Le moudjahid et doyen des diplomates algériens, Noureddine Djoudi, actuellement président de l’Association internationale des Amis de la Révolution algérienne (AIARA), a pris part, par visioconférence, à partir d’Alger, à une rencontre historique avec les Amis néerlandais de la Révolution, organisée par l’ambassade d’Algérie à La Haye.
«Les valeurs humanistes de la glorieuse Révolution ont aidé les opprimés à se frayer un chemin vers la liberté et la dignité, faisant de l’Algérie la Mecque des révolutionnaires et la terre des hommes libres», a souligné le ministre des Moudjahidine.
Le Forum France-Algérie a choisi de rendre hommage à Paris à trois figures du combat anticolonialiste et de l’action sociale Nils Andersson, Alice Cherki, et Nelly Forget, ainsi qu’à l’Association des Anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre (4ACG), dont les membres anciens appelés reversent leur retraite de combattant pour financer des opérations de développement en Algérie et dans les pays qui souffrent de la guerre.
Des historiens, des chercheurs, des enseignants et des moudjahidine ont débattu, durant deux jours, de la problématique de l’écriture de l’histoire nationale. «Nous avons battu la quatrième puissance mondiale.
Le contentieux historique entre l’Algérie et la France est, rappelons-le, très lourd. En plus de la torture, les essais nucléaires dans le Sahara et les enfumades figurent aussi dans la longue liste des crimes coloniaux.
Les victimes de l’OAS sont nombreuses. Leur mémoire reste vivace chez leurs familles. Il y aurait eu quelque 3000 victimes de cette sinistre organisation. Saïd Chellouche, employé algérois originaire de Boumahni (Tizi Ouzou) fut l’un d’eux.
L’écrivain Mustapha Hadj Ali, un passionné par les thèmes historiques, a animé samedi dernier une conférence-débat à la bibliothèque communale de la commune d’Ath Laâziz, au nord de la wilaya de Bouira autour de son roman L’Evadé de Cayenne, une œuvre consacrée à un bagnard algérien.
Il y a sept ans, le 7 janvier 2016, nous quittait le regretté moudjahid Brahim Chergui à l'âge de 94 ans, après une vie pleine et le sentiment du devoir accompli.
Le Professeur Michel Martini, un des pères de la chirurgie orthopédique en Algérie, est décédé jeudi dernier à l’âge de 98 ans, à Paris, selon ses proches.
Les événements connus dans l’histoire contemporaine sous le nom des «manifestations du 11 décembre 1960» sont en fait un faisceau de faits historiques extrêmement importants, dont la lecture demeure, jusqu’à aujourd’hui, ouverte.
La mémoire du colonel de l’ALN, Akli Mohand Oulhadj, ancien chef de la Wilaya III historique, a été honorée, hier, dans sa commune natale, Bouzeguene, wilaya de Tizi Ouzou.
Une semaine après la tenue d’une réunion de travail sur la période coloniale et de la Guerre d’indépendance, la commission mixte d’historiens algériens et français a annoncé, hier, avoir convenu d’une série de points liés essentiellement à la récupération des archives, des biens pillés et des ossements des héros de la Résistance populaire.
L’histoire de la Révolution algérienne retiendra l’apport et le soutien indéfectible manifesté par des Français qui se sont engagés corps et âme pour défendre la cause algérienne au péril de leur vie. Ils étaient d’un humanisme exemplaire.
La commission mixte d’historiens algériens et français sur la période coloniale et de la Guerre d’indépendance, qui a tenu, mercredi dernier à Constantine, sa première réunion de travail, s’est accordée sur plusieurs points, dont la restitution de deux millions de documents «numérisés» à l’Algérie, a rapporté le site électronique Tout sur l’Algérie (TSA), citant une source proche du dossier.
La commission mixte d’historiens algériens et français, chargée de travailler sur la colonisation française de l’Algérie (1830-1962), tiendra sa première réunion aujourd’hui et demain à Constantine. C’est ce que nous avons appris d’une source proche du dossier.
Une lettre de l’épouse d’un officier, une autre d’une mère reprochant à son fils de ne pas lui écrire plus souvent... ces courriers avaient été saisis par la Royal Navy durant la guerre qui a notamment opposé Britanniques et Français entre 1756 et 1763 autour de leurs possessions coloniales. «Je passerais fort bien la nuit à t’écrire (...), ta fidèle femme pour la vie. Bonsoir mon cher ami. Il est minuit. Je pense qu’il est temps de me reposer», écrit par exemple en 1758 Marie Dubosc à son époux Louis Chambrelan, premier-lieutenant de la frégate française Galatée, capturée par les Britanniques. Louis n’a jamais reçu la lettre de son épouse, qui meurt l’année suivante, probablement avant qu’il ne soit libéré.
Comme chaque année, les habitants de Raffour, une localité relevant de la commune de M’Chedallah, à l’est de Bouira, commémorent les tragiques événements du 4 Novembre 1957, survenus dans leur village d’origine Taddart Lejdid, sur les hauteurs du Djurdjura. Il y a 66 ans, en guise de représailles, l’armée coloniale française avait réduit le village en cendres et déporté ses habitants.
L’historien Amar Mohand Amer est revenu, lors d’un débat organisé à la salle Tassili, au Palais des expositions des Pins maritimes et modéré par Hassan Arab, sur l’écriture de l’Histoire du mouvement national.
L’historien Amar Mohand-Amer vient de publier aux éditions Frantz Fanon, à Boumerdès, «La crise du FLN de l’été 1962, indépendance nationale et enjeux de pouvoirs(s)». Un ouvrage préfacé et postfacé par les historiens Omar Carlier et Mohammed Harbi.
La glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954 contre une colonisation de peuplement des plus abjectes a incarné le nationalisme du peuple algérien et consacré l’unité et la cohésion de la nation, ont affirmé des professeurs universitaires.