L’Algérie a vu son inflation refluer grâce à l’appréciation du dinar et au recul des prix des produits frais et des prix à l’importation (…)», a annoncé ce jeudi le Fonds monétaire international (FMI) dans sa dernière livraison, édition du mois d’octobre, sur les perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et Afrique du Nord (MOAN).
Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance 2024 au Sénégal à 7,1%, a-t-il annoncé vendredi à l’issue d’une mission à Dakar.
En 2024, un nombre record de pays, représentant plus de la moitié de la population mondiale, organisent des élections nationales. Il est avéré que les Etats ont tendance à dépenser plus et à taxer moins pendant les années électorales.
Malgré des prédictions pessimistes, la résilience de l’économie mondiale demeure remarquable : la croissance reste stable et l’inflation retombe presque aussi vite qu’elle s’était envolée. Les obstacles ont pourtant été nombreux.»
Les réunions annuelles du printemps de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) ont débuté, hier, à Washington, en présence du ministre des Finances, Laaziz Faid, et du gouverneur de la Banque d’Algérie, Salah Eddine Taleb, dans un contexte particulier marqué par les tensions géopolitiques et les inégalités entre pays.
Outre l’inflation, la directrice général du Fonds monétaire internationale (FMI), Kristalina Goergieva, appelle à combattre la dette.
Le Fonds monétaire international (FMI) ne s’est pas empêché dernièrement d’alerter les autorités sur les niveaux d’inflation qui minent les performances économiques du pays et le pouvoir d’achat des ménages. Il considérera même que cette question, en Algérie, devient vraiment «préoccupante».
Le Fonds lance un avertissement contre la remise en cause de l’indépendance des Banques centrales et prévient contre le risque de son intensification étant donné que «la moitié de la population mondiale se rend aux urnes cette année». «Une étude du FMI portant sur plusieurs dizaines de Banques centrales sur la période comprise entre 2007 et 2021 montre que celles présentant un haut niveau d’indépendance ont mieux réussi à maîtriser les anticipations d’inflation.»
Le FMI note que «la croissance réelle devrait rester forte en 2024, à 3,8%, soutenue en partie par d’importantes dépenses budgétaires». «Les pressions inflationnistes ont persisté et la politique monétaire est restée accommodante». Le Fonds souligne les risques qu’impliquent une inflation persistante, la volatilité des prix internationaux des hydrocarbures, les risques budgétaires et une dette publique croissante.
Le conseil d’administration du FMI a examiné et adopté le 27 mars 2024 le rapport des services du FMI sur l’Algérie. Ce rapport a été produit par le département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI dans le cadre des consultations annuelles au titre de l’article IV pour 2023.
Compte tenu de la désinflation et de la stabilité de la croissance, «la probabilité d’un atterrissage brutal s’est estompée et les facteurs qui influent sur la croissance mondiale sont globalement équilibrés».
La prolongation de la guerre contre la population de Ghaza et la persistance de la situation tendue en mer Rouge risquent d’impacter lourdement l’économie des pays de la région, indique un nouveau rapport du Fonds monétaire international sur les perspectives économiques dans la région MENA-Moyen-Orient et Afrique du Nord.
Le Fonds monétaire international commence à s’interroger sérieusement sur l’impact que peut avoir l’intelligence artificielle (IA) sur l’économie mondiale. «Nous sommes sur le point de vivre une révolution technologique susceptible de stimuler la productivité, de donner un coup de fouet à la croissance mondiale et d’élever les revenus dans le monde entier.
Dans l’attente de la publication à la fin du mois de ses prévisions sur la situation économique mondiale, le Fonds monétaire international anticipe d’ores et déjà un atterrissage en douceur de l’économie mondiale en 2024, après la démonstration de résilience en 2023, mais des risques subsistent.
Les implications de l’Intelligence artificielle (IA) sur trois grands domaines d’intérêt macroéconomique : la croissance de la productivité, le marché du travail et la concentration industrielle ont fait l’objet d’une étude du Fonds monétaire international (FMI) publié récemment. Il en ressort que l’IA n’a pas d’avenir prédéterminé et peut se développer dans des directions très différentes.
Le Fonds monétaire international (FMI) a, dans un communiqué publié la semaine dernière, annoncé une augmentation de 50% des quotes-parts de ses pays membres (238,6 milliards de DTS, soit 320 milliards de dollars), ce qui portera le total à 715,7 milliards de DTS (960 milliards de dollars).
«Dans la mesure où il y a toujours un risque que l’inflation persiste, un resserrement graduel de la politique monétaire contribuerait à la contenir», a affirmé jeudi dernier le FMI.
Le chef de la mission du FMI, Chris Geirega, dit prévoir que le taux de croissance en 2023 devrait atteindre 4,2% grâce «à une croissance robuste dans les secteurs des hydrocarbures, de l’industrie, de la construction et des services».
Le président élu argentin, Javier Milei, se rend aux États-Unis ce dimanche pour des rencontres avec des responsables de l'administration Biden ainsi qu'avec des représentants du Fonds monétaire international (FMI), selon un porte-parole de l'AFP. "Nous nous rendons aux États-Unis. Vive la liberté bordel", a tweeté Javier Milei dimanche.
L’année en cours est une nouvelle année difficile pour l’activité économique des pays d’Afrique subsaharienne, avec une croissance qui devrait chuter pour la deuxième année consécutive, selon un rapport sur les perspectives régionales du Fonds monétaire international (FMI).