Le contrôle effectué par la Cour des comptes a révélé qu’«à l’origine, l’effort requis des communes répond plus à un souci de réduction de la charge financière d’électricité supportée qu’à des considérations écologiques».
Un nouveau plan ambitieux décliné par des experts nationaux. Il s’agit de promouvoir une collaboration intersectorielle et développer des solutions adaptées aux réalités algériennes et africaines mais aussi fabriquer des équipements performants, compétitifs et adaptés aux spécificités régionales.
Le débat s’est articulé sur l’exploitation utile, rationnelle et rentable des potentialités naturelles énergétiques que recèle l’Algérie, afin d’épargner les générations futures des crises énergétiques.
Des finances publiques viables sont une priorité stratégique pour appuyer le retour de l’Algérie à une croissance forte et saine et surtout la faire évoluer en direction d’une nouvelle économie émergente. Présentement, cette viabilité est affaiblie par : (1) des inefficiences structurelles en matière de gestion budgétaire ; (2) l’absence de règles budgétaires pour faire face à la volatilité du marché pétrolier ; et (3) des défis systémiques tels que la pression démographique, le changement climatique et la transition énergétique.
Le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER) a récemment exposé ses produits innovants lors du Salon international de la transition énergétique Key, The Energy Transition Expo en Italie, qui s’est tenu du 28 février au 1er mars, a indiqué le centre dans un communiqué.
Les enjeux sont importants face à des défis énormes.
L’appui au programme transition énergétique en Algérie, notamment l’énergie éolienne et l’autoproduction d’électricité à partir de sources d’énergie solaire, a été au menu de la visite à Alger, d’une délégation de la Banque mondiale (BM), du 22 au 24 janvier courant.
L’année 2024 ne sera pas celle de la transition énergétique, c’est en tout cas ce que dit une analyse de Standard&Poor’s. Cette dernière souligne que même si «le changement climatique reste reconnu comme un risque mondial majeur, toute accélération de la décarbonation pourrait se heurter à des défis- liés à des coûts plus élevés, des perturbations géopolitiques et des réactions négatives en matière de politique environnementale - qui détourneraient les priorités d’atténuation du changement climatique».
Emirates est la première compagnie aérienne au monde à effectuer un vol de démonstration d’un A380 utilisant 100% de carburant d’aviation durable (SAF).
Alors que la transition énergétique s’accélère, la voie à suivre est pleine d’incertitudes dans tous les domaines, des tendances technologiques aux risques géopolitiques et au comportement des consommateurs, indique un nouveau rapport du cabinet de conseil américain McKinsey, pour qui l’élaboration de stratégies d’investissement résilientes qui fonctionnent dans de multiples scénarios sont de plus en plus difficiles à élaborer.
Le Centre des conventions de la ville d’Oran accueillera, du 13 au 15 novembre, la 11e édition du North Africa Energy & Hydrogen Exhibition and Conference (Napec).
Un total de 33 étudiants de l'Université Kasdi Merbah de Ouargla (UKMO) ont récemment reçu leurs certificats de formation en transition énergétique dans le cadre d'un accord de collaboration conclu en avril dernier entre l'université et TotalEnergies-Algérie, selon des informations fournies par l'établissement d'enseignement supérieur. S'exprimant à cette occasion, le recteur de l'UKMO, le Professeur Mohamed Tahar Hallilet, a souligné que cette initiative, visant à fournir une formation scientifique aux étudiants, découle d'un partenariat portant sur la formation académique en matière de transition énergétique.
Le plan d’adaptation aux changements climatiques qui prend forme aujourd’hui est le résultat de plusieurs rounds de travail effectués en amont.
Le ministre qatari de l’Energie soutient que « les hydrocarbures ne vont pas disparaître dans un avenir proche, et nous devons gérer leur extraction et leur utilisation de manière responsable».
Près de 7000 véhicules ont été convertis au gaz de pétrole liquéfié carburant (GPLc) durant les deux premiers mois de l’année en cours, a appris l’APS auprès de l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (Aprue).