2024 à 15h GMI à 90,86 dollars (83,83 euros ) le Brent, et à 86,73 (80,02 euros) le Wit demeuraient particulièrement élevés, alors que les investisseurs restaient fébriles face à la remontée des tensions géopolitiques et le prix du gaz au 04/04/2024 est à 30 152 euros le /MWh.