Le roi du Maroc, Mohammed VI, semble être agacé par les derniers développements concernant le dossier sahraoui, surtout après le revers subi en Europe. Sa dernière sortie confirme, en tout cas, sa colère. Dans un discours prononcé, mercredi dernier à l’occasion de l’anniversaire de la colonisation par son pays du territoire du Sahara occidental, événement appelé dans la monarchie «La marche verte (de Hassan II)», le souverain marocain s’en prend à l’Algérie, sans la citer directement.
Interrogé sur le refus de la France de ne pas reconnaître et condamner les crimes de la colonisation dans son ensemble, l’historien Fabrice Riceputi estime que la politique des petits gestes mémoriels cache une autre visée.
Le président français, Emmanuel Macron, est au plus bas des sondages depuis son arrivée au pouvoir en 2017. Sa cote de popularité a, en effet, chuté à 17%, selon le baromètre réalisé par Vérian-Epoka, publié dans l’édition du 30 octobre du Figaro Magazine. Soit le jour même où il achevait sa visite d’Etat au Maroc (du 28 au 30 octobre).
Soixante-dix ans après l’assassinat de Larbi Ben M’hidi, figure emblématique du Front de libération nationale (FLN) et membre des Six ayant déclenché la Guerre de Libération nationale, la France reconnaît officiellement sa responsabilité dans l’exécution de ce héros de la lutte pour l’indépendance algérienne, renonçant enfin à la thèse du «suicide» longtemps brandie pour masquer ce crime d’Etat.
Le virage diplomatique opéré par l’Elysée à travers son soutien affiché au prétendu «plan d’autonomie» marocain au Sahara occidental pourrait être motivé par des informations sensibles obtenues à son insu par le Maroc, a indiqué le site d’information Afrik.com, soulignant que les critiques internationales se multiplient à ce sujet et Paris pourrait se retrouver isolé.
Décidément, Emmanuel Macron aime l’anarchie, le désordre. Il vient de le prouver encore une fois lors d’une visite au Maroc. Il a répété ce qu’il a dit dans une lettre adressée au roi Mohammed VI.
Dans un message symbolique en ce 1er novembre, jour marquant le début de la guerre de libération en Algérie, le président de la République a réaffirmé son engagement à aborder l’histoire de la colonisation et de la Guerre d’Algérie de manière sincère et complète. Soulignant l’importance de la «vérité» historique, il a exprimé le souhait d'œuvrer vers une mémoire «apaisée et partagée» entre les deux nations.
La visite du président Tebboune à Paris était programmée pour le mois de mai 2023. Elle a été décalée, par la suite, au mois de juin de la même année.
La campagne de Donald Trump bat son plein, marquée par des railleries, des imitations et des imprécisions. Samedi, lors d'un meeting de campagne en Iowa, État-clé qui sera le premier à voter pour les primaires républicaines le 15 janvier, Emmanuel Macron en a été la cible.
Fidèle à ses engagements, Emmanuel Macron a officiellement saisi le Conseil constitutionnel une semaine après l'adoption contestée du projet de loi sur l'immigration. Les débats à l'Assemblée nationale, initialement rejetés, ont été durcis au fil des négociations entre l'exécutif et la droite. Le Président, répondant ainsi à un engagement pris, souhaite garantir la conformité des mesures avec le cadre de la Ve République.
Les positions de soutien à Israël sont vivement critiquées, y compris par les diplomates, notamment en France et aux Etats-Unis. Le malaise au sein de la diplomatie française au Moyen-Orient est désormais public, marquant une rupture historique.
Alors que la grande manifestation du 12 octobre dernier est passée devant l’ambassade de France à Tunis sans crier le moindre slogan anti-français, ce n’est plus le cas depuis l’assimilation le 24 octobre par le président Macron de Hamas à Daech et son appel à une coalition internationale anti-Hamas, comme celle initiée en 2014 contre Daech en Irak et en Syrie.
Le président français Emmanuel Macron était mardi sous le feu des critiques des deux côtés de l'Atlantique après ses propos appelant l'Union européenne à ne pas être "suiviste" des Etats-Unis ou de la Chine sur la question de Taïwan.
Le brouillard de la crise diplomatique entre l’Algérie et la France se dissipe pour laisser place à un retour à la normale des relations bilatérales. En effet, après une brouille qui a duré près de deux mois, les deux chefs d'Etat algérien et français se sont entretenus au téléphone le vendredi 24 mars.
L’Algérie et la France ont convenu, à la faveur de la visite jeudi du président français, Emmanuel Macron, de «consolider» les relations bilatérales. Les deux chefs d’Etat ont évoqué le «renforcement» de la coopération bilatérale dans de nombreux domaines. Il est question aussi de poursuivre le travail autour des questions mémorielles, d’intensifier la concertation autour des questions internationales et de «conjuguer» les efforts pour garantir la stabilité dans la région.
Le président français Emmanuel Macron sera accompagné, lors de sa visite en Algérie qu’il entame aujourd’hui, de près d’une centaine de personnes, dont des ministres, des parlementaires, des chefs d’entreprises, des universitaires et plusieurs personnalités franco-algériennes issues de la société civile.
Outre les relations bilatérales, les enjeux régionaux ou internationaux vont certainement être au centre des discussions entre les deux chefs d’Etat. A ce titre, étant à la recherche, comme plusieurs autres pays européens, d’alternatives au gaz russe, la France pourrait également «prospecter» du côté de l’Algérie en espérant un renforcement de la coopération dans ce domaine.
La bataille pour les législatives, les 12 et 19 juin, s’annonce très disputée, alors que la candidate d’extrême droite Marine Le Pen, qui a gagné environ huit points depuis la présidentielle de 2017, a atteint un score historique avec 41,45% des suffrages.
Dimanche 24 avril 2022, à l’issue du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron (La République en marche) est réélu président de la République française avec 58,54% des suffrages exprimés pour un second mandat.
La France est politiquement coupée en trois : bloc central avec un Macron se nourrissant des transfuges de droite et de gauche ; bloc nationaliste d’extrême droite et bloc radical de l’Union populaire dont les électeurs en votant Macron lui ont permis d’être reconduit à l’Élysée.