Le Fonds monétaire international (FMI) a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour la Chine ce mardi, principalement en raison de la crise sans précédent qui sévit dans le secteur immobilier, laquelle a des répercussions négatives sur l'économie globale.
Lors de ses assemblées générales tenues à Marrakech, le Fonds monétaire international (FMI) exprime des préoccupations concernant les divergences économiques entre les grandes économies mondiales.
Le chef de mission pour l’Algérie du FMI a réitéré la disposition du Fonds à poursuivre son accompagnement au processus de réformes engagé par l’Algérie.
Dans une nouvelle note publiée cette fin de semaine par le Fonds Monétaire International (FMI), un appel est lancé aux pays partenaires afin d’aider les pays les plus vulnérables du continent africain subissant les effets du changement climatique. « Les pays fragiles d’Afrique payent le plus lourd tribut » avertit le FMI dans son rapport signé par Jihad Azour et Abebe Aemro Selassie.
Bien qu’une allocation de DTS soit un mécanisme très utile et important pour renforcer la confiance et renforcer la résilience économique et financière mondiale, le FMI estime qu’elle n’est pas une «solution miracle». Il doit être considéré comme faisant partie d’un éventail plus large de mesures de soutien.
Malgré des signes de reprise, l’économie mondiale continue de subir les contrecoups du relèvement des taux directeurs alors que l’inflation sous-jacente demeure supérieure aux objectifs des banques centrales.
Une véritable bataille a eu lieu au sein du parlement italien, entre Giorgia Meloni et ses opposants, autour de la Tunisie et du régime de Kaïs Saïed. A l’opposition qui l’accuse de soutenir une dictature naissante en Tunisie, la cheftaine du gouvernement réplique qu’il «vaudrait mieux ne pas parler de dictatures de la part de mouvances ayant, par le passé, régulièrement soutenu Cuba et d’autres régimes communistes, sans oublier le fait que j’étais en Tunisie avec la présidente Von Der Leyne et mon collègue hollandais Mark Rutte».
Planche de salut pour la Tunisie avec le passage à exécution immédiate du prêt de 500 millions de dollars accordé par la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) pour le financement du budget de l’Etat 2023. Un pas très significatif de la communauté financière internationale à l’intention de la Tunisie pour lui éviter le défaut de paiement, voire des difficultés insurmontables dans ses importations.
La Zlecaf pourrait jouer un grand rôle dans le renforcement des dispositifs de résilience contre les changements climatiques et les chocs liés aux tensions géopolitiques.
Les États-Unis se sont récemment rangés aux côtés de l’Italie et la France pour demander le réexamen des conditions d’acceptation du dossier tunisien auprès du Fonds monétaire international.
La mise en place de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) pourrait permettre une hausse de plus de 50% des échanges commerciaux entre les pays du continent, selon un rapport publié hier par le Fonds monétaire international (FMI).
Le dossier Tunisie n’a certes pas été examiné, lors des dernières Assises du printemps des instances financières internationales la semaine dernière à Washington, il n’empêche que l’aide à la Tunisie est au milieu de plusieurs rencontres de haut niveau en marge de ces Assises.
Crise énergétique mondiale, réduction des émissions de gaz à effet de serre et réchauffement climatique sont les éléments qui poussent les experts mondiaux à relancer le débat sur les énergies propres. La Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) appellent à tripler les investissements, estimés aujourd’hui à plus de 1300 milliards de dinars.
Après la table ronde dédiée à la restructuration de la dette des pays les plus endettés, tenue la semaine dernière en présence des principaux pays créanciers, dont la Chine, et des représentants des créanciers privés et la Zambie, l’un des pays concernés par les discussion en la matière, depuis plus de deux ans, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) ont ouvert officiellement le 13 avril leurs réunions conjointes de printemps.
Perspectives incertaines et reprise chaotique pour l’économie mondiale, décrète le Fonds monétaire international dans ses nouvelles projections livrées hier à Washington, en marge des réunions de printemps avec la Banque mondiale.
L’économie mondiale patauge de plus en plus dans l’incertitude malgré la quasi-fin de la pandémie de Covid-19. Hier se sont ouverts, à Washington, les travaux des réunions de printemps des institutions de Bretton-Woods, Fonds monétaire international et Banque mondiale, dans un climat économique mondial marqué par des perspectives inquiétantes accentuées par l’enlisement du conflit russo-ukrainien et la crise financière américaine.
Choix très symbolique par le Président Saïed de s’aligner sur les traces de Bourguiba, pour annoncer son refus de tout diktat. C’est la Marche vers une nouvelle indépendance. Démarche très risquée.
Face à une inflation «persistante», les banques centrales ne doivent pas «reculer» malgré les risques que cela peut faire courir au secteur financier, a estimé jeudi la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, dans une interview accordée à l’AFP.
L’incertitude est encore élevée dans le secteur financier», affirme depuis Pékin la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Geogrieva. Intervenant lors du forum sur le développement de la Chine, la cheffe du FMI appelle à rester vigilant face à cette incertitude, en notant que «les risques pour l’instabilité financière ont augmenté».
Une délégation du Fonds monétaire international (FMI) est attendue demain en Tunisie pour entamer des négociations sur un programme d’aide au pays en crise, ont annoncé vendredi une porte-parole de l’institution et un responsable de la Banque centrale tunisienne.