Dans un communiqué rendu public le week-end dernier, la direction nationale du FLN explique le report de la tenue du 11e congrès par les événements dramatiques de Ghaza.
Ouvert le 15 octobre dernier, devant la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès en appel des auteurs présumés de l’assassinat de Djamel Bensmaïn, le 11 août 2021, à Larbaâ Nath Iraten, à Tizi Ouzou, s’est poursuivi, samedi dernier, avec la reprise des plaidoiries de la défense, jusqu’à hier à 2 heures du matin, alors que la veille, toute la journée et ce jusqu’en début de soirée, les avocats plaidaient toujours.
L’Etablissement hospitalier universitaire (EHU) 1er Novembre 1954 a, récemment, lancé l’immunothérapie pour le traitement de certains cancers, a indiqué, hier, le Directeur général de cet établissement, Rabah Bar.
Une personne est morte et 4 autres ont été blessées dans un accident de la circulation survenu, hier, dans la commune de Merdja Sidi Abed (60 km à l'Est de Relizane), a-t-on appris auprès des services de wilaya de la Protection civile.
Un rassemblement de solidarité avec les martyrs de Ghaza et les journalistes palestiniens confrontés à l’agression sioniste barbare a été organisé, hier, à la maison de la presse Tahar Djaout à Alger.
Les éditeurs de médias algériens ont condamné dans un communiqué «les bombardements massifs et barbares de l’entité sioniste et le massacre de la population sans défense de Ghaza». Ils dénoncent aussi «les couvertures biaisée de la guerre contre Ghaza des médias occidentaux et une médiatisation dominée par le stéréotype qui déforme la vérité. C’est devenu une machine de propagande».
«Nous, soussignés, éditeurs de médias algériens, tout en condamnant les bombardements massifs et barbares de l’entité sioniste et le massacre de la population sans défense de Ghaza , nous condamnons l’effondrement professionnel et moral des médias occidentaux dans leur couverture biaisée de la guerre contre Ghaza et la consécration de stéréotypes déformateurs de la vérité.
Sur instruction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, l’Algérie a décidé l’envoi d’urgence d’importantes quantités d’aides humanitaires à la bande de Ghaza via le terminal de Rafah, à travers un pont aérien composé de plusieurs avions relevant des forces aériennes de l’Armée nationale populaire (ANP), a indiqué, hier, un communiqué de la présidence de la République.
Le secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), Belkacem Sahli, a exprimé hier à Ain Fakroun (Oum El Bouaghi) la ferme condamnation de son parti des crimes sionistes répétés subis par le peuple palestinien à Ghaza et qui, a-t-il dit, relèvent du «génocide».
L’aide acheminée vers la bande de Ghaza est insuffisante pour l’ONU, qui veut 100 camions par jour pour les 2,4 millions de Ghazaouis privés de tout.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a présidé, hier, une réunion du gouvernement au cours de laquelle plusieurs secteurs ont été examinés, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.
Plusieurs assemblées communales bloquées faute de consensus entre leurs membres ou gelées par les walis. L’organisation d’élections partielles serait-elle la solution pour relancer la machine du développement ?
A cause de la multiplication des punaises de lit, le nouveau wali de Annaba, Abdelkader Djellaoui, a signé, la semaine dernière, un arrêté de fermeture administrative d’un hôtel au bord de la corniche de Annaba. Le gérant en a été notifié et l’établissement a été fermé, après avoir été évacué.
Comme il fallait s’y attendre, l’élan de solidarité des Algériens avec leurs frères palestiniens victimes d’une guerre d’extermination menée contre les populations de Ghaza n’a pas tardé à se manifester. Le mot d’ordre de la mobilisation a reçu un écho favorable, jeudi dernier, dans toute la région Est du pays
Le président Tebboune a décliné l’invitation de son homologue égyptien de se rendre au Caire pour participer au sommet sur la situation en Palestine. Des «désaccords profonds» sur les moyens de règlement de la crise expliquent la décision de la présidence algérienne.
Jeudi dernier, plusieurs centaines d’Oranais ont marché dans les rues d’Oran en soutien à la population de Ghaza en proie, depuis plusieurs jours, aux massacres et aux bombardements de l’armée israélienne. C’est à partir de 10h que la foule a commencé à se rassembler à la place du 1er Novembre 1954, en investissant d’abord les marches de l’hôtel de ville et en arborant un immense drapeau palestinien.
L’Algérie a renoué, jeudi dernier, avec l’atmosphère du hirak du 22 février 2019. Des milliers d’Algériens, privés de manifestations publiques depuis plus deux ans, ont battu le pavé à Alger et dans la majorité des grandes villes du pays. Cette fois-ci, ils se sont mobilisés pour une autre cause qui leur est chère : la question palestinienne.
Le martyre des habitants de la bande de Ghaza, soumise à des bombardements israéliens intenses, se poursuit alors que l’aide humanitaire tant attendue par les Ghazaouis devrait être acheminée à partir d’aujourd’hui, selon l’ONU. Le ministère de la Santé de Ghaza a fait état, hier, de 4 137 martyrs, majoritairement des civils, et 13 162 blessées, au quinzième jour de l’agression israélienne.
Des milliers de citoyens de tous âges et des deux sexes ont répondu avant-hier à Boumerdès à l’appel à la marche pour dénoncer le massacre des populations civiles à Ghaza.
Le Front des forces socialistes (FFS) dénonce ce qu’il qualifie «de crimes contre l’humanité» commis en toute impunité à Ghaza par l’occupant sioniste.