Au cœur de la bibliothèque Khalidi à Jérusalem-Est, Rami Salameh s'attelle avec minutie à la restauration de précieux documents historiques palestiniens, offrant un rare aperçu de l'histoire de la ville.
De la vie, Christiane aura beaucoup connu le spectacle affreux des inégalités et des injustices, l’oppression criante, l’engagement et le combat pour une cause juste, celle de l’Algérie en guerre.
Pour recentrer le débat, il nous faut souligner et rappeler que nous avons failli principalement pour ne pas avoir œuvré à créer un centre d’intérêt autour des événements réels qui ont parsemé le cours de la glorieuse Révolution de Novembre, ce qui signifie :
Nous venons de célébrer la journée du 05 Juillet 1962, fête de la Libération, qui consacre un épisode majeur de la glorieuse Révolution de novembre 54, représenté par la victoire finale du FLN et le recouvrement de l’indépendance et de la souveraineté nationale.
L'interpellation musclée à Paris du frère d'un jeune homme noir, dont la mort en 2016 a été érigée en symbole des violences policières en France, a provoqué l'indignation hier et des appels à manifester dans un pays encore marqué par une récente vague d'émeutes urbaines.
C’était un samedi, selon des documents historiques rapportant les événements du 27 juin 1857, remis à l’APS par des descendants des villageois ayant pris part à cette glorieuse bataille. Les habitants des villages Mzeguene et Ath Laaziz, qui ont été informés de l’avancée des troupes françaises, à partir d’Akbou (Béjaïa), décidèrent d’empêcher cette «expédition».
Les réactions des hommes politiques français à propos d’un couplet de l’hymne national, Qassaman, ne s’arrêtent pas. Mardi 20 juin, la députée Michèle Tabarot du parti Les Républicains a soulevé la question liée au couplet au cours d’une séance de questions au gouvernement, à l’Assemblée nationale.
Les participants à une conférence sur les massacres du 8 Mai 1945, organisée par l'Académie algérienne de citoyenneté à Tizi Ouzou, ont insisté sur la nécessité de récupérer les archives algériennes conservées par la France et d'écrire l'histoire de l'Algérie par des plumes algériennes.
Le Dictionnaire de la Guerre d’Algérie, publié récemment aux éditions Bouquins (Paris), est un formidable outil au service des chercheurs et de tous ceux qui veulent comprendre les enjeux de la colonisation et de la lutte de Libération nationale algérienne. Il aborde de manière synthétique tous les aspects d’une guerre qui continue d’alimenter le champ éditorial et universitaire dans le monde et particulièrement en France. Un travail savant dans lequel plusieurs intervenants ont rédigé de courtes fiches claires et didactiques sur leurs thèmes de prédilection. Sylvie Thénault, Ouanassa Siari Tengour et Tramor Quemeneur ont encadré ce travail de longue haleine. Ils répondent en commun à nos questions pour mieux comprendre leurs objectifs.
Mohammed Harbi a publié dans Le Monde Diplomatique une contribution sur les événements du 8 Mai 1945 sous le titre : «La guerre d’Algérie a commencé à Sétif».
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a déclaré, dimanche soir à Sétif, que la «commémoration du 8 Mai 1945 et de toutes nos journées historiques vise avant tout à exprimer notre fidélité à la mémoire des chouhada»
L’historien Abderrahmane Khelifa a estimé, lors d’une communication autour du thème «L’histoire de la Kalâa des Béni Hammad», à la bibliothèque Chaib Dzair, que la citadelle des Béni Hammad, dont les vestiges sont toujours visibles sur le versant sud du djebel Maadid à M’sila, était considérée, à plus d’un titre, comme «une grande capitale dans l’histoire de l’Algérie et de la région de la Méditerranée».
Plusieurs centaines de citoyens ont participé, hier à Sétif, à la marche de la fidélité aux martyrs tombés le 8 Mai 1945, au cours d’un des plus grands crimes de l’histoire contemporaine. Les marcheurs, avec à leur tête le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, ont insisté sur la préservation de la mémoire collective et sa consolidation dans l’esprit des générations.
Soixante-huit ans sont passés sur les massacres de Mai 1945, commis par l’armée coloniale à Kherrata (Béjaïa), mais le souvenir de cette journée effroyable et les atrocités dont elle a été le théâtre peinent à s’estomper, affirment des témoignages de survivants qui en sont marqués encore au fer rouge et que le temps n’a été d’aucun secours pour tempérer les douleurs vécues et les cruautés subies.
L’Algérie commémore, aujourd’hui, le 78e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, où les forces coloniales françaises ont fait subir à des milliers d’Algériens les pires souffrances, suivies d’exécutions sommaires.
Les documents historiques et les témoins encore vivants révèlent que les assassinats de masse se sont poursuivis pendant plusieurs semaines et se sont propagés à d'autres régions du pays, et font état de la souffrance endurée par les citoyens lors de ces terribles massacres ayant fait de Sétif, Guelma et Kherrata un charnier inimaginable.
Auteur de la notice « Racisme colonial et post-colonial » du Dictionnaire de la guerre d’Algérie récemment paru en France, je me suis vu assez sévèrement critiqué par un collègue historien, M. Hosni Kitouni, dans les colonnes de votre journal. C’est la règle du jeu : un livre ou un article, dès qu’ils sont dans le domaine public, peuvent et même doivent être l’objet de lectures critiques, et je n’ai rien à y dire. Jusqu’à présent, j’avais l’habitude d’être plutôt très durement attaqué par les cercles algérianistes et l’extrême droite française.
Le 1er mai 1945, des citoyens de Cherchell, des militants du PPA, manifestent en bravant les interdits et en défiant les autorités coloniales, afin de revendiquer l’Indépendance de l’Algérie et la libération du leader du PPA, Messali Hadj.
La wilaya de Chlef recèle un riche patrimoine historique, archéologique et naturel qui nécessite d’être valorisé à des fins touristiques. Le Mois du patrimoine ouvert depuis le 18 avril constitue assurément une opportunité pour faire découvrir au grand public la richesse et la diversité de ce patrimoine dans la région.
Le coureur kényan Kelvin Kiptum a remporté dimanche le marathon de Londres avec le deuxième meilleur temps de l'histoire, en 2 heures, 1 minute et 27 secondes, à 18 secondes du record du monde.